Aller au contenu

« Marie-Françoise Jeanneau » : différence entre les versions

aucun résumé des modifications
Aucun résumé des modifications
Aucun résumé des modifications
Ligne 19 : Ligne 19 :
Une oeuvre pour approfondir la connexion des deux femmes dans leur thébaïde de poésie, a été commandée à l'artiste-peintre Rafa Padilla M., originaire des hauteurs de Medellín, par la Fondation culturelle Théophile Lognoné.
Une oeuvre pour approfondir la connexion des deux femmes dans leur thébaïde de poésie, a été commandée à l'artiste-peintre Rafa Padilla M., originaire des hauteurs de Medellín, par la Fondation culturelle Théophile Lognoné.
   
   
Marie-Françoise Jeanneau (1927-2020) est l’auteur d’un passionnant ouvrage sur la poétesse Marie Noël, intitulé : De l’angoisse à la sérénité : un chemin de poésie. Et autres publications comme une étude Les Amazones de la Chouannerie et Le Testament de Merlin dans Théophile Briant (1891-1956) Veilleur d’un Phare Éternel.
Elle fut une fidèle adhérente ainsi qu’un membre actif des Amis de la Tour du Vent, association malouine créée en 1987 pour perpétuer la démarche poétique de Théophile Briant, pendant presque 30 ans.
Une thébaïde désigne un lieu sauvage, isolé et paisible, où l'on mène une vie retirée et calme.
Une thébaïde désigne un lieu sauvage, isolé et paisible, où l'on mène une vie retirée et calme.
Madame de Sévigné, Correspondance, 26 janv 1674, éd. R. Duchêne, t. 1, p. 681: ce Port-Royal est une Thébaïde
 
Déjà il rêvait à une thébaïde raffinée, à un désert confortable, à une arche immobile et tiède où il se réfugierait loin de l'incessant déluge (Huysmans, À rebours, 1884, p. 9).
Madame de Sévigné, Correspondance, 26 janv 1674, éd. R. Duchêne, t. 1, p. 681: ''ce Port-Royal est une Thébaïde''.
Faire oraison dans quelque thébaïde (Mauriac, Journal, 1950, p. 171).
 
''Déjà il rêvait à une thébaïde raffinée, à un désert confortable, à une arche immobile et tiède où il se réfugierait loin de l'incessant déluge'' (Huysmans, À rebours, 1884, p. 9).
 
''Faire oraison dans quelque thébaïde'' (Mauriac, Journal, 1950, p. 171).
 
De Thébaïde, nom d'une région désertique du sud de l'Égypte où se réfugièrent, dans les premiers siècles du christianisme, un grand nombre de chrétiens pour fuir les persécutions et mener une vie ascétique. Empr. au lat.Thebais, -idis, dér. de Thebae « Thèbes, ville de Haute-Égypte » (gr. θ η ̃ β α ι). Fréq. abs. littér.: 64.
De Thébaïde, nom d'une région désertique du sud de l'Égypte où se réfugièrent, dans les premiers siècles du christianisme, un grand nombre de chrétiens pour fuir les persécutions et mener une vie ascétique. Empr. au lat.Thebais, -idis, dér. de Thebae « Thèbes, ville de Haute-Égypte » (gr. θ η ̃ β α ι). Fréq. abs. littér.: 64.


47

modifications