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Le département compte {{ | Le département compte {{unité|518589|habitants}}<ref>Site sur la Population et les Limites Administratives de la France (SPLAF), ''Historique de Maine-et-Loire'' (population totale du département jusqu'en 1962), 2001-2010</ref>. | ||
'''Viticulture''' : Le phylloxéra touche le [[Viticulture en Anjou|vignoble angevin]] de 1880 à 1891. | '''Viticulture''' : Le phylloxéra touche le [[Viticulture en Anjou|vignoble angevin]] de [[1880]] à 1891<ref>Le Courrier de l'Ouest, ''Pourquoi l'Anjou est une terre de vins'', 5 août 2008</ref>. | ||
'''Industrie minière''' : Faisant suite à une première entente en [[1826]], les plus gros producteurs d'ardoises de [[Trélazé]] fusionnent en janvier 1891 pour former la société [[Commission des Ardoisières d'Angers]], permettant d'organiser à la fois la production et la distribution. | '''Industrie minière''' : Faisant suite à une première entente en [[1826]], les plus gros producteurs d'ardoises de [[Trélazé]] fusionnent en janvier 1891 pour former la société [[Commission des Ardoisières d'Angers]], permettant d'organiser à la fois la production et la distribution. | ||
'''Presse''' : | '''Presse''' : Parution le {{date|4 janvier 1891}} du premier numéro du périodique ''[[Le journal de Cholet Supplément illustré - 4 janvier 1891 - p 1|Le journal de Cholet Supplément illustré]]''. | ||
La Troisième République est une période « d'âge d'or » de la presse écrite provinciale et l'essor de la presse républicaine. C'est notamment le cas en Maine-et-Loire avec les publications ''Le patriote de l'ouest'', ''Le Ralliement'' et ''Le Bonhomme angevin'' de 1886 à 1891<ref>Alain Tirefort, ''"Être républicain" : Le patriote de l'ouest, Le Ralliement et Le Bonhomme angevin de 1886 à 1891'', dans ''Annales de Bretagne et des pays de l'Ouest'', t. 99, n° 4, 1992, ''Républiques & républicains d'Anjou'', p. 531-541</ref>. | |||
'''Personnalités''' : Charles-Émile Freppel, évêque d'Angers depuis avril 1870, décède dans cette ville le {{date|23 décembre 1891}}. | |||
== 1891 en France == | |||
Le développement du chemin de fer rend nécessaire l'unification de l'heure sur le territoire national. Il y a alors l'heure locale et l'heure de la gare, qui est celle du temps moyen de la capitale. L'uniformisation de l'heure sur l'ensemble du territoire national est imposée par la loi du {{date|14 mars 1891}} qui fixe l'heure légale en France métropolitaine<ref>Lucien Baillaud, ''Les chemins de fer et l'heure légale'', dans ''Revue d'histoire des chemins de fer'', n° 35, Rails et histoire (Paris), 2006</ref>{{,}}<ref>Décret du 14 mars 1891 portant adoption de l'heure, temps moyen de Paris, comme heure légale en France, ''Bulletin des lois de la République française'', n° 1393, Imprimerie nationale (Paris), 1{{er}} semestre de 1891, p. 313</ref>. | |||
== Notes == | |||
{{Références}} | |||
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