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 Son territoire a été agrandi de parties prises sur ceux des communes voisines d'Angrie (1836 et 1955), de Freigné (1837 et 1955) et de La Cornuaille (1955)<ref name="cport-1965" />{{,}}<ref>Ministère de la Culture (Christian Cussonneau), ''Base Mérimée - Présentation de la commune de Candé (IA49001520)'', 2002-2007</ref>. Il est à nouveau agrandit en 2017 de la zone d'activité du Tesseau de près de {{unité|26|hectares}}, avant que Freigné ne quitte le département<ref name="arrete-2017-52">Préfecture de Maine-et-Loire, ''Arrêté n° DRCL/BI/2017-52'', du 18 septembre 2017, modifiant les limites territoriales des communes de Freigné et Candé.</ref>.
-Elle porte le code Insee 49054 et est associée au [[Codes postaux des communes de Maine-et-Loire|code postal]] 49440<ref name="lion1906" />. Les habitants se nomment les Candéens et les Candéennes. Sa population est de {{unité|2595|habitants}} en 1999, {{formatnum:2909}} en 2012 et {{formatnum:2824}} en 2019<ref>[[Population de Maine-et-Loire]] ([[Population de Maine-et-Loire/1793|1793]], [[Population de Maine-et-Loire/1800|1800]], [[Population de Maine-et-Loire/1999|1999]], [[Population de Maine-et-Loire/2012|2012]], [[Population de Maine-et-Loire/2019|2019]])</ref>. La commune appartient à l'Unité urbaine de Candé, à la Zone d'emploi de Segré-en-Anjou Bleu et au bassin de vie de Candé<ref name="insee-gae" />. Ce dernier comprend les quatre communes de Angrie, Candé, Challain-la-Potherie et Loiré<ref>Insee, ''Géographie administrative et d'étude - Bassin de vie de Candé (49054)'', 2020</ref>.
+Elle porte le code Insee 49054 et est associée au [[Codes postaux des communes de Maine-et-Loire|code postal]] 49440<ref name="lion1906" />. Les habitants se nomment les Candéens et les Candéennes. Sa population est de {{unité|2595|habitants}} en 1999, {{formatnum:2909}} en 2012 et {{formatnum:2821}} en 2020<ref>[[Population de Maine-et-Loire]] ([[Population de Maine-et-Loire/1793|1793]], [[Population de Maine-et-Loire/1800|1800]], [[Population de Maine-et-Loire/1999|1999]], [[Population de Maine-et-Loire/2012|2012]], [[Population de Maine-et-Loire/2020|2020]])</ref>. La commune appartient à l'Unité urbaine de Candé, à la Zone d'emploi de Segré-en-Anjou Bleu et au bassin de vie de Candé<ref name="insee-gae" />. Ce dernier comprend les quatre communes de Angrie, Candé, Challain-la-Potherie et Loiré<ref>Insee, ''Géographie administrative et d'étude - Bassin de vie de Candé (49054)'', 2020</ref>.
 Mairie : 4 rue de l'Hôtel-de-Ville, 49440 Candé (tél. 02 41 92 73 36, courriel [mailto:mairie@communedecande.fr cande]).
 == Histoire et patrimoine ==
-Le territoire est occupé dès l'Antiquité, sur la voie romaine d'Angers à Rennes. Une église y est vraisemblablement édifiée au {{VIIe}} ou {{VIIIs}}. La ville est mentionnée pour la première fois en 1063. Elle est positionnée sur la marche ouest de l'Anjou au contact de l'ancien comté de Nantes. Un prieuré est fondé par Saint-Nicolas d'Angers à la fin du {{XIs}}. Le château fortifié et l'église castrale Saint-Denis sont entourés par une enceinte à la même époque. Au début du {{XVs}}, la ville a rang de baronnie. Au {{XVIIIe}}, Candé dépend de la [[Glossaire#S|sénéchaussée]] et de l'[[Glossaire#E|élection]] d'Angers<ref>Ministère de la Culture ([[Christian Cussonneau]]), ''Base Mérimée - Ville (IA49001572)'', 2002-2005</ref>{{,}}<ref name="cport-1965">Célestin Port (révisé par Jacques Levron et Pierre d'Herbécourt), ''Dictionnaire historique, géographique et biographique de Maine-et-Loire et de l'ancienne province d'Anjou'', {{t.|I}} (A-C), H. Siraudeau & Cie (Angers), 1965, 2e éd. (1re éd. 1874), {{p.|579-584}}</ref>.
+Le territoire est occupé dès l'Antiquité, sur la voie romaine d'Angers à Rennes. Une église y est vraisemblablement édifiée au {{VIIe}} ou {{VIIIs}}. La ville est mentionnée au {{Xs}} sous le nom de ''[[Saint-Denis de Candé|ad Condalensem ecclesiam]]''. Elle est positionnée sur la marche ouest de l'Anjou au contact de l'ancien comté de Nantes. Un prieuré est fondé par Saint-Nicolas d'Angers à la fin du {{XIs}}. Le château fortifié et l'église castrale Saint-Denis sont entourés par une enceinte à la même époque. Au début du {{XVs}}, la ville a rang de baronnie. Au {{XVIIIe}}, Candé dépend de la [[Glossaire#S|sénéchaussée]] et de l'[[Glossaire#E|élection]] d'Angers<ref>Ministère de la Culture ([[Christian Cussonneau]]), ''Base Mérimée - Ville (IA49001572)'', 2002-2005</ref>{{,}}<ref name="cport-1965">Célestin Port (révisé par Jacques Levron et Pierre d'Herbécourt), ''Dictionnaire historique, géographique et biographique de Maine-et-Loire et de l'ancienne province d'Anjou'', {{t.|I}} (A-C), H. Siraudeau & Cie (Angers), 1965, 2e éd. (1re éd. 1874), {{p.|579-584}}</ref>.
 Patrimoine architectural<ref>Ministère de la Culture, ''Base Mérimée (Candé)'', mai 2012</ref> :
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 Équipements sportifs : complexe sportif Roger Loison, boule de fort du Val de l'Erdre, une salle et deux courts extérieurs de tennis, salle omnisports, deux terrains de football, un terrain extérieur de basket-ball, une piste d'athlétisme, la salle Meslier (judo, tennis de table, gymnastique), stade Guy Langevin (terrain de football, pas de tir à l'arc), terrains de pétanque, piscine couverte<ref name="sidc-equipements" />. On y pratique le football, au sein du SO Candé-Loiré-Challain, la gymnastique, au sein du club des Algues, la [[boule de fort]], etc<ref>Ouest-France, ''Candé. Les jeunes footeux retrouvent le plaisir du jeu'', 26 mai 2021</ref>{{,}}<ref>Le Courrier de l'Ouest, ''Candé. Dernière prestation des Algues, avant les vacances'', 18 juillet 2021</ref>{{,}}<ref>Ouest-France, ''Boule de fort : les retraités ont leurs champions'', 10 mai 2017</ref>.
+Le concours organisé en avril 2025 par les archers du SO Candé réuni près de {{unité|150|compétiteurs}}<ref>Ouest-France, ''Candé. Près de 150 archers se sont affrontés le week-end dernier'', 26 avril 2025</ref>.
 == Agriculture ==