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De [[Mémoire de guerre|nombreux angevins]] sont appelés sous les drapeaux dont un bon nombre disparaîtront sur le front. {{formatnum:90000}} d'entre-eux seront mobilisés, dont plus de 50 % sont issus du monde agricole. | De [[Mémoire de guerre#Première Guerre mondiale|nombreux angevins]] sont appelés sous les drapeaux dont un bon nombre disparaîtront sur le front. {{formatnum:90000}} d'entre-eux seront mobilisés, dont plus de 50 % sont issus du monde agricole. | ||
{{unité|6000|officiers}} de [[Cadre noir|Cavalerie]] serviront tout au long de la Grande Guerre dans l'infanterie, les chars et l'aviation. {{formatnum:2500}} tomberont au champ d'honneur<ref>Célestin Port (révisé par André Sarazin et Pascal Tellier), ''Dictionnaire historique, géographique et biographique de Maine-et-Loire et de l'ancienne province d'Anjou'', {{t.|IV}} (S-Z), H. Siraudeau & Cie (Angers), 1996 (2e éd.), {{p.|323}}</ref>. La cavalerie est encore très présente au début du conflit. Durant celui-ci, près d'{{nobr|un million}} de chevaux mourront dans les combats, dont {{formatnum:400000}} au cours des deux premiers mois<ref>Robert d'Artois, ''Histoire et légende d'un patrimoine mondial : le Cadre noir de Saumur : Pourquoi Saumur, fruit de l'Histoire et des guerres de religion'', Académie des sciences, arts et belles lettres de Montauban, 6 février 2017</ref>. Pas moins de {{nobr|huit millions}} de chevaux participeront à cette guerre, utilisés pour la cavalerie, l'infanterie, l'artillerie pour tirer canons et munitions, ainsi que pour véhiculer vivres et hommes<ref>Éric Baratay, ''La Première Guerre mondiale du point de vue des chevaux'', dans ''The Conversation'' (fr), The Conversation France (Paris), avril 2024 [Éric Baratay (dir.), ''Une histoire animale du monde : À la recherche du vécu des animaux de l'Antiquité à nos jours'', Éditions Tallandier (Paris), février 2025]</ref>. | {{unité|6000|officiers}} de [[Cadre noir|Cavalerie]] serviront tout au long de la Grande Guerre dans l'infanterie, les chars et l'aviation. {{formatnum:2500}} tomberont au champ d'honneur<ref>Célestin Port (révisé par André Sarazin et Pascal Tellier), ''Dictionnaire historique, géographique et biographique de Maine-et-Loire et de l'ancienne province d'Anjou'', {{t.|IV}} (S-Z), H. Siraudeau & Cie (Angers), 1996 (2e éd.), {{p.|323}}</ref>. La cavalerie est encore très présente au début du conflit. Durant celui-ci, près d'{{nobr|un million}} de chevaux mourront dans les combats, dont {{formatnum:400000}} au cours des deux premiers mois<ref>Robert d'Artois, ''Histoire et légende d'un patrimoine mondial : le Cadre noir de Saumur : Pourquoi Saumur, fruit de l'Histoire et des guerres de religion'', Académie des sciences, arts et belles lettres de Montauban, 6 février 2017</ref>. Pas moins de {{nobr|huit millions}} de chevaux participeront à cette guerre, utilisés pour la cavalerie, l'infanterie, l'artillerie pour tirer canons et munitions, ainsi que pour véhiculer vivres et hommes<ref>Éric Baratay, ''La Première Guerre mondiale du point de vue des chevaux'', dans ''The Conversation'' (fr), The Conversation France (Paris), avril 2024 [Éric Baratay (dir.), ''Une histoire animale du monde : À la recherche du vécu des animaux de l'Antiquité à nos jours'', Éditions Tallandier (Paris), février 2025]</ref>. |