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Cécile Jaglin-Grimonprez (voir la source)

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li Groupement hospitalier du Grand Ouest

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 Après avoir obtenue un master de sociologie de l'action organisée de l'École doctorale de Sciences Po Paris et le diplôme Hôpital plus de l'École des hautes études en santé publique (EHESP), Cécile Jaglin débute sa carrière en 1995 comme directrice de la recherche clinique au Centre hospitalier universitaire (CHU) de Rouen<ref name="chuangers-10oct2017">Centre hospitalier universitaire d'Angers, ''Communiqué de presse : Cécile Jaglin-Grimonprez nommée Directrice générale du CHU d'Angers'', publié le 10 octobre 2017</ref>{{,}}<ref>''Arrêté du 16 novembre 1992 fixant la liste, par ordre de mérite, des candidats admis au concours externe d'accès à l'emploi d'attaché d'administration centrale (femmes et hommes) (session de 1992)'', NOR PRMG9270645A, JORF n° 277 du 28 novembre 1992</ref>{{,}}<ref>''Arrêté du 1er juin 1993 portant nomination d'élèves directeurs (Ecole nationale de la santé publique)'', NOR SANH9301594A, JORF n° 150 du 1 juillet 1993</ref>{{,}}<ref>Bibliothèque nationale de France (BnF), ''Catalogue général - Notice de personne - Jaglin-Grimonprez Cécile'', 27 juin 2017</ref>{{,}}<ref>Association Sciences Po Bordeaux, ''Cécile Jaglin-Grimonprez (promotion 1990) nommée directrice du centre hospitalier universitaire angevin'', 5 mars 2018</ref>.
-Quatre ans plus tard, en 1999, elle entre au ministère de la Santé où elle est notamment adjointe au chef du Bureau des réseaux, complémentarités et recompositions des activités de soins. Elle est ensuite, de 2001 à 2004, directrice de la qualité, de la sécurité et de la gestion des risques au centre hospitalier de Versailles, puis occupe pendant dix ans le poste de directrice du plan au {{abréviation|CHU|Centre hospitalier universitaire}} de Nantes, où elle dirige notamment le projet de reconstruction. En 2014, elle devient déléguée générale du Groupement de coopération sanitaire Hôpitaux universitaires du Grand Ouest (GCS HUGO), basé à [[Angers]]. Cécile Jaglin-Grimonprez est ensuite nommée, en octobre [[2017]], directrice générale du [[Hôpital d'Angers|CHU d'Angers]] et directrice de l'hôpital Saint-Nicolas. C'est la première fois qu'une femme dirige l'hôpital d'Angers, qui est alors le plus gros employeur du département avec {{formatnum:1133}} médecins et pharmaciens, et {{formatnum:5311}} agents<ref name="chuangers-10oct2017" />{{,}}<ref>''Décret du 9 octobre 2017 portant nomination de la directrice générale du centre hospitalier universitaire d'Angers - Mme Jaglin-Grimonprez (Cécile)'', NOR SSAN1726650D, JORF n° 0237 du 10 octobre 2017, texte n° 40.</ref>{{,}}<ref>Fédération Hospitalière de France, ''Direction générale - Centre Hospitalier Universitaire (Angers)'', 2017-2023</ref>{{,}}<ref name="fc-23janv2022">France Culture (Tara Schlegel), ''"L'hôpital public a montré des ressources extraordinaires dans la crise", assure la directrice du CHU d'Angers'', 23 janvier 2022</ref>{{,}}<ref name="p-ehesp">Les Presses de l'EHESP, ''Jaglin-Grimonprez Cécile (auteur)'', 2020-2023</ref>{{,}}<ref>Le Courrier de l'Ouest, ''Angers. Cécile Jaglin-Grimonprez officiellement directrice générale du CHU'', 10 octobre 2017</ref>{{,}}<ref>Ouest-France, ''Angers. Le CHU a une nouvelle directrice générale'', 10 octobre 2017</ref>.
+Quatre ans plus tard, en 1999, elle entre au ministère de la Santé où elle est notamment adjointe au chef du Bureau des réseaux, complémentarités et recompositions des activités de soins. Elle est ensuite, de 2001 à 2004, directrice de la qualité, de la sécurité et de la gestion des risques au centre hospitalier de Versailles, puis occupe pendant dix ans le poste de directrice du plan au {{abréviation|CHU|Centre hospitalier universitaire}} de Nantes, où elle dirige notamment le projet de reconstruction. En 2014, elle devient déléguée générale du Groupement de coopération sanitaire Hôpitaux universitaires du Grand Ouest ([[Groupement hospitalier du Grand Ouest|GCS HUGO]]), basé à [[Angers]]. Cécile Jaglin-Grimonprez est ensuite nommée, en octobre [[2017]], directrice générale du [[Hôpital d'Angers|CHU d'Angers]] et directrice de l'hôpital Saint-Nicolas. C'est la première fois qu'une femme dirige l'hôpital d'Angers, qui est alors le plus gros employeur du département avec {{formatnum:1133}} médecins et pharmaciens, et {{formatnum:5311}} agents<ref name="chuangers-10oct2017" />{{,}}<ref>''Décret du 9 octobre 2017 portant nomination de la directrice générale du centre hospitalier universitaire d'Angers - Mme Jaglin-Grimonprez (Cécile)'', NOR SSAN1726650D, JORF n° 0237 du 10 octobre 2017, texte n° 40.</ref>{{,}}<ref>Fédération Hospitalière de France, ''Direction générale - Centre Hospitalier Universitaire (Angers)'', 2017-2023</ref>{{,}}<ref name="fc-23janv2022">France Culture (Tara Schlegel), ''"L'hôpital public a montré des ressources extraordinaires dans la crise", assure la directrice du CHU d'Angers'', 23 janvier 2022</ref>{{,}}<ref name="p-ehesp">Les Presses de l'EHESP, ''Jaglin-Grimonprez Cécile (auteur)'', 2020-2023</ref>{{,}}<ref>Le Courrier de l'Ouest, ''Angers. Cécile Jaglin-Grimonprez officiellement directrice générale du CHU'', 10 octobre 2017</ref>{{,}}<ref>Ouest-France, ''Angers. Le CHU a une nouvelle directrice générale'', 10 octobre 2017</ref>.
 Cécile Jaglin-Grimonprez est à la tête de l'établissement de santé durant la [[Pandémie de coronavirus en Maine-et-Loire en 2020|pandémie de Covid-19]] et les vagues suivantes. L'hôpital d'Angers est fortement sollicité dès le début, recevant aussi des malades d'autres régions<ref>Ouest-France (Benoit Robert), ''Coronavirus. « Face au Covid-19, notre CHU a dû se réinventer »'', 9 avril 2020</ref>{{,}}<ref>Ouest-France, ''Covid-19. Le premier patient transféré de Lyon est arrivé à Angers'', 27 octobre 2020</ref>. En janvier 2022, la maladie représente au CHU d'Angers {{unité|400|décès}} depuis le début de la pandémie. La cellule de crise hospitalière consacrée au Covid s'est alors réunie presque 200 fois. Le plan blanc est levé en janvier de l'année suivante<ref name="fc-23janv2022" />{{,}}<ref>Ouest-France, ''Urgences du CHU d'Angers : « Il n'y a plus d'éléments de tension », estime la directrice générale'', 28 janvier 2023</ref>.