Aller au contenu

« Doué-la-Fontaine » : différence entre les versions

2 952 octets ajoutés ,  18 novembre 2023
cplt
(cplt, suite)
(cplt)
Ligne 15 : Ligne 15 :


== Situation administrative ==
== Situation administrative ==
Après avoir absorbée [[La Chapelle-sous-Doué]] en 1841, Doué-la-Fontaine (1933, Doué > Doué-la-Fontaine) a fusionné le 1{{er}} octobre [[1964]] avec [[Douces]] et [[Soulanger]]<ref name="cport-1978-p55">Dictionnaire Célestin Port, ''op. cit.'', t. 2, 1978, p. 55</ref>{{,}}<ref>''Arrêté préfectoral du 31 juillet 1964'', dans le ''Recueil des actes administratifs'' de la préfecture de Maine-et-Loire, 1964, p. 401.</ref>.
En 1933 ''[[Doué]]'' devient ''Doué-la-Fontaine''. La ville englobe trois anciennes communes et leurs villages :
* [[La Chapelle-sous-Doué]], établie autour d'une villa carolingienne du {{Xs}}, réunie à Doué en 1841 ;
* [[Douces]], mentionnée au {{XIs}}, rattachée à Doué en 1964 ;
* [[Soulanger]] mentionnée au {{IXs}}, rattachée à Doué en 1964<ref name="cport-1978-p55">Dict. Célestin Port 1978 (t. 2), ''op. cit.'', p. 55</ref>{{,}}<ref name="arrete-31juill1964">''Arrêté préfectoral du 31 juillet 1964'', dans le ''Recueil des actes administratifs'' de la préfecture de Maine-et-Loire, 1964, p. 401.</ref>{{,}}<ref name="IA00033115">Ministère de la Culture (Région Pays de la Loire), ''Base Mérimée - Ville [de Doué-la-Fontaine] (IA00033115)'', avant 1987</ref>.


Un rapprochement intervient à la fin de 2016 avec la [[Création de la nouvelle commune de Doué-en-Anjou (2016)|création de la commune nouvelle]] de Doué-en-Anjou issue du regroupement des communes de [[Brigné]], [[Concourson-sur-Layon]], Doué-la-Fontaine, [[Forges]], [[Meigné]], [[Montfort]], [[Saint-Georges-sur-Layon]] et [[Les Verchers-sur-Layon]]. Doué-la-Fontaine devient une commune déléguée<ref>Préfecture de Maine-et-Loire, ''Arrêté préfectoral n° DRCL-BSFL-2016-123'' du 23 septembre 2016 — Voir [[création de la nouvelle commune de Doué-en-Anjou (2016)]].</ref>. Doué-la-Fontaine devient une commune déléguée.
Un nouveau rapprochement intervient le {{date|30 décembre 2016}} avec la création de la [[Création de la nouvelle commune de Doué-en-Anjou (2016)|commune nouvelle]] de Doué-en-Anjou issue du regroupement des communes de [[Brigné]], [[Concourson-sur-Layon]], Doué-la-Fontaine, [[Forges]], [[Meigné]], [[Montfort]], [[Saint-Georges-sur-Layon]] et [[Les Verchers-sur-Layon]]. Doué-la-Fontaine devient une commune déléguée<ref>Préfecture de Maine-et-Loire, ''Arrêté préfectoral n° DRCL-BSFL-2016-123'' du 23 septembre 2016 — Voir [[création de la nouvelle commune de Doué-en-Anjou (2016)]].</ref>.


La commune de Doué-la-Fontaine est jusqu'alors membre de la [[Communauté de communes de la région de Doué-la-Fontaine|de la région de Doué-la-Fontaine]], et se trouve dans le canton [[Canton de Doué-la-Fontaine|de Doué-la-Fontaine]], dont elle est est bureau centralisateur, et l'arrondissement [[Arrondissement de Saumur|de Saumur]].
La commune de Doué-la-Fontaine est jusqu'alors membre de la communauté de communes [[Communauté de communes de la région de Doué-la-Fontaine|de la région de Doué-la-Fontaine]], et se trouve dans le canton [[Canton de Doué-la-Fontaine|de Doué-la-Fontaine]] (Doué en 1793 et 1801<ref>École des hautes études en sciences sociales (EHESS), ''Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui - Notice communale de Doué-la-Fontaine'', 2007</ref>, [[Canton de Doué-la-Fontaine (ancien)|Doué-la-Fontaine]] en 1964), dont elle est bureau centralisateur, et l'arrondissement [[Arrondissement de Saumur|de Saumur]].


Son code commune (Insee) est 49125 et son code postal est 49700. Ses habitants se nomment Douessin, Douessine. Sa population est de {{formatnum:7442}} habitants en 1999, {{formatnum:7442}} en 2006 (elle fait alors partie des dix communes les plus peuplées du département) et de {{formatnum:7547}} en 2016<ref>[[Population de Maine-et-Loire]] ([[Population de Maine-et-Loire/1793|1793]], [[Population de Maine-et-Loire/1800|1800]], [[Population de Maine-et-Loire/1999|1999]], [[Population de Maine-et-Loire/2006|2006]], [[Population de Maine-et-Loire/2016|2016]])</ref>.
Son code commune (Insee) est 49125 et son code postal est 49700. Ses habitants se nomment Douessin, Douessine. Sa population est de {{formatnum:7442}} habitants en 1999, {{formatnum:7442}} en 2006 (elle fait alors partie des dix communes les plus peuplées du département) et de {{formatnum:7547}} en 2016<ref>[[Population de Maine-et-Loire]] ([[Population de Maine-et-Loire/1793|1793]], [[Population de Maine-et-Loire/1800|1800]], [[Population de Maine-et-Loire/1999|1999]], [[Population de Maine-et-Loire/2006|2006]], [[Population de Maine-et-Loire/2016|2016]])</ref>.


== Histoire et patrimoine ==
== Histoire et patrimoine ==
L'habitat humain y est ancien, datant de la Préhistoire. Au Moyen Âge, Doué dépend d'Angers et La Chapelle-sous-Doué de Poitiers. Des biens de Doué appartiennent au {{IXs}} aux moines de Cunaud, puis au comte d'Anjou. Le château élevé à la fin du {{Xs}} est dévasté au {{XIIe}}, puis reconstruit. Au {{XVIe}}, Doué se trouve au cœur d'une zone ravagée par les Catholiques et les Huguenots. La ville relève au {{XVIIIs}} de l'élection et de la subdélégation de Saumur<ref>Célestin Port (révisé par Jacques Levron, Pierre d'Herbécourt, Robert Favreau et Cécile Souchon), ''Dictionnaire historique, géographique et biographique de Maine-et-Loire et de l'ancienne province d'Anjou'', {{t.|II}} (D-M), H. Siraudeau & Cie (Angers), 1978, 2e éd. (1re éd. 1876), {{p.|55-63}}</ref>.
La ville est créée autour d'une motte du {{XIs}} et de la collégiale Saint-Denis du {{XIIe}} s. L'habitat humain y est ancien, datant de la Préhistoire. Au Moyen Âge, Doué dépend d'Angers et La Chapelle-sous-Doué de Poitiers. Des biens de Doué appartiennent au {{IXs}} aux moines de Cunaud, puis au comte d'Anjou. Le château élevé à la fin du {{Xs}} est dévasté au {{XIIe}}, puis reconstruit. Au {{XVIe}}, Doué se trouve au cœur d'une zone ravagée par les Catholiques et les Huguenots. La ville dépend au {{XVIIIe}} de l'élection et de la subdélégation de Saumur<ref name="IA00033115" />{{,}}<ref>Célestin Port (révisé par Jacques Levron, Pierre d'Herbécourt, Robert Favreau et Cécile Souchon), ''Dictionnaire historique, géographique et biographique de Maine-et-Loire et de l'ancienne province d'Anjou'', {{t.|II}} (D-M), H. Siraudeau & Cie (Angers), 1978, 2e éd. (1re éd. 1876), {{p.|55-63}}</ref>.


Éléments du patrimoine<ref>Ministère de la Culture, ''Base Mérimée (Doué-la-Fontaine)'', août 2012</ref> :
Après avoir absorbée [[La Chapelle-sous-Doué]] en [[1841]], Doué fusionne le {{date|1er octobre [[1964]]}} avec les communes voisines de [[Douces]] et de [[Soulanger]]<ref name="cport-1978-p55" />{{,}}<ref name="arrete-31juill1964" />.
* les arènes ;
 
* les cathédrales troglo des Perrières ;
Sites patrimoniaux de Doué-la-Fontaine<ref name="merimee">Ministère de la Culture, ''Base Mérimée (Doué-la-Fontaine)'', août 2012</ref>{{,}}<ref>Le Kiosque Saumur, ''Histoire locale. Doué-en-Anjou, la ville aux nombreux sites remarquables'', 10 avril 2022</ref> :
* la chapelle Saint-Gilles ;
* les arènes, ensemble de carrières aériennes et souterraines à [[Douces]] ;
* [[Château des Basses Minières|Château de Soulanger ou château des Basses-Minières]] (classé MH), du {{XVIIIs}}, et dont il ne reste plus que le soubassement et les écuries ;
* la cabane de vigneron de La Haie-Georgine, du {{XIXs}} ;
* les ruines de l'église Saint-Denis (classée MH) du {{XVIIIs}} ;
* la chapelle Saint-Gilles à Soulanger, des {{XIIe}}, {{XVIe}} et {{XIXs}} ;
* les fontaines ;
* le [[château des Basses Minières|château de Soulanger]] (classé MH), du {{XVIIIs}}, et dont il ne reste plus que le soubassement et les écuries (écuries Foulon) ;
* les fours à chaux ;
* plusieurs ensembles d'édifices à cour commune ;
* les ruines de la collégiale Saint-Denis (classée MH) du {{XVIIIs}} ;
* le couvent de Récollets, des {{XVIIe}}, {{XVIIIe}} et {{XIXs}}s ;
* l'église Notre-Dame Saint-Hilaire à La Chapelle-sous-Doué, des {{XIe}}, {{XVIIIe}} et {{XIXs}}s ;
* l'église Saint-Maurice à Douces, du {{XIXs}} ;
* l'église Saint-Pierre ;
* les fours à chaux, du {{XIXs}} ;
* l'hôtel de la Goberderie, des {{XVIe}} et {{XIXs}}s, comprenant des parties troglodytiques ;
* le lavoir des Fontaines ;
* les maisons d'horticulteurs ;
* les maisons d'horticulteurs ;
* les manoir dit la Cour de Douces, manoir de la Crilloire, manoir de la Galonnière ou du Petit Riou, manoir de la Saulaie<ref group="note">À propos de ''La Saulaie'', voir [[La Saulaie|Saulaie (lieu-dit)]].</ref> ;
* plusieurs maisons anciennes, dont celle dite la Monaie ({{XVe}}-{{XIXe}}), celle dite la Bouette ({{XVIe}} et celle dite la Grange ({{XVIe}}-{{XIXe}}), et maisons de vigneron (à Soulanger) des Douves et de la Petite-Bilange ({{XVIIe}}) ;
* les restes d'une motte féodale et d'un donjon (inscrit MH), des {{IXe}}, {{Xe}} et {{XVs}}s ;
* le manoir dit la Cour de Douces ({{XVe}}-{{XIXe}}), manoir de la Crilloire ({{XVIe}}-{{XIXe}}), manoir de la Galonnière ou du Petit Riou ({{XIXe}}, manoir Lambray ({{XVIe}}-{{XVIIe}}), manoir de la Saulaie<ref group="note">À propos de ''La Saulaie'', voir [[La Saulaie|Saulaie (lieu-dit)]].</ref> ({{XVe}}-{{XVIe}}), manoir de Rohé ({{XVIe}}) ;
* les moulin à vent de Douces, moulin à blé dit Moulin Cartier ;
* les restes d'une motte féodale et d'un donjon (inscrit MH), des {{IXe}}, {{Xe}} et {{XVs}}s, et Aula Carolingienne, vestiges d'une maison découverts à la suite de fouilles archéologiques à la fin des années 1960 ;
* la sablière.
* le moulin à vent de Douces, moulin à blé dit Moulin Cartier, moulin des Conillères à Soulanger ({{XVIIIe}}), moulin à vent à moudre le plâtre de La Saulaie ({{XIXe}}), moulin à blé des Varennes ({{XIXe}}) ;
* l'ancien prieuré de Bénédictins dit l'Abbaye à Soulanger, des {{XVe}}, {{XVIIIe}} et {{XIXs}}s ;
* le [[site troglodytique des Perrières]], qui après avoir servi de champignonnières, d'habitat, a été réhabilité en site touristique ;
* le site de la Seigneurie (inscrit MH), carrière souterraine de fabrication de sarcophage datant du haut Moyen Âge.
 
L'église Saint-Léger, du haut Moyen Âge, en ruine au {{XVIIs}}, est détruite<ref name="merimee" />.


== Capitale des roses ==
== Capitale des roses ==
Les pépinières et les roseraies sont particulièrement importantes à Doué. Elles se développent au {{XVIIIs}}. [[Joseph François Foullon]], grand propriétaire, y développe ses jardins. Les rosiers sont une culture qui exige une main-d'œuvre expérimentée (plantations, écussonnage, nettoyage). Dans les années 1930, plus de {{formatnum:400000}} rosiers sont plantés chaque année<ref>I. Deguil, ''L'horticulture en Anjou'', dans ''Annales de Géographie'', t. 42, n° 240, 1933, p. 601-609</ref>. Dans les années 1970, la production annuelle de rosiers est d'environ 3,5 millions de plants<ref>Dictionnaire Célestin Port, ''op. cit.'', t. 2, 1978, p. 56</ref>, et au début du {{XXIs}} entre cinq et sept millions de rosiers par an<ref>Ouest-France Entreprises, ''Cette cité produit cinq millions de rosiers par an'', 11 juillet 2014 (cinq millions de rosiers)</ref>{{,}}<ref>Ouest-France, ''Doué-la-Fontaine. La fête aux cent mille roses dans les caves troglo'', 12 juillet 2015 (sept millions de rosiers)</ref>, ce qui en fait le premier centre de production de plants de rosiers en Europe.
Les pépinières et les roseraies sont particulièrement importantes à Doué. Elles se développent au {{XVIIIs}}. [[Joseph François Foullon]], grand propriétaire, y développe ses jardins. Les rosiers sont une culture qui exige une main-d'œuvre expérimentée (plantations, écussonnage, nettoyage). Dans les années 1930, plus de {{formatnum:400000}} rosiers sont plantés chaque année<ref>I. Deguil, ''L'horticulture en Anjou'', dans ''Annales de Géographie'', t. 42, n° 240, 1933, p. 601-609</ref>. Dans les années 1970, la production annuelle de rosiers est d'environ 3,5 millions de plants<ref>Dict. Célestin Port de 1978 (t. 2), ''op. cit.'', p. 56</ref>, et au début du {{XXIs}} entre cinq et sept millions de rosiers par an<ref>Ouest-France Entreprises, ''Cette cité produit cinq millions de rosiers par an'', 11 juillet 2014 (cinq millions de rosiers)</ref>{{,}}<ref>Ouest-France, ''Doué-la-Fontaine. La fête aux cent mille roses dans les caves troglo'', 12 juillet 2015 (sept millions de rosiers)</ref>, ce qui en fait le premier centre de production de plants de rosiers en Europe.


À voir :
À voir :
Ligne 52 : Ligne 68 :
La station de radio angevine [[RPSFM Radio Parçay-les-Pins|RPSFM]] émet autour des villes de Doué-la-Fontaine, Baugé et Langeais<ref>Le Courrier de l'Ouest (Y. G.), ''Parçay-les-Pins. Quel avenir pour la radio associative ?'', 5 septembre 2019</ref>. [[Saumur Kiosque]] est un journal en ligne angevin dédié au Saumurois couvrant notamment les villes de Saumur et de Doué-la-Fontaine<ref>Saumur Kiosque (IGNIS Communication), 2021-2022</ref>.
La station de radio angevine [[RPSFM Radio Parçay-les-Pins|RPSFM]] émet autour des villes de Doué-la-Fontaine, Baugé et Langeais<ref>Le Courrier de l'Ouest (Y. G.), ''Parçay-les-Pins. Quel avenir pour la radio associative ?'', 5 septembre 2019</ref>. [[Saumur Kiosque]] est un journal en ligne angevin dédié au Saumurois couvrant notamment les villes de Saumur et de Doué-la-Fontaine<ref>Saumur Kiosque (IGNIS Communication), 2021-2022</ref>.


On trouve également sur son territoire plusieurs sites à visiter comme<ref>Office de tourisme de Doué-la-Fontaine et sa région, ''Sites à visiter'', novembre 2016</ref> :
L'offre touristique valorise les mondes souterrain, animal, végétal. Son territoire comporte plusieurs sites à visiter comme<ref>Office de tourisme de Doué-la-Fontaine et sa région, ''Sites à visiter'', novembre 2016</ref> :
* le [[Zoo de Doué-la-Fontaine|Bioparc zoo]], situé route de Cholet, parc animalier abritant plus de soixante-dix espèces animales ;
* le [[Site troglodytique des Perrières|Mystère des faluns]], constitué de galeries souterraines (troglodytes) ;
* le [[Musée Aux anciens commerces de Doué-la-Fontaine|musée Aux anciens commerces]], situé aux écuries du château des Basses-Minières, reconstitution de boutiques d'autrefois ;
* le [[Zoo de Doué-la-Fontaine|Bioparc zoo]], parc animalier abritant plus de soixante-dix espèces animales et cadre naturel consacré à la protection des espèces menacées ;
* le [[Site troglodytique des Perrières|site des Perrières]], constitué de galeries souterraines (troglodytes).
* le [[Musée Aux anciens commerces de Doué-la-Fontaine|musée Aux anciens commerces]], situé aux écuries du château des Basses-Minières, reconstitution de boutiques d'autrefois.


== Espace et territoire ==
== Espace et territoire ==
Ligne 62 : Ligne 78 :
Doué est dans le périmètre du parc naturel [[Parc naturel régional Loire-Anjou-Touraine|Loire-Anjou-Touraine]], zone de préservation et de protection située entre Tours et Angers<ref>[[Parc naturel régional Loire-Anjou-Touraine|PNR Loire-Anjou-Touraine]], 2012</ref>, et la zone de la Plaine de Douces est classée [[Espaces naturels sensibles de Maine-et-Loire|espace naturel sensible]] (ENS)<ref>[[Espaces naturels sensibles de Maine-et-Loire]], 2018</ref>. Le Douet, affluent du Layon, passe sur le territoire de la commune<ref>IGN et BRGM, ''Géoportail (Doué-la-Fontaine 49)'', mai 2012</ref>.
Doué est dans le périmètre du parc naturel [[Parc naturel régional Loire-Anjou-Touraine|Loire-Anjou-Touraine]], zone de préservation et de protection située entre Tours et Angers<ref>[[Parc naturel régional Loire-Anjou-Touraine|PNR Loire-Anjou-Touraine]], 2012</ref>, et la zone de la Plaine de Douces est classée [[Espaces naturels sensibles de Maine-et-Loire|espace naturel sensible]] (ENS)<ref>[[Espaces naturels sensibles de Maine-et-Loire]], 2018</ref>. Le Douet, affluent du Layon, passe sur le territoire de la commune<ref>IGN et BRGM, ''Géoportail (Doué-la-Fontaine 49)'', mai 2012</ref>.


Cinq sites de Doué-la-Fontaine à découvrir : [[Site troglodytique des Perrières|Le mystère des faluns]], avec scénographie au sein de caves cathédrales en ogives, le [[Zoo de Doué-la-Fontaine|Bioparc de Doué]], zoo troglodytique comptant plus de {{unité|1400|animaux}}, le [[Musée Aux anciens commerces de Doué-la-Fontaine|musée Aux anciens commerces]], avec répliques d'anciennes boutiques, le site Troglodytes et sarcophages, présentant les usages de ces souterrains depuis {{unité|1500|ans}}, et [[Les chemins de la Rose]], roseraie comptant une collection de plus de {{unité|10000|rosiers}}<ref>Ouest-France (Coraline Brouez), ''Maine-et-Loire. Le patrimoine exceptionnel de Doué-en-Anjou se dévoile en cinq incontournables'', article publié le 20 mai 2021 et réédité le 3 mars 2023</ref>.
Cinq sites de Doué-la-Fontaine à découvrir : [[Site troglodytique des Perrières|Le mystère des faluns]], avec scénographie au sein de caves cathédrales en ogives, le [[Zoo de Doué-la-Fontaine|Bioparc de Doué]], zoo troglodytique comptant plus de {{unité|1400|animaux}}, le [[Musée Aux anciens commerces de Doué-la-Fontaine|musée Aux anciens commerces]], avec répliques d'anciennes boutiques, le site Troglodytes et sarcophages, présentant les usages de ces souterrains depuis {{unité|1500|ans}}, et [[Les chemins de la Rose]], roseraie comptant une collection de plus de {{unité|10000|rosiers}}<ref>Ouest-France (Coraline Brouez), ''Maine-et-Loire. Le patrimoine exceptionnel de Doué-en-Anjou se dévoile en cinq incontournables'', article publié le 20 mai 2021 et réédité le 3 mars 2023</ref>. Un circuit pédestre de découverte de la ville part du site des Perrières.


Localités aux alentours : [[Forges]] ({{unité|3.2|km}}), [[Montfort]] ({{unité|4.7|km}}), [[Les Verchers-sur-Layon]] ({{unité|4.8|km}}), [[Dénezé-sous-Doué]] ({{unité|5.4|km}}), [[Brossay]] ({{unité|5.6|km}}), [[Concourson-sur-Layon]] ({{unité|5.8|km}}), [[Louresse-Rochemenier]] ({{unité|6.0|km}}), [[Meigné]] ({{unité|6.3|km}}), [[Cizay-la-Madeleine]] ({{unité|6.6|km}}), [[Saint-Georges-sur-Layon]] ({{unité|7.3|km}})<ref>Lion1906 (Lionel Delvarre), ''Distances à partir de Doué-la-Fontaine (49)'', juin 2010 — Les distances affichées sont des distances orthodromiques (à vol d'oiseau).</ref>.
Localités aux alentours : [[Forges]] ({{unité|3.2|km}}), [[Montfort]] ({{unité|4.7|km}}), [[Les Verchers-sur-Layon]] ({{unité|4.8|km}}), [[Dénezé-sous-Doué]] ({{unité|5.4|km}}), [[Brossay]] ({{unité|5.6|km}}), [[Concourson-sur-Layon]] ({{unité|5.8|km}}), [[Louresse-Rochemenier]] ({{unité|6.0|km}}), [[Meigné]] ({{unité|6.3|km}}), [[Cizay-la-Madeleine]] ({{unité|6.6|km}}) et [[Saint-Georges-sur-Layon]] ({{unité|7.3|km}})<ref>Lion1906 (Lionel Delvarre), ''Distances à partir de Doué-la-Fontaine (49)'', juin 2010 — Les distances affichées sont des distances orthodromiques (à vol d'oiseau).</ref>.


<gallery mode="packed">
<gallery mode="packed">