« Le Plessis-Macé » : différence entre les versions

Le lieu se trouve sur une ancienne voie antique reliant Angers à rennes. Un château est édifié au {{XIs}}. Le fief donne son nom à une maison de chevalerie, les du Plessis. En 1060, {{nobr|Macé I{{er}} du Plessis}}, alors seigneur du fief, a de profondes attaches avec l'abbaye Saint-Serge d'Angers et donne le bourg aux religieux. Le château est reconstruit en pierre, remplaçant le précédent constitué de palissades en bois. Il est à nouveau reconstruit au milieu du {{XVs}}. Le Plessis-Macé relève au {{XVIIIe}} de l'élection, subdélégation et bailliage d'Angers, du grenier à sel d'Ingrandes<ref name="cport-1989">Célestin Port (révisé par André Sarazin et Pascal Tellier), ''Dictionnaire historique, géographique et biographique de Maine-et-Loire et de l'ancienne province d'Anjou'', {{t.|III}} (N-R), H. Siraudeau & Cie (Angers), 1989, 2e éd. (1re éd. 1878), {{p.|221-224}}</ref>{{,}}<ref>Catherine Nédélec et Coralie Pilard, ''Tout sur l'Anjou'', Éditions Ouest-France (Rennes), 2022, p. 26-27</ref>.