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Après l'abolition de l'esclavage en [[1848]], le gouvernement du Second Empire veut résoudre le problème de la main-d'œuvre en établissant, en 1852, des colonies pénales en Guadeloupe, Guyane, Martinique et Réunion. La loi du {{date|27 mars 1852}}, puis plus tard celle du {{date|30 mai 1854}}, relatives à la transportation des droits communs condamnés aux travaux forcés, consacrent l'essor des bagnes coloniaux<ref>Emmanuel Lézy, ''Guyanne'', Encyclopædia Universalis, 2010-2022</ref>{{,}}<ref>Marc Renneville, ''Les bagnes coloniaux : de l'utopie au risque du non-lieu'', dans ''Criminocorpus'' (Paris), ''Les bagnes coloniaux'', 2007</ref>. | Après l'abolition de l'esclavage en [[1848]], le gouvernement du Second Empire veut résoudre le problème de la main-d'œuvre en établissant, en 1852, des colonies pénales en Guadeloupe, Guyane, Martinique et Réunion. La loi du {{date|27 mars 1852}}, puis plus tard celle du {{date|30 mai 1854}}, relatives à la transportation des droits communs condamnés aux travaux forcés, consacrent l'essor des bagnes coloniaux<ref>Emmanuel Lézy, ''Guyanne'', Encyclopædia Universalis, 2010-2022</ref>{{,}}<ref>Marc Renneville, ''Les bagnes coloniaux : de l'utopie au risque du non-lieu'', dans ''Criminocorpus'' (Paris), ''Les bagnes coloniaux'', 2007</ref>. | ||
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