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{{Infobox quartier | {{Infobox quartier | ||
| qualité = village | | qualité = village | ||
| image = | | image = <!-- blason ou logo --> | ||
| territoire = [[Région d'Angers]] | | territoire = [[Région d'Angers]] | ||
| commune = [[Mûrs- | | commune = [[Mûrs-Erigné]] | ||
| libre = Fusion | | libre = Fusion de 1793 | ||
| carte = [[ | | carte = [[File:Carte situation commune murserigne.png|300px|center|link=Mûrs-Erigné|Situation dans le département]] | ||
{{ | {{osm14|n=47.395557|o=-0.553889}} | ||
}} | }} | ||
'''Mûrs''' est un | '''Mûrs''' est un bourg de [[Mûrs-Érigné]], une ancienne commune de [[Maine-et-Loire]] (49) située au sud d'Angers en rive gauche de la [[Loire]] et du [[Louet]]. | ||
== Généralités == | |||
La commune de Mûrs est formée à la Révolution, puis absorbe en [[1793]] celle d'[[Érigné]]<ref name="cport-1978">Célestin Port (révisé par Jacques Levron, Pierre d'Herbécourt, Robert Favreau et Cécile Souchon), ''Dictionnaire historique, géographique et biographique de Maine-et-Loire et de l'ancienne province d'Anjou'', {{t.|II}} (D-M), H. Siraudeau & Cie (Angers), 1978, 2e éd. (1re éd. 1876), {{p.|489-490}} (Mûrs-Erigné)</ref>{{,}}<ref name="ehess">École des hautes études en sciences sociales (EHESS), ''Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui - Notice communale de Erigné'', 2007</ref>. La nouvelle commune constituée sous le nom de ''Mûrs'' changera de nom en [[1953]] pour devenir ''[[Mûrs-Erigné]]''<ref>Décret du 3 août 1953, ''Journal officiel de la République française'', 88{{e}} année, n° 189, Imprimerie des Journaux officiels (Paris), du 12 août 1953, p. 7157 ({{citation|la commune de Mûrs portera désormais le nom de Mûrs-Erigné}}).</ref>. | |||
Jusqu'alors la commune fait partie du district d'Angers et du canton de Mozé<ref name="cport-1978" />. | |||
La localité est mentionnée au {{XIs}} sous le nom de ''[[Meurs|Ecclesia Sancti Venantii de Muris]]''. La seigneurie ne s'étend pas au-delà de la paroisse. Neuf petits fiefs lui doivent hommage. Elle rend aveu au Plessis-Macé. L'abbaye de La Couture au Mans possède un prieuré sous le vocable de Saint-Venant. Au {{XVIIIe}}, Mûrs dépend de l'élection, subdélégation et baillage d'Angers, du grenier à sel d'Ingrandes<ref name="cport-1978" />. | |||
Patrimoine<ref name="cport-1978" />{{,}}<ref>Ministère de la Culture, ''Base Mérimée (Mûrs-Erigné)'', juin 2012</ref> : église Saint-Venant du {{XIXs}}, monument républicain de la Roche de Mûrs. | |||
À voir : [[La Roche-de-Mûrs]], panorama sur la Loire<ref>Pierre-Aimé Millet de La Turtaudière, ''Indicateur de Maine et Loire'', Tome premier, Librairie de Cosnier et Lachèse (Angers), 1864, p. 472-475</ref>. | |||
[[File:murs la roche 2010a.jpg|center|thumb|upright=1.4|alt=Photographie de La Roche-de-Mûrs.]] | |||
[[Catégorie: | == Célestin Port (1876) == | ||
<!-- Reproduction du texte de Célestin Port. Ne peut être modifié. --> | |||
Mûrs dans le [[dictionnaire Célestin Port]] de 1876<ref>Célestin Port, ''Dictionnaire historique géographique et biographique de Maine-et-Loire'', t. 2 (D-M), P. Lachèse, Belleuvre & Dolbeau (Angers), 1876, p. 769 à 771</ref> : | |||
{{citation|'''Mûrs''', c<sup>on</sup> des Ponts-de-Cé (5 kil), {{arrt}} d’Angers | |||
(11 kil.). — ''Murs'' 1082-1094 (2{{e}} Cartul. St-Serge, | |||
p. 216). — ''Muri'', ''Fulco de Muris'', | |||
1094-1101 (1{{er}} Cartul. St-Serge, p. 229 et 2{{e}} Cart., | |||
p. 220. — ''Meur-sur-Loyre'' 1524 (Tapisserie | |||
de St-Flor.). — ''Meurs'' {{XVIe}}-{{XVIIe}} s. — Sur les | |||
coteaux et dans la vallée de la rive gauche | |||
de la Loire ; — entre les Ponts-de-Cé au N.-E., | |||
Ste-Gemmes (3 kil.) et la Loire au N., St-Jean-de-la-Croix | |||
(3 kil. 1/2) au N.-O.. Mozé (3 kil.) à | |||
l’O. et au S., Soulaines (4 kil. 1/2) au S.-E., St-Melaine | |||
(6 kil.) à l’E. | |||
La route nationale d’Angers aux Sables s’infléchit, | |||
dès son entrée sur le territoire, du N.-E. au | |||
S.-O. et de nouveau légèrement vers S. à partir | |||
du pont de l’Aubance. — De l’O. & l’E. longeant les | |||
sinuosités du coteau, riverain de la grande vallée, | |||
la route départ. n° 14 dessert le bourg, passe à | |||
quelques mètres sons l’église d’Erigné, emprunte | |||
un instant la route nationale et poursuit de nouveau | |||
vers l’E., abordée vers S. par le chemin | |||
d’intérêt commun de Vihiers. | |||
La Loire forme bordure vers N. sur une longueur | |||
de 2 kil. ; — s’en détachent, sous le coteau, | |||
le Louet et ses nombreuses boires, où d’autre | |||
part, descendent en replis sinueux l’Aubance et | |||
son affluent le ruiss. des Joncherais. | |||
En dépendent, outre le bourg d’Erigné (14 m., | |||
36 hab.), les vill. et ham. de Chaillou (6 mais., | |||
17 hab.). le Coteau (9 mais., 30 hab.), Puzeau | |||
(12 mais., 40 hab.), Mazières (16 mais., 46 hab.), | |||
le Buisson (9 mais., 22 hab.), le Ruau (19 mais., | |||
54 hab.), Rabault (27 mais., 71 hab.). Grand-Claye | |||
(24 mais., 66 hab.), Raffray (4 mais., | |||
11 hab.), Princé (4 mais., 12 hab.), Petit-Claye | |||
(10 mais., 29 hab.), Gaigné (19 mais., 55 hab.), | |||
la Gilardière (9 mais.. 18 hab.), la Bourlière | |||
(18 mais., 66 hab.), les Brosses (14 mais., 44 h.), | |||
le Châtellier (4 mais., 13 hab.), la Jubaudière | |||
(11 mais., 29 hab.), la Gazellerie (3 mais., 14 h.), | |||
le Haut et le Bas-Louet (11 mais., 38 hab.), Bois-Rond | |||
(4 mais., 14 hab), le Haut-d’Erigné (10 m., | |||
28 hab.), le Pâtis-d’Erigné (8 mais., 23 hab.), la | |||
Croix-Martin (6 mais., 13 hab.), la Tremblaie | |||
(47 mais., 117 hab.), la Roche-d’Erigné (19 m., | |||
68 hab.), la Fontenelle (19 mais., 48 hab.), le | |||
Plessis-Mazeau (3 mais., 10 hab.), Boisbourreau | |||
(3 mais., 14 hab.), le Mûrier (7 mais., 17 hab.), | |||
la Boire-Croissante (14 mais., 47 hab.), le Grand-Port | |||
(7 mais., 12 hab.), les Saulaies (11 mais., | |||
29 hab.), le Vieux-Port-Thibault (3 mais., 9 h.), | |||
le Port-Gaurion (10 mais., 19 hab.) et 26 fermes | |||
ou écarts. | |||
Superficie : 1,590 hect., dont 280 hect. en | |||
vignes, 404 en prés, 3 en taillis. | |||
Population : 221 feux en 1720, non compris | |||
Erigné. — 330 feux, 1,390 hab. en 1789. — | |||
1,335 h. en 1804. — 1,704 h. en 1831. — 1,620 h. | |||
en 1841. — 1,669 hab. en 1851. — 1,581 hab. en | |||
1861. — 1,514 hab. en 1866. — 1,411 hab. en | |||
1872, dont 104 au principal bourg (27 mais., | |||
34 mén.), assis le long de la route n° 14, au point | |||
culminant d’où elle se précipite on tournoyant | |||
dans la vallée. Au milieu des constructions | |||
neuves ou rajeunies s’y remarque un logis avec | |||
portail daté : 1681. | |||
Assemblée le 1{{er}} septembre. | |||
Perception et Bureau de poste des Ponts-de-Cé. | |||
Mairie, avec Ecole communale et laïque de | |||
garçons, en retrait, sur la route, au sortir du | |||
bourg, vers l’O., — dont les travaux ont été | |||
reçus le 2 janvier 1856 (arch. Dellêtre). — Ecole | |||
publique de filles (Sœurs de St-Charles). | |||
L’Eglise principale, dédiée à St Venant (succursale, | |||
30 septembre 1807), est un édifice tout | |||
moderne, en style XIII{{e}} s., dont les travaux | |||
adjugés le 6 décembre 1860 pour la somme de | |||
56,957 fr, ont été reçus définitivement le | |||
18 décembre 1863 (arch. Dellêtre et de Coutailloux). | |||
— L’œuvre a remplacé un assemblage | |||
confus do constructions des XVI{{e}} et XVII{{e}} s., | |||
qui ne conservait à peu près d’antique que la | |||
base de son clocher (XII{{e}} s.). On y remarquait | |||
une belle ''Pieta'' du XVI{{e}} s., une statuette d’un | |||
seigneur agenouillé et une belle croix processionnelle | |||
qui a été vendue. Le cadran solaire du | |||
pignon portait la date 1620, avec une inscription | |||
et le nom de Moreau. V. une lithographie dans | |||
les ''Mém. de la Soc. Linn, d’Ang.'', t. I, p. 125. | |||
L’église d’Erigné, V. ce mot, distante à peine | |||
de 1,500 mèt. est érigée en succursale depuis | |||
1826. | |||
On trouve ici, comme à peu près partout en | |||
Anjou, des ''celtœ'' en pierre ; — mais les traces | |||
romaines y sont surtout abondantes. Il n’est pas | |||
sans quelque vraisemblance que le nom même de | |||
la localité soit dû aux restes de murailles antiques, | |||
dont l’existence est constatée jusqu’à ces dernières | |||
années vers le bourg et surtout aux Châteliers, | |||
V. ce mot. Au village de Mazières ont été rencontrés | |||
en 1846 d’autres vestiges importants, des | |||
bains sans doute, — presque aussitôt détruits. | |||
La grande voie d’ailleurs d’Angers à Nantes par | |||
la rive gauche traversait de l’E. à l’O. tout le | |||
coteau, où se groupaient de nombreuses habitations. | |||
— J’ai protesté déjà ailleurs contre la fantaisie | |||
banale qui place ici sans aucune raison la | |||
défaite de {{abréviation|Dumnacus|Dumnacos ou Dumnacus, chef des Andécaves pendant la guerre des Gaules.}}, V. ce nom. | |||
Le centre le plus antique me parait être | |||
Erigné. — On n’a aucune donnée sur la fondation | |||
de la paroisse de Mûrs que l’œuvre de la | |||
première église démolie attestait au moins du | |||
XII{{e}} s. La cure en était à la présentation de | |||
l’abbaye de la Couture du Mans, qui possédait | |||
aussi tout auprès un petit prieuré, dédié, comme | |||
l’église, à St Venant et dont dépendait, | |||
comme annexe, le prieuré de Corzé. Ni l’un ni | |||
l’autre n’ont d’histoire. Le domaine en avait | |||
été réuni dès 1460 au domaine seigneurial, et | |||
c’est à peine si l’on trouve deux ou trois noms | |||
de prieurs : Guill. de Malestroit, 1460. — Jean | |||
Avril, 1569, 1602 — Guill. Bochard de Champigny, | |||
1699. — Les bâtiments, dont dépendaient | |||
une petite closerie et 9 quartiers de prés, furent | |||
vendus {{natt}} le 16 mars 1791. | |||
Curés : Et. de Fouillé, 1419. — Et. Gédouin, | |||
de Gonnord, 1467. — René Gaultier, 1553. — | |||
Phil. Bodin, 1569. — Ant. Bodineau, 1597, qui | |||
résigne le 19 mars 1598 et meurt le 25 août suivant. | |||
— Jean Navoire, en faveur de qui avait | |||
eu lieu la résignation et qui est maintenu en | |||
fonctions, par sentence du 17 février 1599, contre | |||
Pierre Jouanne, nommé le 25 août précédent par | |||
l’évêque. Il meurt le 28 septembre 1614. — Jean | |||
Gaulard, 1{{er}} octobre 1614, qui résigne en 1619, au | |||
profit de son vicaire. — Franç. Vaudolon, du Lude, | |||
18 septembre 1629, qui résigne en 1658. — Telle | |||
était la misère de ces temps qu’en 1635 une partie | |||
de la paroisse fut désertée par les habitants à cause | |||
des taxes. — Jean Vaudolon, juin 1658, † le | |||
9 février 1690. Dans la nuit du 3 au 4 février | |||
1666, un coup de foudre met le feu « à la flèche | |||
du clocher, qui était haut de 116 pieds sans la | |||
tour de muraille et qui brûla comme une chandelle | |||
jusqu’au pied », fend deux cloches, | |||
détruit la nef, et s’en va de là se prendre au clocher | |||
d’Erigné. — Pierre Suhard , décembre | |||
1690, † le 23 février 1709, âgé de 50 ans. — Nic. | |||
Diamy, juin 1709, qui devient curé de Lévières. | |||
— Franç. Terrier, 18 janvier 1710, † le 29 mai | |||
1729, âgé de 52 ans. — Julien Triquet, 1{{er}} juin | |||
1729. — Jos. Cousin, du Mans, 8 juillet 1730, | |||
octobre 1746. — Louis Bodin, 14 octobre 1746. | |||
jusqu’au 4 juillet 1764, † le 8 mars 1771, directeur | |||
du Séminaire d’Angers, âgé de 62 ans. — | |||
Louis-Joseph Bodin, son neveu et vicaire, qui | |||
fit en 1771 reconstruire le presbytère et lambrisser | |||
l’église. Il signe jusqu’au 14 janvier 1793, | |||
abdique le 19 germinal an II toute prêtrise, se | |||
fait avocat et se marie. | |||
On trouve dès 1584 un « précepteur des | |||
enfants » Pierre Justeau, chapelain de la chapelle | |||
Notre-Dame de Mûrs, qui avait cette charge | |||
dans les obligations de son bénéfice. | |||
La seigneurie formait un petit fief, sans mouvance | |||
hors de la paroisse, et dont relevaient seulement | |||
9 hommages. Il rendait aveu au P1essis-Macé. | |||
— Elle appartient au XV{{e}} s. à la famille | |||
de Quatrebarbes, puis par acquêt en 1540 à la | |||
famille de Quélen. — En est sieur encore en 1667 | |||
Maurille de Bréhant, chevalier, mari de Louise | |||
de Quélen. — La terre est comprise en 1683 dans | |||
le marquisat d’Erigné, érigé au profit de Joachim | |||
de Gencian. Jean de Raphaelis, baron de Claye, | |||
en acquit en 1707 les droits honorifiques et la | |||
prééminence dans l’église, qui avaient passé, avec | |||
le petit domaine, dès 1766 à Gervais-Nicolas Basdard | |||
de Vaudésir, baron de Ste-Gemmes-sur-Loire. | |||
La maison seigneuriale, avec tour centrale | |||
d’escalier, enveloppait dans sa grande cour la | |||
grande porte de la nef de l’église. Le seigneur | |||
avait une entrée spéciale par le chœur. — Il percevait | |||
un denier par pipe de vin vendue en détail | |||
et avait droit de pèche et de visite sur la rivière | |||
du Louet, — droit aussi de quintaine sur les | |||
nouveaux mariés, pêcheurs, marchands en voituriers. | |||
« Et s’il y a aucun des nouveaux mariés | |||
a qui soit homme d’honorable métier, comme | |||
charpentier, tessier et autres, il est tenu de | |||
fournir aud. seigneur une pelotte neuve, | |||
laquelle il baille pour ébattre à qui bon leur | |||
semble. » | |||
La mesure locale était celle du Plessis-Macé. | |||
La paroisse, comprise dans le pays des Hautes-Mauges, | |||
dépendait de l’Archidiaconé d’Outre-Loire, | |||
du Doyenné de Jallais, de l’Election et des | |||
Aides d’Angers, du Grenier à sel d’Ingrandes, du | |||
District en 1788 de Brissac, en 1790 d’Angers. | |||
Le 29 août 1790, en présence du maire Allaneau, | |||
le curé bénit les deux drapeaux de la garde | |||
nationale, l’un aux trois, couleurs de la Nation, | |||
l’autre, sur fond blanc « ayant une gloire en | |||
peinture et au-dessus : ''A Dieu'' ; plus bas, au | |||
faisceau d’armes, et les paroles : ''Pour la'' | |||
''Nation, la Loi et le Roi''. » — La guerre civile | |||
bientôt y vint faire rage. — Du pont du Louet | |||
en regardant vers l’O. on voit se dresser à pic, | |||
surplombant le flot, une immense roche, — la | |||
Roche de Mûrs, portant un large plateau qu’occupait | |||
eu juillet 1793 le capitaine Bourgeois avec | |||
600 hommes des 6{{e}} et 8{{e}} bataillons de Paris. Il y | |||
fut assailli et bloqué le 26 par 10 ou 12,000 Vendéens | |||
de la division de Bonchamps, commandés par | |||
d’Autichamp. Les républicains tombent bientôt | |||
sous le feu ou sont poussés à la baïonnette jusqu’au | |||
rebord du rocher. La jeune femme du capitaine | |||
se jette avec son enfant dans la Loire. Bourgeois, | |||
seul, blessé, parvient avec deux de ses compagnons | |||
d’armes à gagner à la nage l’Île St-Maurille, | |||
— et dès le surlendemain, à la tête du | |||
bataillon de Jemmapes, il rentrait en guerre dans | |||
le pays. V. un dessin de la Roche dans les ''Vues'' | |||
''pittoresques'' de Méliand, — et dans l’''Album'' de | |||
M. T. Abraham (1876). | |||
Maires : Ant. Allaneau, 1790. — Pierre-Nic. | |||
Simonnet, anc. premier commis de la maison | |||
du roi, 10 messidor an VIII — Louis-Georges-Joseph | |||
Vaullée, 5 février 1810. — Frison de | |||
la Motte, 15 mars 1826. — Pierre-René | |||
Vétault, 1838, † le 7 décembre 1845. — Ad.-Félix | |||
Lauriou, 2 janvier 1816. — Pierre-Georges-Ferdinand | |||
Richou, 31 décembre 1851, installé | |||
le 5 janvier 1852. — Charles Chauvin, 28 juillet | |||
1858, installé le 8 août, en fonctions, 1876. | |||
<small>Arch. de M.-et-L. C 192 et 197 ; D 8 ; E 957-970 ; G Cures. — Arch. comm. Et.-C. — Mss. Valuche.— ''Mem. de la Soc. Linn. d’Angers'', I, 185. — ''Répert. arch.'', 1868, p. 273. — ''Mém. de l’Acad. des Inscript. et B.-L.'', 1822, VI, p. 373 ; art. de Walckenser, mais complètement erroné. — Lemarchand, ''Album Vendéen''. — ''Revue d’Anjou'', 1875, p. 73. — Pour les localités, voir Claye, Erigné, etc. </small> }} | |||
== Notes == | |||
{{Références}} | |||
: Les [[Meurs|formes anciennes]] du nom | |||
{{BasPage CommunesAnciennes}} | |||
[[Catégorie:Ancienne commune|Murs]] | |||
[[Catégorie:Mûrs-Erigné]] |