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« Marc Leclerc » : différence entre les versions

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{{Infobox personnalité
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'''Marc Leclerc''' est un journaliste et écrivain [[Liste des personnalités de Maine-et-Loire|angevin]] du {{XXs}}. Il est le créateur des ''rimiaux'', poèmes et contes rimés en parler angevin.
'''Marc Leclerc''' est un journaliste, écrivain et poète [[Liste des personnalités de Maine-et-Loire|angevin]] du {{XXs}}. Il est le créateur des ''rimiaux'', poèmes et contes rimés en parler angevin.




== L'auteur ==
== L'auteur ==
Marc Leclerc naît en 1874 à Provins, en Seine-et-Marne. Homme de lettres, peintre, décorateur et conférencier, il veut donner ses lettres de noblesse au patois angevin. Il écrit des « [[rimiaux]] » comme ''La lettre à Marie'', et devient un grand écrivain et un poète régionaliste.
Marc Leclerc<ref>Leclerc, Marc (1874-1946)</ref> naît en 1874 à Provins, en Seine-et-Marne<ref name="notice">Bibliothèque nationale de France, ''[https://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb11911959f/PUBLIC Notice d'autorité personne : Leclerc, Marc (1874-1946)]'', 11 mai 2005</ref>, dans une famille de militaires originaire de [[Saumur]]. Après avoir suivi une formation au Prytanée militaire de La Flèche, il entre à l'école d'art graphique de Paris. En 1900, il devient chansonnier sous le nom de Marc O'Rell et participe quelques temps plus tard aux réunions des Angevins de Paris et aux rencontres des Amis du terroir. Il découvre le régionalisme avec {{abréviation|Théodore Botrel|Jean-Baptiste-Théodore-Marie Botrel (1868-1925)}}, poète-chansonnier breton, auteur de ''La Paimpolaise''<ref name="co-27dec2019">Le Courrier de l'Ouest (Mireille Puau), ''Maine-et-Loire. Un ouvrage consacré à l'écrivain patoisant Marc Leclerc'', 27 décembre 2019</ref>{{,}}<ref name="of-3nov2016">Ouest-France, ''Le chantre du patois angevin à l'honneur'', 3 novembre 2016 (entretien avec Jean-Luc Naud, président d'Histoire et patrimoine en vallée d'Anjou)</ref>.


Artiste, il participe en 1914 au concours de création du [[verre à vin d'Anjou]].
En [[1904]], il participe, avec Louis Vétault et Georges Dureau, à la création du journal parisien ''L'Angevin de Paris'', qui devient l'un des principaux organes de l'activité régionaliste dans la capitale<ref>Le Courrier de l'Ouest (S.B.), ''Angers. Dès 1904, « L'Angevin de Paris » porte la voix de l'Anjou dans la capitale'', 28 novembre 2021</ref>.


En 1919, il est l'un des membres fondateurs de l'Association des écrivains combattants, dont il sera l'un des vice-présidents.
Homme de lettres, peintre, décorateur et conférencier, Marc Leclerc veut donner ses lettres de noblesse au patois angevin. En 1907, il lance une enquête afin de recueillir les chansons traditionnelles de l'Anjou. Trois folkloristes de l'époque, [[Anatole-Joseph Verrier]], François Simon et [[Henry Cormeau]], lui transmettent de nombreuses chansons. Le manque de fonds interrompt son projet et c'est Verrier qui prend le relais en les publiant ; Leclerc en puisera une trentaine en 1947 pour son ouvrage ''Sur l'air angevin''. Il écrit des « [[rimiaux]] » comme ''La lettre à Marie'' et devient écrivain et poète régionaliste. En [[1913]], il publie les ''Rimiaux d'Anjou'', premier ouvrage de ce nouveau genre littéraire angevin qu'il dédie à {{abréviation|François Villon|François de Montcorbier dit Villon (1431-1464), poète de la fin du Moyen Âge.}} et {{abréviation|François Rabelais|François Rabelais (1494-1553), écrivain humaniste de la Renaissance.}}<ref>Gérard Linden, ''La boule de fort par noms et par mots'', Cheminements (Le Coudray-Macouard), 2007, p. 108</ref>{{,}}<ref name="co-27dec2019" />{{,}}<ref>Ouest-France, ''Rochefort-sur-Loire. La veillée a fait le plein de folklore angevin'', 21 novembre 2023</ref>. Artiste, il participe aussi en [[1914]] au concours de création du [[verre à vin d'Anjou]]<ref>Archives patrimoniales de la ville d'Angers (Mairie d'Angers), ''Le premier verre à vin d'Anjou'' par Sylvain Bertoldi, dans ''Vivre à Angers'' n° 360, février 2012</ref>.


Il côtoie André Bruel, éditeur et écrivain angevin, à qui il lègue deux coffrets de fiches manuscrites sur les auteurs angevins. Il rencontre [[Émile Joulain]], qui devient poète patoisant angevin, et qui publie en 1943 son premier recueil dont Marc Leclerc lui rédige la préface.
Durant la Première Guerre mondiale, il est mobilisé sur le front et combat notamment à Verdun. Il écrit dans les tranchées ''[[La passion de notre frère le poilu par M. Leclerc|La passion de notre frère le poilu]]'', en hommage aux soldats morts au combat, qui le fait connaitre. En 1919, il est l'un des membres fondateurs de l'Association des écrivains combattants dont il sera l'un des vice-présidents<ref>Association des écrivains combattants, ''Les membres fondateurs de l'A.E.C.'', 10 juin 2010</ref>{{,}}<ref name="co-27dec2019" />{{,}}<ref name="of-3nov2016" />{{,}}<ref>''La traversée du XXe siècle'', dans ''Les Grandes Heures de l'Anjou'', dir. [[Jacques Levron]], Perrin (Paris), ''Hors collection'', 1993, p. 172-184</ref>.


[[Paul Maudonnet]] crée en 1944 des figurines parées de costumes angevins, ''[[les Naulets d'Anjou]]'', d'après une galerie de portraits que lui suggère Marc Leclerc.
Après la guerre, il reprend ses activités d'écrivain régionaliste et de journaliste. Il côtoie André Bruel, éditeur et écrivain angevin, à qui il léguera deux coffrets de fiches manuscrites sur les auteurs angevins, et transmet sa passion du parler angevin à [[Félix Landreau]] et [[Émile Joulain]]. Ce dernier publie en 1943 son premier recueil dont Marc Leclerc lui rédige la préface<ref name="of-3nov2016" />.


Il séjourne pendant les dix dernières années de sa vie à La Ménitré, commune où s'installe en 1969 [[Festival de folklore international et fête des coiffes|la fête des coiffes]].
[[Paul Maudonnet]] crée en 1944 des figurines parées de costumes angevins, ''[[les Naulets d'Anjou]]'', d'après une galerie de portraits que lui suggère Marc Leclerc<ref>Association Les Plantagenets - compagnons de Marc Leclerc, ''L'histoire des naulets d'Anjou'', mars 2014</ref>{{,}}<ref>Archives patrimoniales de la ville d'Angers (Mairie d'Angers), ''Coutumes de Noël à Angers'' par Sylvain Bertoldi, dans ''Vivre à Angers'' n° 339, décembre 2009</ref>.


Marc Leclerc meurt à La Ménitré en [[1946]]. Poète patoisant, il est devenu une référence de la littérature angevine, comme le sont Émile Joulain et [[Yvon Péan]].
Marc Leclerc et André Bruel témoignent d'une attention particulière aux parlers et coutumes de l'Anjou rural, dont les expressions et la langue populaire sont encore en survivance à cette époque. Grâce à eux, puis plus tard à Émile Joulain, la tradition folklorique vit de grandes heures entre 1930 et 1960<ref>Élisabeth Verry, ''Les archives des sciences humaines et sociales aux Archives départementales de Maine-et-Loire'', dans ''La Gazette des archives'', n° 212, 2008-4, ''Richesse et diversité : à la découverte des archives des sciences humaines et sociales'', p. 119-132</ref>{{,}}<ref>Archives départementales de Maine-et-Loire, ''Les arts populaires'' dans ''Arts vivants en Anjou du XVIIe au XXIe siècle'', exposition du 22 avril au 23 septembre 2016</ref>.
 
Il séjourne pendant les dix dernières années de sa vie à [[La Ménitré]], commune où s'installe en 1969 la [[Festival de folklore international et fête des coiffes|Fête des coiffes]] qui devient le rendez-vous des poètes patoisants<ref>Ouest-France, ''À La Ménitré, la fête des Coiffes en stand-by'', 6 février 2018</ref>.
 
Marc Leclerc décède à La Ménitré le {{date|11 novembre [[1946]]}}, dans sa maison du Jouc où il s'était installé dans les années 1930<ref name="notice" />{{,}}<ref>Ouest-France, ''Hommage conté et dansé au poète Marc Leclerc'', 13 novembre 2006</ref>. Poète patoisant, il est devenu une référence de la littérature angevine, comme aussi Émile Joulain et [[Yvon Péan]]. Il est parfois surnommé « le barde d'Anjou » ou « le grand maître des parlers d'Anjou » en raison de sa culture de la langue patoisante angevine. Son œuvre est encore très lue en Anjou à la fin du {{XXs}}<ref name="co-27dec2019" />{{,}}<ref>Université d'Angers - Département de lettres modernes et classiques, ''Les Angevins de la littérature : Actes du colloque des 14, 15, 16 décembre 1978'', Librairie Droz, 1979</ref>{{,}}<ref>Chronique thématique, ''Chronique de la correspondance'', Éditions Chronique, 2013</ref>{{,}}<ref>Daniel Couturier, ''Charles Baussan, 1860-1955 : un angevin critique littéraire'', Hérault (Maulévrier), 2000</ref>{{,}}<ref>Georges Cesbron (Université d'Angers - Centre de recherche en littérature et linguistique de l'Anjou et des Bocages), ''Dix siècles de littérature angevine'', Presses de l'Université d'Angers (Angers), 1985</ref>{{,}}<ref>Le Courrier de l'Ouest, ''Disparu il y a 60 ans, le poète Marc Leclerc reste le plus grand barde de l'Anjou'', 9 novembre 2006</ref>.


<poem>
<poem>
''Lors vous comprendrez l'Ang'vin''
''Lors vous comprendrez l’Ang’vin''
''Point faignant, mais ben tranquille''
''Point faignant, mais ben tranquille''
''Ein p'tit porté pour le vin''
''Ein p’tit porté pour le vin''
''Craignant la peine inutile...''
''Craignant la peine inutile...''
</poem>
</poem>


== Bibliographie ==
L'association des Amis du folklore et des parlers d'Anjou (AAFPA) lui rend régulièrement hommage jusqu'en 2023, année de disparition de la structure<ref>Le Courrier de l'Ouest, ''Animation. Un hommage à l'écrivain et poète patoisant Marc Leclerc'', 4 novembre 2016</ref>. En 2016, pour les soixante-dix ans de sa disparition et le centenaire de la guerre 1914-1918, une série de manifestations fait revivre sa mémoire, comme à La Ménitré avec une exposition qui lui est consacrée et une conférence donnée par le linguiste Jean-Paul Chauveau, universitaire et directeur de recherche au {{abréviation|CNRS|Centre national de la recherche scientifique}}, ou bien à Saint-Laurent-de-la-Plaine au [[Musée des métiers de Saint-Laurent-de-la-Plaine|Musée des métiers]] avec une conférence sur l'écrivain régionaliste angevin<ref name="of-3nov2016" />{{,}}<ref>Le Courrier de l'Ouest, ''Animation. Un hommage à l'écrivain et poète patoisant Marc'', 4 novembre 206</ref>.
 
Marc Leclerc est considéré comme l'inventeur des rimiaux en patois angevins. Avec Émile Poulain, ils ont crédibilisé le parler d'Anjou en lui donnant une dimension littéraire poétique<ref name="co-27juillet2019">Le Courrier de l'Ouest, ''Maine-et-Loire. La réédition d'un classique de la chanson angevine'', 27 juillet 2019</ref>{{,}}<ref>Le Courrier de l'Ouest, ''Les Ponts-de-Cé. Une causerie sur les traditions angevines'', 21 juin 2022</ref>.
 
== Portrait (1913) ==
''Marc Leclerc'' par Lionel d'Hys, dans ''Le Cri d'Angers'', journal du dimanche 17 août 1913<ref>Lionel d'Hys, ''Silhouettes Littéraires : M. Marc Leclerc'', dans ''Le Cri d'Angers'', journal du dimanche 17 août 1913, 4{{e}} année, n° 33</ref> :
 
{{citation|Silhouettes Littéraires : M. Marc Leclerc
 
Notre excellent confrère l’Angevin
de Paris annonce la publication prochaine
des « Rimiaux d’Anjou », de
M. Marc Leclerc.
 
Ces « Rimiaux » ou « poésies patoisantes »
ont l’ambition, largement réalisée
du reste, de traduire dans une
langue populaire, très imprégnée de la
saveur du terroir angevin, l’âme paysanne,
touchante et simple, étrangement
sentimentale au fond, de ce pays
d’Anjou, si attachant et si nuancé.
 
Un certain nombre de pièces composant
ces « Rimiaux » ont déjà connue
la publicité des concerts et réunions
littéraires qui ont consacré le double
talent, de poète et d’interprète de M.
Marc Leclerc.
 
Car M. Lecler récite avec un naturel
charmant, et en même temps il présente,
il commente son œuvre, dans un
langage élégant, averti, qui achève de
fixer le caractère des « Rimiaux » lus
ou déclamés. Toujours et partout, œuvre
et compositeur ont obtenu un gros
succès que la prochaine publication ratifiera.
 
Pourquoi ?
 
Eh ! mon Dieu, c’est simple et c’est
ce que je voudrais dire en deux mots
pour bien établir dans la pensée de nos
lecteurs, une physionomie assez exacte
de M. Marc Leclerc.
 
On sait que le langage est essentiellement
le fait de la nature humaine et il
est possible d’arriver par de légitimes
inductions jusqu’à son berceau, la loi
de son développement étant une courbe
dont un grand arc se passe dans l’inconnu,
mais dont nous apercevons une
fraction assez importante pour qu’il
soit possible, comme l’a indiqué M.
Renan, « d’en assigner l’équation et
d’en découvrir le loyer. »
 
On sent dès lors, comment les gens
qui aiment leur pays, et ont cherché à
en analyser les caractères, les finesses,
les charmes, ont été par là même, appelés
à tenter des efforts de langage,
correspondant à leur sympathie. De
ceux-la, on peut dire que leur patriotisme
a été un peu leur grammaire et
leur science, et c’est à eux que l’on doit
non seulement une foule de documents
et de souvenirs historiques, mais aussi
de vivantes effigies des diverses étapes
que le langage populaire a franchies
pour les exprimer.
 
Eh ! bien, M. Marc Leclerc aime son
Anjou, à un point qui excite immédiatement
la sympathie de ceux qui ne
le connaissent pas ; il le chante avec
une joie, un orgueil, une sentimentalité,
une connaissance de cause, qui
communiquent à ses poèmes leur solidité
d’écriture, leur saveur rustique piquante,
leur sensibilité langoureuse,
Ils sont le reflet même de la conscience
angevine, admirablement recueilli et
rétracté, après avoir passé par ce prisme :
l’âme du poète !
 
Et voilà pourquoi les « Rimiaux »
constituent un des plus curieux documents
littéraires, en même temps qu’une
belle et bonne œuvre, saine, émouvante,
pittoresque, coloriée, que tout
Angevin se devra à lui-même de posséder
dans sa bibliothèque comme dans
sa pensée.
 
Ajoutons que le volume, qui ne contiendra
pas moins de 300 pages, sera
illustré par l’auteur, d’une couverture
en couleurs et de nombreux dessins. Il
est en souscription jusqu’au 1{{er}} octobre
1913. On souscrit à la Société des
Artistes Angevins, 74, rue du Cherche-Midi. }}
 
== Œuvres littéraires ==
Quelques ouvrages rédigés par Marc Leclerc :
Quelques ouvrages rédigés par Marc Leclerc :
* ''Rimiaux d'Anjou'', E. Lechevalier, 1913 ;
* ''Les Laboureurs de la mer'', pièce sous-marine en 11 tableaux, vers et prose de Marc Leclerc et Georges Gustave-Toudouze, Ligue maritime française (Paris), 1908 ;
* ''En lâchant l'barda !'', Éditions G.Crès, 1920 ;
* ''Rimiaux d'Anjou'', E. Lechevalier (Paris), 1913 ;
* ''La passion de notre frère le poilu'', Éditions G. Grès et compagnie, 1916-1922 (réédité en 1943 par Les Éditions Montceau Éditeur) ;
* ''Les souvenirs de tranchées d'un poilu'', poésies, G. Crès (Paris), 1917 ;
* ''Poètes angevins d'aujourd'hui - Essais anthologiques'', Édition P. Lefebvre, 1922 ;
* ''Rimiaux d'Anjou- Troisième édition'', Librairie Sainte-Croix (Angers), 1918 ;
* ''L'Anthologie du Sacavin ou Petit Recueil des plus Excellents Propos et Discours (vers et prose) qu'inspira le Glorieux, Subtil et Généreux Vin d'Anjou à nos Auteurs Angevins de tous les Temps et à quelques autres‎'', Édition André Bruel, 1925 ;
* ''En lâchant l'barda !'', poésies, Éditions G. Crès (Paris), 1920 ;
* ''Rimiaux d'Anjou'', André Bruel éditeur, 1932 ;
* ''Avec nos frères les poilus'', éditions de Nos chansons françaises (Paris), 1921 ;
* ''La légende de saint Fort'', Éditions G. Crès, 1933 ;
* ''La passion de notre frère le poilu'', poésies, préface de René Bazin, Éditions G. Grès et compagnie (Paris), 1916-1922 (réédité en 1943 par Les Éditions Montceau) ;
* ''Rimiaux d'Anjou - Anciens et nouveaux'', ‎André Bruel, 1942 ;
* ''Poètes angevins d'aujourd'hui'', essais anthologiques, P. Lefebvre (Paris), 1922 ;
* ''Angers, promenade autour d'une cathédrale'', ‎Éditions Jacques Petit, 1944 ;
* ''L'Anjou'', conférence de campagne touristique, éditions du Touring-Club de France, 1923 ;
* ''Rimiaux d'Anjou, d'hiar et d'anhuit'', Jacques-Petit, 1944 ;
* ''L'Offrande à Cyrnos'', poèsies, P. Lefebvre (Paris), 1923 ;
* ''Touchons du bois'', monologue par Marc Leclerc, La Lyre chansonnière, 1946 ;
* ''L'anthologie du Sacavin ou Petit recueil des plus excellents propos et discours (vers et prose) qu'inspira le glorieux, subtil et généreux vin d'Anjou à nos auteurs Angevins de tous les temps et à quelques autres‎'', Au bibliophile angevin André Bruel (Angers), 1925 ;
* ''Sur l'air Angevin - 50 chansons populaires recueillies en Anjou'', ‎La Lyre Chansonnière, 1947.
* ''L'entarr'ment du père Taugourdeau'', conte en vers, A. Bruel (Angers), 3{{e}} édition, 1925 ;
* ''Rimiaux d'Anjou - Sixième édition'', avec des illustrations de l'auteur, Au bibliophile angevin André Bruel (Angers), 1926 ([[Rimiaux d'Anjou par M. Leclerc (livre)|livre]], dont ''[[Rimiaux d'Anjou par M. Leclerc - Veille de Fête|Veille de Fête]]'') ;
* ''Une artiste angevine : Louise Desbordes-Jouas (1848-1926)'', A. Bruel (Angers), 1927 ;
* ''Rimiaux d'Anjou'', André Bruel éditeur (Angers), 1932 ;
* ''La légende de saint Fort'', André Bruel (Angers), 1933 ;
* ''Notre boule angevine. Un miracle de saint Fort, conte angevin, suivi d'un petit traité du jeu de boules de fort'', André Bruel (Angers), 1933 ;
* ''Mauges et bocage'', Auguste Fontaine (Paris), 1935 ;
* ''Le Haut-Anjou'', A. Bruel (Angers), 1941 ;
* ''Rimiaux d'Anjou - Anciens et nouveaux'', ‎H. Bruel (Angers), 1942 ;
* ''Angers, promenade autour d'une cathédrale'', Jacques Petit (Angers), 1944 ;
* ''Rimiaux d'Anjou, d'hiar et d'anhuit'', Jacques Petit (Angers), 1944 ;
* ''Touchons du bois'', monologue par Marc Leclerc, La Lyre chansonnière (Paris), 1946 ;
* ''Sur l'air angevin : 50 chansons populaires recueillies en Anjou'', La Lyre chansonnière (Paris), 1947 (réédité en 2019 chez Geste éditions, ISBN 979-10-353-0402-7)<ref name="co-27juillet2019" />.


Autres publications :
Autres publications :
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== Notes ==
== Notes ==
À ne pas confondre avec Marc Leclerc, auteur-photographe né en 1975.
Bibliographie
:• Émile Joulain, ''Souvenirs sur Marc Leclerc'', dans ''Société des lettres, sciences & arts du Saumurois'', 68{{e}} année, n° 126, février 1977, impr. Pierre Richou (Saumur), 1977, p. 49-60 ([https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k6528008r/f51.image.r=rimiaux?rk=64378;0 sur Gallica]).
:• ''Rimiaux d'Anjou, chansonnettes et autres textes en Angevin'', par Marc Leclerc, éd. Amis du folklore et des parlers d'Anjou (Angers), 2019 (ISBN 978-2-9543914-7-2)<ref name="co-27dec2019" />.
Sur le même sujet
Sur le même sujet
:• [[Émile Joulain]], [[Yvon Péan]], [[Paul Maudonnet]], [[Charles Antoine]], [[Félix Landreau]], [[Fourchafoin]].
:• [[Les Naulets d'Anjou]]
:• [[Les Naulets d'Anjou]]
:• [[Rimiau|Rimiaux (mot)]]
:• [[Parler angevin (citation)]]
:• [[Dictionnaire des mots de l'Anjou|Quelques mots angevins]]
:• [[Dictionnaire des mots de l'Anjou|Dictionnaire du parler angevin]]
:• [[Langue et littérature angevine]]
:• [[Langue et littérature angevine]]


Sources et annotations
Sources et annotations
:• Bibliothèque nationale de France, [http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb11911959f/PUBLIC Notice d'autorité personne - Leclerc, Marc (1874-1946)], 11 mai 2005
{{Références}}
 
:• Association Les Plantagenets - compagnons de Marc Leclerc, ''L'histoire des naulets d'Anjou'', mars 2014
:• Université d'Angers - Département de lettres modernes et classiques, ''Les Angevins de la littérature - Actes du colloque des 14, 15, 16 décembre 1978'', Librairie Droz, 1979
:• Gérard Linden, ''La boule de fort par noms et par mots'', Éditions Cheminements, 14 juin 2007
:• Chronique thématique, ''Chronique de la correspondance'', Éditions Chronique, 2013
:• Daniel Couturier, ''Charles Baussan, 1860-1955 : un angevin critique littéraire'', Hérault, 2000
:• Georges Cesbron - Université d'Angers - Centre de recherche en littérature et linguistique de l'Anjou et des Bocages, ''Dix siècles de littérature angevine'', Presses de l'Université d'Angers, 1985
:• Association des écrivains combattants, ''Les membres fondateurs de l'A.E.C.'', 10 juin 2010




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