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* Jules Michelet, ''Histoire de France jusqu'au XVIe siècle'', Nouvelle édition, tome deuxième, L. Hachette et cie, 1852, p. 30 (cabaniers, habitants de fermes appelées cabanes) | * Jules Michelet, ''Histoire de France jusqu'au XVIe siècle'', Nouvelle édition, tome deuxième, L. Hachette et cie, 1852, p. 30 (cabaniers, habitants de fermes appelées cabanes) |
Version du 23 décembre 2017 à 03:47
En patois angevin
- cabanier
Mot
Nom, masculin singulier, au pluriel cabaniers.
En Anjou, un cabanier désigne un roulottier, un forain, un saltimbanque. À Rochefort-sur-Loire désigne des nomades, généralement des manouches.
Exemple : « Il est toujou fourré aux fouéres avec les cabaniers » (A.-J. Verrier et R. Onillon).
Dans l'Aunis et la Vendée, désigne un fermier.
Notes
- Se dit à Rochefort-sur-Loire (source).
- Voir aussi fratres.
- Anatole-Joseph Verrier et René Onillon, Glossaire étymologique et historique des parlers et patois de l'Anjou, Germain & Grassin, 1908, t. 1, p. 152
- Jules Michelet, Histoire de France jusqu'au XVIe siècle, Nouvelle édition, tome deuxième, L. Hachette et cie, 1852, p. 30 (cabaniers, habitants de fermes appelées cabanes)
- Abbé Gusteau et M. Pressac, Poésies patoises, Henri Oudin imprimeur libraire, 1855-1861, p. 93 (fermier d'une cabane dans le Bas-Poitou)
- Émile Littré Dictionnaire de la langue française, 1872-1877 (cabanier, dans l'Aunis et la Vendée, fermier)