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Les sites de Noyant-la-Gravoyère<ref>Ministère de la Culture, ''Base Mérimée (Noyant-la-Gravoyère, Misengrain et Saint-Blaise)'', juillet 2012</ref> :
Les sites de Noyant-la-Gravoyère<ref>Ministère de la Culture, ''Base Mérimée (Noyant-la-Gravoyère, Misengrain et Saint-Blaise)'', juillet 2012</ref> :
* Ardoisière de Misengrain, attestée au {{XVIIs}}, et qui pris son essor au {{XIXe}}. Deux puits principaux subsistent avec leur chevalement.
* Ardoisière de Misengrain, attestée au {{XVIIs}}, et qui prit son essor au {{XIXe}}. Deux puits principaux subsistent avec leur chevalement.
* Ardoisière de Saint-Blaise, puis musée dit la Mine Bleue. L'ardoisière de Saint-Blaise, à la Gâtelière, est l'une des nombreuses expériences isolées entreprises aux {{XIXe}} et {{XXs}}s. Le site a été transformé en musée en 1990 sous le nom de ''La Mine Bleue''<ref>[[La mine bleue de Noyant-la-Gravoyère]], octobre 2012</ref>.
* Ardoisière de Saint-Blaise, puis musée dit la Mine Bleue. L'ardoisière de Saint-Blaise, à la Gâtelière, est l'une des nombreuses expériences isolées entreprises aux {{XIXe}} et {{XXs}}s. Le site a été transformé en musée en 1990 sous le nom de ''La Mine Bleue''<ref>[[La mine bleue de Noyant-la-Gravoyère]], octobre 2012</ref>.



Version du 6 novembre 2016 à 14:47

Photographie de Misengrain.

On trouve sur la commune de Noyant-la-Gravoyère (Maine-et-Loire) des gisements de schiste ardoisier, avec plusieurs sites d'exploitation.

Les sites ardoisiers se développent aux XIXe et XXe siècles. Seize carrières sont mentionnées en Maine-et-Loire en 1826. Concernant les ardoisières, on trouve celle de Misengrain (Noyant-la-Gravoyère) et celle de Saint-Blaise (Noyant-la-Gravoyère), celle de la Grande Besnardière (Châtelais), celles à Tirande et Grimet (L'Hôtellerie-de-Flée)[1].

Les sites de Noyant-la-Gravoyère[2] :

  • Ardoisière de Misengrain, attestée au XVIIe siècle, et qui prit son essor au XIXe. Deux puits principaux subsistent avec leur chevalement.
  • Ardoisière de Saint-Blaise, puis musée dit la Mine Bleue. L'ardoisière de Saint-Blaise, à la Gâtelière, est l'une des nombreuses expériences isolées entreprises aux XIXe et XXe siècles. Le site a été transformé en musée en 1990 sous le nom de La Mine Bleue[3].

L'exploitation de minerai a longtemps été une activité importante à Noyant-la-Gravoyère, que ce soit l'extraction du schiste ardoisier et du minerai de fer, les fours à chaux, les mines de charbon, et une briqueterie[4],[5].

Noyant-la-Gravoyère se trouve dans le Segréen, à 40 kilomètres au nord-ouest d'Angers[6].


Sur le même sujet :

Notes

  1. Ministère de la Culture (Région Pays de la Loire - Centre de ressources), Base Mérimée (Pays Segréen, carrières, IA49002284), février 2003
  2. Ministère de la Culture, Base Mérimée (Noyant-la-Gravoyère, Misengrain et Saint-Blaise), juillet 2012
  3. La mine bleue de Noyant-la-Gravoyère, octobre 2012
  4. Pierre-Louis Augereau, Les secrets des noms de communes et lieux-dits du Maine-et-Loire, Cheminements, 2004, p. 123
  5. Mairie de Noyant-la-Gravoyère, Brève histoire de l'ardoise et du fer, octobre 2016
  6. Lion1906, Distances orthodromiques (à vol d'oiseau) à partir de Noyant-la-Gravoyère, juin 2010

Sites ardoisiers en Maine-et-Loire : Angers, Angrie, Avrillé, Châtelais, Combrée, L'Hôtellerie-de-Flée, La Jaille-Yvon, Juigné, Noyant-la-Gravoyère, Les Ponts-de-Cé, La Pouëze, Saint-Barthélemy, Trélazé, Vern-d'Anjou.