« Forêt de Brissac » : différence entre les versions

calcaires résiduels (faluns). Elle est principalement constituée de Chênes sessiles (''Quercus petraea'') ainsi que par des enrésinements croissants de conifères : Douglas (''Pseudotsuga menziesii''), Pins laricios (''Pinus nigra'') et Pins sylvestres (''Pinus sylvestris''). Les peuplements résineux sont issus des reboisements des années 1960 et 1970. La zone englobe aussi des étangs, dont celui de Montayer, et des vallons humides. Elle est traversée par deux ruisseaux qui alimentent deux étangs, le ruisseau de Montayer et le ruisseau des Sablons. La zone est un site de nidification pour plusieurs espèces d'oiseaux<ref name="geoportail" />{{,}}<ref name="znieff-520004470" />{{,}}<ref>Patrick Blanchard et Bérénice Tigier, ''De votre forêt à vos barriques'', dans ''Bois & forêts de l'Ouest'', Journal semestriel d'information des propriétaires forestiers de Bretagne - Pays de la Loire, n° 9, juin 2022, p. 3</ref>. Une partie de la forêt fait l'objet d'une gestion des équilibres naturels qui mélange les essences et les classes d'âge d'arbres<ref name="lla-juill2025">''La biodiversité de la forêt de Brissac et ses abords'', Communauté de communes Loire-Layon-Aubance, juillet 2025</ref>.