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<big>'''Les cours d'eau angevins'''</big><br />
<big>'''Les ardoisières de Trélazé'''</big><br />


Le Maine-et-Loire possède un important réseau hydrographique : l'Aubance, l'Authion, l'Èvre, le Layon et l'Hyrôme, le Loir, la Loire, la Maine, la Mayenne, l'Oudon, la Sarthe, la Sèvre Nantaise et la Moine, le Thouet et la Dive.<br />
Tous les chefs-d'oeuvre du Val de Loire sont coiffés de l'ardoise angevine, dont la qualité s'est imposée comme une référence. De par sa géologie, le schiste ardoisier est très présent en Anjou. Son exploitation se développe au XIX{{s}}, notamment à Trélazé.<br />
C'est un carrefour de rivières ; comme la Mayenne, la Sarthe et le Loir qui forment la Maine, et la Loire qui traverse le département d'Est en Ouest.<br />
À la fin des années 1960, la société des Ardoisières d'Angers-Trélazé représente 60 % de la production française, et exploite des puits à Trélazé, Combrée, La Pouëze, Saint-Saturnin, etc. Elle emploie {{formatnum:2100}} personnes.<br />
Avec {{formatnum:5100}} km de rivières et de ruisseaux, le département est la plus vaste confluence du bassin de la Loire.<br />
La production passe de {{formatnum:80000}} tonnes en 1982, à {{formatnum:40000}} tonnes en 1990, puis à {{formatnum:25000}} tonnes en 1997. Face à l'épuisement des gisements, l'entreprise ferme en mars 2014.<br />


'''[[Liste des cours d'eau de Maine-et-Loire|Lire la suite]]'''
'''[[Ardoisières de Trélazé|Lire la suite]]'''
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Version du 27 février 2015 à 20:00

Les ardoisières de Trélazé

Tous les chefs-d'oeuvre du Val de Loire sont coiffés de l'ardoise angevine, dont la qualité s'est imposée comme une référence. De par sa géologie, le schiste ardoisier est très présent en Anjou. Son exploitation se développe au XIXe siècle, notamment à Trélazé.
À la fin des années 1960, la société des Ardoisières d'Angers-Trélazé représente 60 % de la production française, et exploite des puits à Trélazé, Combrée, La Pouëze, Saint-Saturnin, etc. Elle emploie 2 100 personnes.
La production passe de 80 000 tonnes en 1982, à 40 000 tonnes en 1990, puis à 25 000 tonnes en 1997. Face à l'épuisement des gisements, l'entreprise ferme en mars 2014.

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