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« Pépinières Levavasseur » : différence entre les versions

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Au début des années 2010 l'activité des pépinières Levavasseur est centrée sur la multiplication de jeunes plants et l'élevage hors sol ou en pleine terre. On y trouve des jeunes plants et des plantes élevées, sous forme de semis, repiques, godets pleine terre et conteneurs<ref>Pépinières Levavasseur, ''Présentation'', novembre 2013</ref>. C'est alors le fleuron de l'horticulture angevine<ref name="of-28septembre2016">Ouest-France, ''Brain-sur-l'Authion. Les pépinières Levavasseur liquidées'', article du 28 septembre 2016</ref>.
Au début des années 2010 l'activité des pépinières Levavasseur est centrée sur la multiplication de jeunes plants et l'élevage hors sol ou en pleine terre. On y trouve des jeunes plants et des plantes élevées, sous forme de semis, repiques, godets pleine terre et conteneurs<ref>Pépinières Levavasseur, ''Présentation'', novembre 2013</ref>. C'est alors le fleuron de l'horticulture angevine<ref name="of-28septembre2016">Ouest-France, ''Brain-sur-l'Authion. Les pépinières Levavasseur liquidées'', article du 28 septembre 2016</ref>.


Plusieurs entreprises angevines du secteur sont en difficultées et placées en procédure de sauvegarde ou en redressement judiciaire : Chauvin horticulture (Montjean-sur-Loire), André Briant Jeunes plants (Saint-Barthélemy-d'Anjou), Gaignard fleurs (Les Ponts-de-Cé) et les pépinières Levavasseur (Brain-sur-l'Authion)<ref>Angers Mag, ''L'horticulture angevine à la recherche d'un nouveau souffle'', article des 14 et 16 octobre 2014</ref>. Cette dernière rencontre des difficultés économiques, son chiffre d'affaires ayant été divisé par deux en dix ans. Le 28 septembre 2016, le tribunal de commerce d'Angers prononce la liquidation judiciaire des pépinières Levavasseur, qui compte alors 21 salariés<ref name="of-28septembre2016" />{{,}}<ref>Le Courrier de l'Ouest, ''Brain-sur-l'Authion Les pépinières Levavasseur en liquidation'', article du 28 septembre 2016</ref>. Après huit mois de liquidation judiciaire, les pépinières de Loire-Authion sont reprises par le groupement de maraîchers nantais Primaloire. Seuls quatre salariés sont conservés<ref>Le Courrier de l'Ouest, ''Loire-Authion. Les pépinières Levavasseur cédées à des maraîchers'', 10 mai 2017</ref>.
Plusieurs entreprises angevines du secteur sont en difficultées et placées en procédure de sauvegarde ou en redressement judiciaire : Chauvin horticulture (Montjean-sur-Loire), André Briant Jeunes plants (Saint-Barthélemy-d'Anjou), Gaignard fleurs (Les Ponts-de-Cé) et les pépinières Levavasseur (Brain-sur-l'Authion)<ref>Angers Mag Info (Ouest eMedia Presse, dir. Yannick Sourisseau), ''L'horticulture angevine à la recherche d'un nouveau souffle'', article des 14 et 16 octobre 2014</ref>. Cette dernière rencontre des difficultés économiques, son chiffre d'affaires ayant été divisé par deux en dix ans. Le 28 septembre 2016, le tribunal de commerce d'Angers prononce la liquidation judiciaire des pépinières Levavasseur, qui compte alors 21 salariés<ref name="of-28septembre2016" />{{,}}<ref>Le Courrier de l'Ouest, ''Brain-sur-l'Authion Les pépinières Levavasseur en liquidation'', article du 28 septembre 2016</ref>. Après huit mois de liquidation judiciaire, les pépinières de Loire-Authion sont reprises par le groupement de maraîchers nantais Primaloire. Seuls quatre salariés sont conservés<ref>Le Courrier de l'Ouest, ''Loire-Authion. Les pépinières Levavasseur cédées à des maraîchers'', 10 mai 2017</ref>.


== L'entreprise ==
== L'entreprise ==