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| commune = [[Saint-Georges-des-Gardes]] | | commune = [[Saint-Georges-des-Gardes]] | ||
| libre = Fusion-association <br>du 1{{er}} janvier 1973 | | libre = Fusion-association <br>du 1{{er}} janvier 1973 | ||
| carte = [[ | | carte = [[File:Carte situation commune saintgeorgesdesgardes.png|300px|center|link=Saint-Georges-des-Gardes|Situation dans le département]] | ||
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== Généralités == | == Généralités == | ||
La commune des Gardes est créée par la loi du {{date|1{{er}} juin [[1853]]}}. Elle s'étend sur {{unité|430|hectares}}, 182 ha provenant du territoire de [[Saint-Georges-du-Puy-de-la-Garde]] et 233 ha de celui de [[La Tourlandry]]<ref name="cport-1978">Célestin Port (révisé par Jacques Levron, Pierre d'Herbécourt, Robert Favreau et Cécile Souchon), ''Dictionnaire historique, géographique et biographique de Maine-et-Loire et de l'ancienne province d'Anjou'', {{t.|II}} (D-M), H. Siraudeau & Cie (Angers), 1978, 2e éd. (1re éd. 1876), {{p.|210-211}}</ref>. | La commune des Gardes est créée par la loi du {{date|1{{er}} juin [[1853]]}}<ref>Loi n° 443 du 1{{er}} juin 1853 relative à la création de la commune des Gardes, ''Bulletin des lois de l'Empire français'', XI{{e}} série, tome 1{{er}}, Imprimerie impériale (Paris), du 4 juin 1853, p. 907-908</ref>. Elle s'étend sur {{unité|430|hectares}}, 182 ha provenant du territoire de [[Saint-Georges-du-Puy-de-la-Garde]] et 233 ha de celui de [[La Tourlandry]]<ref name="cport-1978">Célestin Port (révisé par Jacques Levron, Pierre d'Herbécourt, Robert Favreau et Cécile Souchon), ''Dictionnaire historique, géographique et biographique de Maine-et-Loire et de l'ancienne province d'Anjou'', {{t.|II}} (D-M), H. Siraudeau & Cie (Angers), 1978, 2e éd. (1re éd. 1876), {{p.|210-211}}</ref>. | ||
À sa création, Les Gardes se trouve dans le canton [[Canton de Chemillé|de Chemillé]] et l'arrondissement [[Arrondissement de Cholet|de Cholet]]<ref name="cport-1978" />. | À sa création, Les Gardes se trouve dans le canton [[Canton de Chemillé|de Chemillé]] et l'arrondissement [[Arrondissement de Cholet|de Cholet]]<ref name="cport-1978" />. | ||
Population : 102 feux en 1807, 941 habitants en 1851, 980 hab. en 1861, 810 hab. en 1872, 670 hab. en 1901, 467 hab. en 1911, 401 hab. en 1921, 314 hab. en 1936, 329 hab. en 1946, 382 hab. en 1962, 378 hab. en 1968<ref name="cport-1978" />. | Population : {{unité|102|feux}} en 1807, {{unité|941|habitants}} en 1851, 980 hab. en 1861, 810 hab. en 1872, 670 hab. en 1901, 467 hab. en 1911, 401 hab. en 1921, 314 hab. en 1936, 329 hab. en 1946, 382 hab. en 1962, 378 hab. en 1968<ref name="cport-1978" />. | ||
En [[1973]], Les Gardes est à nouveau réunie à Saint-Georges-du-Puy-de-la-Garde (fusion association), qui devient [[Saint-Georges-des-Gardes]]<ref>''Arrêté préfectoral du 28 décembre 1972'', dans le ''Recueil des actes administratifs'' de la préfecture de Maine-et-Loire, 1973, p. 30.</ref>{{,}}<ref>École des hautes études en sciences sociales (EHESS), ''Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui - Notice communale de Les-Gardes'', 2007</ref>. | En [[1973]], Les Gardes est à nouveau réunie à Saint-Georges-du-Puy-de-la-Garde (fusion association), qui devient [[Saint-Georges-des-Gardes]]<ref>''Arrêté préfectoral du 28 décembre 1972'', dans le ''Recueil des actes administratifs'' de la préfecture de Maine-et-Loire, 1973, p. 30.</ref>{{,}}<ref>École des hautes études en sciences sociales (EHESS), ''Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui - Notice communale de Les-Gardes'', 2007</ref>. | ||