« Rochefort sur Loire - Chaume » : différence entre les versions

Rochefort sur Loire - Chaume (voir la source)

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 Appelé autrefois ''villages Les Chaumes'', ce territoire relevait en partie de La Grande-Guerche (Saint-Aubin-de-Luigné), mais surtout du Ronceray par le fief de la Cour-de-Pierre (Rochefort-sur-Loire)<ref>Célestin Port, ''Dictionnaire historique géographique et biographique de Maine-et-Loire'', 1874 1878, Édition révisée de 1965 par Jacques Levron et Pierre d'Herbécourt, t. 1, p. 696</ref>.
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 == Appellation Quarts de Chaume ==
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 En 2005, on y trouvait 19  vinificateurs (17 viticulteurs, 1 cave coopérative, 1 négociant), produisant 872 hectolitres<ref name="aoc-quarts" />.
-Ce vignoble doit son nom à un usage ancien. Il s'explique par l'ancien usage selon lequel le quart de chaque récolte était dû au propriétaire des lieux, le seigneur de la Haute-Guerche (Saint-Aubin-de-Luigné)<ref>Pierre-Louis Augereau, ''Les secrets des noms de communes et lieux-dits du Maine-et-Loire'', Editions Cheminements, 2004, p. 258 et 259</ref>.
+Ce vignoble doit son nom à un usage ancien. Il s'explique par l'ancien usage selon lequel le quart de chaque récolte était dû au propriétaire des lieux, le seigneur de la Haute-Guerche (Saint-Aubin-de-Luigné)<ref>Pierre-Louis Augereau, ''Les secrets des noms de communes et lieux-dits du Maine-et-Loire'', Éditions Cheminements, 2004, p. 258 et 259</ref>.
 Le décret de reconnaissance de l’appellation d’origine contrôlée « Quarts de Chaume » date du 10 août 1954<ref name="cahier-quarts" />. En 2014, le quarts-de-chaume obtient la mention grand cru<ref>Vins Val de Loire (InterLoire - Interprofession des Vins de du Val de Loire), [http://www.vinsvaldeloire.fr/SiteGP/FR/Appellation/Appellation/Quarts-de-Chaume-grand-cru Quarts-de-chaume grand cru], 15 avril 2014</ref>{{,}}<ref>Ouest-France, ''Les liquoreux de Loire prennent du galon'', article du 14 avril 2014</ref>.
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 == Appellation Chaume ==
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 D'abord AOC Coteaux-du-Layon Chaume (1950), l'appellation deviendra AOC Chaume en 2003<ref>Legifrance, [http://www.legifrance.gouv.fr/affichTexte.do?cidTexte=JORFTEXT000000612542 Décret du 19 septembre 2003], relatif à l'appellation d'origine contrôlée « Chaume-Premier cru des Coteaux du Layon ».</ref>, puis AOC Coteaux du Layon premier cru Chaume en 2011<ref name="aoc-chaume">Institut national de l'origine et de la qualité (INAO), [http://www.inao.gouv.fr/public/produits/detailProduit.php?ID_PRODUIT=9008 Liste des produits - Chaume], août 2013</ref> ; appellation premier cru confirmée par une décision du Conseil d'État en 2014<ref>Conseil d'État, [http://arianeinternet.conseil-etat.fr/arianeinternet/ViewRoot.asp?View=Html&DocFrame=_top&PushDirectUrl=1&Item=1&fond=DCE&texte=coteaux+du+layon&Page=1 Décision - N° 356103], du 26 février 2014</ref>.
-Cette dénomination géographique donne également des vins réputés<ref>Courrier de l'Ouest, ''Un chaume récompensé à la foire aux vins de Londres'', article du 23 mai 2012</ref>.
+Cette dénomination géographique donne également des vins réputés<ref>Le Courrier de l'Ouest, ''Un chaume récompensé à la foire aux vins de Londres'', article du 23 mai 2012</ref>.
 Ces vins blancs moelleux sont idéal pour l’apéritif, ou servit avec un foie gras ou un dessert, ou bien encore un plat méditerranéen, un poisson en sauce. Certaines cuvées prestiges sont obtenues de tri de vendange (température de service 7 à 9 °C).
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 Sources et annotations
-<references />
+{{Références}}