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C'est en 2006, lorsqu'elle était en terminale, qu'elle subit un traumatisme crânien en finale du championnat de France à cause d'un mauvais coup au visage. Suite à son traumatisme, elle est obligée d'arrêter le karaté et d'entamer des séances de neuro-chirurgie, cela l'entraîne dans 2 ans de pure souffrance, elle est enfermée jour et nuit dans sa chambre et doit faire le deuil de la championne de karaté qu’elle était. D'après ses médecins, sa carrière était finis malgré tout elle ne les écoute pas et se redirige vers la boxe, "sans écouter son corps" comme elle le dit dans plusieurs interview. | C'est en 2006, lorsqu'elle était en terminale, qu'elle subit un traumatisme crânien en finale du championnat de France à cause d'un mauvais coup au visage. Suite à son traumatisme, elle est obligée d'arrêter le karaté et d'entamer des séances de neuro-chirurgie, cela l'entraîne dans 2 ans de pure souffrance, elle est enfermée jour et nuit dans sa chambre et doit faire le deuil de la championne de karaté qu’elle était. D'après ses médecins, sa carrière était finis malgré tout elle ne les écoute pas et se redirige vers la boxe, "sans écouter son corps" comme elle le dit dans plusieurs interview. | ||
C'est donc en 2008, qu'elle commence la boxe | C'est donc en 2008, qu'elle commence la boxe française, un sport, qui pour elle se rapprochait le plus du karaté. | ||
À la sortie du lycée, diplôme en poche, la jeune Avrillaise s’inscrit en Staps (faculté de sport), à Nantes, où elle obtient son diplôme et évolue en fédéral à partir de 2013. | |||
Elle a débord décroché le titre de championne de France en assaut en 2014 et 2015, avant de réaliser le tiercé gagnant en 2016 : championne de France, d’Europe et enfin championne du monde. En 2017, la boxeuse devient vice championne de France à la boxe française. Avant de redevenir, une seconde fois championne du monde en Bulgarie l'année d'après. | |||
En 2018, elle est également nominée, aux côtés de la lauréate angevine Amandine Brossier, pour le titre de « Sportive de l’année en Anjou », dans le cadre des trophées des champions décernés par Le Courrier de l’Ouest. | |||
Cela fait 5 ans, à ce jour, que Rim Ridane est licenciée au club de Riaillé, ville nantaise, où elle s'y entraine deux fois par semaine dans la catégorie moins de 60 kgs. ELle est également professeure d'Education Physique et Sportive dans un lycée depuis 4 ans et préparatrice mentale pour les jeunes footballeurs du club du SCO. | |||
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