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[[File:Alexis Axilette - Thémistocle.jpg|right|thumb|upright=1|alt=Peinture Thémistocle se réfugie chez Admète.|Thémistocle se réfugie chez Admète]]

Alexis Axilette<ref>Axilette, Alexis (1860-1931)</ref> naît à [[Durtal]], en [[Maine-et-Loire]], le 10 octobre [[1860]]. Il étudie à l'[[École des beaux-arts d'Angers]], puis à l'École des beaux-arts de Paris où il sera l'élève de Gérôme<ref name="cport-1965">Célestin Port, ''Dictionnaire historique, géographique et biographique de Maine-et-Loire et de l'ancienne province d'Anjou'', t. I (A-C), édition révisée en 1965 par Jacques Levron et Pierre d'Herbécourt, H. Siraudeau et Cie, p. 215</ref>{{,}}<ref>''Revue de l'Anjou'', Nouvelle série, 1{{re}} et 2{{e}} livraisons - Janvier et février 1894, Tome XXVIII, Germain et G. Grassin impr.libr., 1894, p. 375</ref>{{,}}<ref>Georges Lafenestre, ''Le livre d'or du Salon de peinture et sculpture'', E. Flammarion successeur, 1889, p. 6</ref>.

Alexis Axilette est peintre de figure, de paysage et de portrait des {{XIXe}} et début du {{XXs}}s, et est surtout reconnu comme portraitiste. Il expose en 1884 au Salon, le salon des artistes français à Paris. L'année suivante il obtient le grand prix de Rome, concours et bourse d'étude de l'Académie des beaux-arts (Paris) permettant de se former en Italie, avec sa peinture ''Thémistocle se réfugie chez Admète'', une scène historique. Il participe en 1896 à l'exposition de Munich, avec un pastel<ref name="cport-1965" />{{,}}<ref>Les collections du département des arts graphiques du Louvre, ''Axilette Alexis'', fiche du 29 décembre 2012.</ref>{{,}}<ref>''Dictionnaire critique et documentaire des peintres, sculpteurs, dessinateurs et graveurs'', Emmanuel Bénézit (dir.), tome premier (A-C), Ernest Gründ éditeur, 1924, p. 290</ref>{{,}}<ref>''Connaissance des arts'', Numéros 323 à 326, Société française de promotion artistique, 1979, p. 22</ref>.

L'artiste meurt à Durtal le 3 juillet [[1931]]<ref>[http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb149686750 Notice d'autorité BnF].</ref>. En 1977, le musée d'Angers recevra une importante donation de la part de son fils, Jean Axilette<ref>Georges Bernier et Rosamond Bernier, '' L'Oeil'', revue d'art mensuelle, numéros 276 à 281, 1978, p. 89</ref>.