« Louresse-Rochemenier » : différence entre les versions

Au Moyen Âge, la seigneurie de Louresse appartient au fief de Launay. Au {{XVIIIs}}, Louresse dépend du baillage, de la sénéchaussée, de l'élection, de la subdélégation et du grenier à sel de Saumur. Le vieux bourg de Rochemenier est en grande partie troglodyte avec de nombreuses caves creusées dans le calcaire. À la fin du {{XVIIIe}}, de nombreux habitants du Douessin ont leurs logements dans des caves créées par l'exploitation des carrières de tuffeau<ref name="cport-t2">Célestin Port (révisé par Jacques Levron, Pierre d'Herbécourt, Robert Favreau et Cécile Souchon), ''Dictionnaire historique, géographique et biographique de Maine-et-Loire et de l'ancienne province d'Anjou'', {{t.|II}} (D-M), H. Siraudeau & Cie (Angers), 1978, 2e éd. (1re éd. 1874), {{p.|388-390}} (Louresse-Rochemenier)</ref>{{,}}<ref name="cport-t3">Célestin Port (révisé par André Sarazin et Pascal Tellier), ''Dictionnaire historique, géographique et biographique de Maine-et-Loire et de l'ancienne province d'Anjou'', {{t.|III}} (N-R), H. Siraudeau & Cie (Angers), 1989, 2e éd. (1re éd. 1878), {{p.|479-480}} (Rochemenier)</ref>.