« Sainte-Gemmes-sur-Loire » : différence entre les versions

Des peuplades occupent ce territoire dès les temps néolithiques puis à l'époque gallo-romaine. Au début du {{XIs}}, [[Foulques Nerra]] y créé un [[Glossaire#C|chapitre]] de chanoines. La seigneurie dépend au Moyen Âge du château d'Angers, et s'étend sur Les Ponts-de-Cé, Sorges, Saint-Germain-lès-Angers et en différent points de la ville d'Angers et plusieurs îles de la Loire. L'éperon barré contrôle la navigation sur les deux rivières de la Maine et de la Loire. Au {{XVs}}, le [[roi René]] fait bâtir ou agrandir des manoirs de plaisance dans la région d'Angers, comme le [[manoir de Belligan]]. Sainte-Gemmes-sur-Loire relève au {{XVIIIe}} des aides, de l'élection et du grenier à sel d'Angers<ref>O. Desmazières, ''Un habitat néolithique dans la commune de Sainte-Gemmes-sur-Loire au Camp de César (Maine-et-Loire)'', dans ''Bulletin de la Société préhistorique de France'', tome 30, n° 11, 1933, p. 597-599</ref>{{,}}<ref name="cport-1996">Célestin Port (révisé par André Sarazin et Pascal Tellier), ''Dictionnaire historique, géographique et biographique de Maine-et-Loire et de l'ancienne province d'Anjou'', {{t.|IV}} (S-Z), H. Siraudeau & Cie (Angers), 1996, 2e éd. (1re éd. 1878), {{p.|259-266}}</ref>{{,}}<ref>[[Manoir de Belligan]], 2017-2019, dont ''Les châteaux et manoirs de l'agglomération angevine'' de Jean-René Morice, dans ''Norois'' n° 178, avril-juin 1998, p. 209-225</ref>.