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« Château de Saint-Symphorien » : différence entre les versions

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Le petit village fortifié de la Motte St-Symphorien fut la première paroisse de Rochefort, siège d'une ancienne ville close qui abritera jusqu'à la fin du {{XVIe}} une partie importante de la population locale. Elle fusionnera au {{XIIIs}} avec celle de Sainte-Croix de Rochefort.
Le petit village fortifié de la Motte St-Symphorien fut la première paroisse de Rochefort, siège d'une ancienne ville close qui abritera jusqu'à la fin du {{XVIe}} une partie importante de la population locale. Elle fusionnera au {{XIIIs}} avec celle de Sainte-Croix de Rochefort.


Réutilisant les bases des anciennes murailles comme fondations, un château néo-gothique fut construit en 1864 ({{Époque contemporaine}})<ref>Célestin Port, ''Dictionnaire historique géographique et biographique de Maine-et-Loire'', 1874-1878, t. 4, édition révisée en 1996 par André Sarazin et Pascal Tellier, H. Siraudeau, p. 247 (Saint-Symphorien)</ref>{{,}}<ref>Célestin Port, ''Dictionnaire historique, géographique et biographique de Maine-et-Loire et de l'ancienne province d'Anjou'', 1874-1878, t. 4, édition révisée en 1996 par André Sarazin et Pascal Tellier, p. 467-475 (Rochefort)</ref>{{,}}<ref>Le Courrier de l'Ouest, ''Découvrir les « roches fortes », journal du 3 août 2017, p. 10 (entretien avec Jean-Louis Robin)</ref>.
Réutilisant les bases des anciennes murailles comme fondations, un château néo-gothique est construit en 1864 ([[1801|{{XIXe}}]], {{Époque contemporaine}})<ref>Célestin Port, ''Dictionnaire historique géographique et biographique de Maine-et-Loire'', 1874-1878, t. 4, édition révisée en 1996 par André Sarazin et Pascal Tellier, H. Siraudeau, p. 247 (Saint-Symphorien)</ref>{{,}}<ref>Célestin Port, ''Dictionnaire historique, géographique et biographique de Maine-et-Loire et de l'ancienne province d'Anjou'', 1874-1878, t. 4, édition révisée en 1996 par André Sarazin et Pascal Tellier, p. 467-475 (Rochefort)</ref>{{,}}<ref>Le Courrier de l'Ouest, ''Découvrir les « roches fortes », journal du 3 août 2017, p. 10 (entretien avec Jean-Louis Robin)</ref>.


Le site a été inscrit à l'inventaire des Monuments historiques en 1943<ref name="sdap" />.
Le site a été inscrit à l'inventaire des Monuments historiques en 1943<ref name="sdap" />.