« Mozé-sur-Louet » : différence entre les versions

Son code commune (Insee) est 49222 et son code postal est 49610. Les habitants se nomment les Mozéens et les Mozéennes<ref name="mairie-aujourdhui">Mozé-sur-Louet, ''Mozé aujourd'hui'', 2020</ref>. Sa population est de {{formatnum:2000}} habitants en 1999 et de {{formatnum:1991}} en 2017<ref>[[Population de Maine-et-Loire]] ([[Population de Maine-et-Loire/1999|1999]], [[Population de Maine-et-Loire/2017|2017]])</ref>. La commune appartient à l'Aire d'attraction des villes d'Angers, à la Zone d'emploi d'Angers et au bassin de vie d'Angers<ref name="insee-gae" />.

Un habitat préhistorique a été trouvé aux Chaloignes. Le territoire semble également avoir été occupé à l'époque gallo-romaine. Au Moyen Âge, le fief est une seigneurie sans manoir. L'église, qui appartient à l'évêque, est donnée à Saint-Serge-d'Angers en même temps que le bourg qui appartenait au seigneur de [[Vihiers]]. Les moines y établirent un prieuré. Au {{XVIs}}, la seigneurie est réunie à la Crossonnière, terre seigneuriale à Mozé relevant de Claye. Le territoire dépend au {{XVIIIe}} de l'élection, de la subdélégation et du baillage d'Angers, et du grenier à sel d'Ingrandes<ref name="gallia">Grégor Marchand, Rémy Arthuis, Sylvie Philibert, Farid Sellami et Sandra Sicard (et Philippe Forré, Sylvain Lanoë, Jean-François Nauleau, Laurent Quesnel et Guirec Querré, contributeurs), ''Un habitat azilien en Anjou : les Chaloignes à Mozé-sur-Louet (Maine-et-Loire)'', dans ''Gallia préhistoire'', tome 51, 2009, p. 1-111</ref>{{,}}<ref name="cport-1978">Célestin Port (édition révisée de Jacques Levron, Pierre d'Herbécourt et Cécile Souchon), ''Dictionnaire historique, géographique et biographique de Maine-et-Loire et de l'ancienne province d'Anjou'', {{t.|II}} (D-M), H. Siraudeau & Cie (Angers), 1978, 2e éd. (1re éd. 1876), {{p.|487-488}}</ref>{{,}}<ref>Mairie de Mozé-sur-Louest, ''Un peu d'histoire'', 2020</ref>.