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'''Le Bourg-d'Iré''' est une ancienne commune de l'ouest de la France qui se situe dans le département de [[Maine-et-Loire]] (49), au sud de [[Noyant-la-Gravoyère]] et au sud-est de [[Pouancé]]. Elle est intégrée depuis 2016 à [[Segré-en-Anjou Bleu]] dans laquelle elle est une commune déléguée.
 
Ses habitants se nomment les Bourg d'Iréen(ne)s.
 
 
== Situation administrative ==
La commune angevine du Bourg-d'Iré est membre en 2016 de la communauté de communes [[Communauté de communes du canton de Segré|de Segré]], et se trouve dans le canton [[Canton de Segré|de Segré]] (Combrée en 1793, [[Canton de Segré (ancien)|Segré]] en 1801) et l'arrondissement [[Arrondissement de Segré|de Segré]]<ref>École des hautes études en sciences sociales (EHESS), ''Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui - Notice communale de Le Bourg-d'Iré'', 2007</ref>.
 
Elle porte le code Insee 49037 et est associée au [[Codes postaux des communes de Maine-et-Loire|code postal]] 49520<ref name="lion1906" />. Ses habitants s'appellent (gentilé) Bourg d'Iréen, Bourg d'Iréenne. Sa population est de {{unité|724|habitants}} en 1999, 784 en 2006 et 904 en 2016<ref>[[Population de Maine-et-Loire]] ([[Population de Maine-et-Loire/1793|1793]], [[Population de Maine-et-Loire/1800|1800]], [[Population de Maine-et-Loire/1999|1999]], [[Population de Maine-et-Loire/2006|2006]], [[Population de Maine-et-Loire/2016|2016]])</ref>.
 
D'autres communes du département comportent le nom « bourg », [[Bourg-l'Évêque]] et [[Bourgneuf-en-Mauges]].
 
Un rapprochement intervient le [[date|15 décembre 2016}} avec la création de la [[Création de la nouvelle commune de Segré-en-Anjou bleu (2016)|commune nouvelle]] de [[Segré-en-Anjou Bleu]] issue du regroupement des communes de [[Aviré]], Le Bourg-d'Iré, [[La Chapelle-sur-Oudon]], [[Châtelais]], [[La Ferrière-de-Flée]], [[L'Hôtellerie-de-Flée]], [[Louvaines]], [[Marans]], [[Montguillon]], [[Noyant-la-Gravoyère]], [[Nyoiseau]], [[Sainte-Gemmes-d'Andigné]], [[Saint-Martin-du-Bois]], [[Saint-Sauveur-de-Flée]] et [[Segré]]. Le Bourg-d'Iré devient une commune déléguée au sein de la nouvelle commune<ref>Préfecture de Maine-et-Loire, ''[[Création de la nouvelle commune de Segré-en-Anjou bleu (2016)|Arrêté préfectoral n° DRCL-BSFL-2016-126]]'' du 28 septembre 2016, portant création de la commune nouvelle de Segré-en-Anjou bleu — Voir [[création de la nouvelle commune de Segré-en-Anjou bleu (2016)]].</ref>.
 
== Histoire et patrimoine ==
Le pays est habité dès au moins le haute antiquité, probablement avec la présence d'une villa gallo-romaine. La localité est mentionnée au {{XIs}} sous les noms de ''[[Bourg-Diré|Yri'', ''[[Bourg-Diré|Hiri]]''. Au Moyen Âge, la seigneurie est unie à la Bijottière et à titre châtellenie. Au {{XVIIIe}}, Le Bourg-d'Iré dépend de l'élection et des aides d'Angers, du grenier à sel de Pouancé<ref name="cport-1965">Célestin Port (révisé par Jacques Levron et Pierre d'Herbécourt), ''Dictionnaire historique, géographique et biographique de Maine-et-Loire et de l'ancienne province d'Anjou'', {{t.|I}} (A-C), H. Siraudeau & Cie (Angers), 1965, 2e éd. (1re éd. 1874), {{p.|466-469}}</ref>{{,}}<ref name="IA49001756">Ministère de la Culture (Thierry Pelloquet), ''Village [du Bourg-d'Iré]'', 18 février 2003</ref>. Au {{XIXs}}, l'histoire de la commune est liée à celle d'Alfred de Falloux, commanditaire du château de la Maboulière et promoteur du développement agricole du pays<ref name="IA49001926" />.
 
Éléments de son patrimoine<ref>Ministère de la Culture, ''Base Mérimée (Le Bourg-d'Iré)'', octobre 2012</ref> :
* Le bourg ancien, organisé autour de son église<ref name="IA49001756" /> ;
* La chapelle du Buron, du {{XVIIIs}} ;
* La chapelle de la Douve, du {{XIXs}} ;
* Les vestiges du château de la Bijottière, des {{XIVe}} et {{XVs}}s, devenu ferme ;
* Le château d'Armaillé (dit de la Douve ou château de la Turpinière), du {{XIXs}}, avec parc, jardin potager, chapelle et communs ;
* Le château de la Maboulière (ou château du Bourg d'Iré), des {{XIXe}} et {{XXs}}s, pour le comte de Falloux et attribué à l'architecte [[René Hodé]] associé à l'architecte Cordoin ;
* L'église Saint-Symphorien, incendiée par les Chouans à la fin du {{XVIIIs}} et reconstruite au début du {{XIXe}} ;
* Les fermes
** du Bois-Robert, reconstruite au {{XIXs}} ;
** dite le Domaine, du {{XIXs}}, ferme modèle dépendant du château de la Maboulière ;
** des Haies, reconstruite au {{XIXs}} ;
** du Haut-Vilmorge, du {{XVIIIs}}, modifiée au {{XIXe}} ;
** de la Luzonnerie, du {{XIXs}} ;
** de la Petite-Aulnaye, reconstruite au {{XIXs}} ;
** dite la Métairie du Bourg, reconstruite au {{XIXs}} ;
** du Mottais, du {{XVIs}}, remaniée et agrandie aux {{XVIIIe}} et {{XIXe}} ;
* Le lavoir publique, du {{XIXs}}, restauré au cours des années 1990 ;
* Les maisons, rue de la Tour du ({{XVIe}}), place de l'Église ({{XVIe}}-{{XVIIe}}), rue du Pied-Boulet ({{XVIe}}-{{XVIIe}}) ;
* La ferme de la Coudre des {{XVIe}} et {{XVIIs}}s, transformée en manoir ;
* Le manoir du Grand Avessé, des {{XVIe}} et {{XVIIIs}}s, devenu ferme ;
* Le [[Liste des moulins de Maine-et-Loire|moulin à eau]] de la Haute Bergée sur la Verzée, du {{XVIIIs}}, transformé en habitation ;
* Le moulin à eau de Saint-Jean sur la Verzée, du {{XIXs}}, sur le domaine du château de la Maboulière ;
* Le moulin à eau de la Visseule sur la Verzée, ancien moulin du {{XVIIIs}} ;
* L'ancien presbytère, rue du Pied-Boulet, des {{XVIIIe}} et {{XIXs}}s.
 
Au {{XIXs}}, Alfred de Falloux (1811-1886), élu du Maine-et-Loire, ministre de l'Instruction publique et des cultes sous Louis-Napoléon Bonaparte (loi sur la liberté de l'enseignement), possède des terres au Bourg-d'Iré. Il commande la construction du château de la Maboulière (château du Bourg-d'Iré) et est l'instigateur à cette époque du développement agricole de la [[Segréen|région]], par exemple d'une ferme modèle construite près du château<ref name="IA49001926">Ministère de la Culture (Thierry Pelloquet), ''Présentation de la commune du Bourg-d'Iré'', 2003-2007</ref>. Une statue commémorative est installée au début du {{XXs}} à l'intersection des deux rues du bourg, près de la Verzée<ref name="cport-1965" />.
 
== Loisirs et culture ==
La bibliothèque se trouve place de l'église à côté de la mairie<ref>mairie de Segré-en-Anjou Bleu, ''Le Bourg d'Iré'', 2017-2023</ref>.
 
== Espace et territoire ==
Le Bourg-d'Iré s'étend dans le [[Segréen]] sur {{unité|23.03|km|2}} ({{unité|2303|hectares}}) et son altitude varie de 27 à {{unité|96|mètres}}<ref>IGN, ''Répertoire géographique des communes (RGC)'', données 2014 ([[Altitude des communes de Maine-et-Loire|altitude]], [[Superficie des communes de Maine-et-Loire|superficie]])</ref>. Son territoire se situe sur le plateau du Segréen<ref>''Atlas des paysages de Maine et Loire'', voir [[Liste des unités paysagères de Maine-et-Loire|unités paysagères]].</ref>.
 
Venant des communes voisines de [[Combrée]] et du [[Le Tremblay|Tremblay]], la rivière la [[Verzée]] traverse son territoire d'Ouest en Est<ref>[[Verzée|Verzée (rivière)]], janvier 2019</ref>. Son cours est à l'origine de la topographie légèrement accidentée que l'on remarque au sud-est et au nord-ouest du bourg<ref name="IA49001756" />.
 
Localités aux alentours : [[Noyant-la-Gravoyère]] ({{unité|2.4|km}}), [[Le Tremblay]] ({{unité|3.7|km}}), [[Combrée]] ({{unité|5.6|km}}), [[Nyoiseau]] ({{unité|5.7|km}}), [[Sainte-Gemmes-d'Andigné]] ({{unité|6.3|km}}), [[Bouillé-Ménard]] ({{unité|6.9|km}}), [[Bourg-l'Évêque]] ({{unité|7.1|km}}), [[Loiré]] ({{unité|7.3|km}}), [[Segré]] ({{unité|7.4|km}}) et [[Challain-la-Potherie]] ({{unité|7.8|km}})<ref name="lion1906">Lion1906 (Lionel Delvarre), ''Distances à partir de Le Bourg-d'Iré (49)'', juin 2010 — Les distances affichées sont des distances orthodromiques (à vol d'oiseau).</ref>.
 
== Notes ==
Sources et annotations
{{Références}}
: Les [[Bourg-Diré|formes anciennes]] du nom.
 
{{BasPage Communes2016}}
 
{{DEFAULTSORT:Bourg-d'Iré, Le}}
[[Catégorie:Commune déléguée]]
[[Catégorie:Segréen]]
[[Catégorie:Le Bourg-d'Iré]]

Dernière version du 20 mars 2025 à 18:00

Le Bourg-d'Iré
(commune déléguée)
Département Maine-et-Loire
Territoire Segréen
Commune Segré-en-Anjou Bleu
Note(s) Regroupement
du 15 décembre 2016
Situation dans le département

Situer sur OpenStreetmap

Aide à la rédaction.
Anciennes communes

Le Bourg-d'Iré est une ancienne commune de l'ouest de la France qui se situe dans le département de Maine-et-Loire (49), au sud de Noyant-la-Gravoyère et au sud-est de Pouancé. Elle est intégrée depuis 2016 à Segré-en-Anjou Bleu dans laquelle elle est une commune déléguée.

Ses habitants se nomment les Bourg d'Iréen(ne)s.


Situation administrative

La commune angevine du Bourg-d'Iré est membre en 2016 de la communauté de communes de Segré, et se trouve dans le canton de Segré (Combrée en 1793, Segré en 1801) et l'arrondissement de Segré[1].

Elle porte le code Insee 49037 et est associée au code postal 49520[2]. Ses habitants s'appellent (gentilé) Bourg d'Iréen, Bourg d'Iréenne. Sa population est de 724 habitants en 1999, 784 en 2006 et 904 en 2016[3].

D'autres communes du département comportent le nom « bourg », Bourg-l'Évêque et Bourgneuf-en-Mauges.

Un rapprochement intervient le [[date|15 décembre 2016}} avec la création de la commune nouvelle de Segré-en-Anjou Bleu issue du regroupement des communes de Aviré, Le Bourg-d'Iré, La Chapelle-sur-Oudon, Châtelais, La Ferrière-de-Flée, L'Hôtellerie-de-Flée, Louvaines, Marans, Montguillon, Noyant-la-Gravoyère, Nyoiseau, Sainte-Gemmes-d'Andigné, Saint-Martin-du-Bois, Saint-Sauveur-de-Flée et Segré. Le Bourg-d'Iré devient une commune déléguée au sein de la nouvelle commune[4].

Histoire et patrimoine

Le pays est habité dès au moins le haute antiquité, probablement avec la présence d'une villa gallo-romaine. La localité est mentionnée au XIe siècle sous les noms de [[Bourg-Diré|Yri, Hiri. Au Moyen Âge, la seigneurie est unie à la Bijottière et à titre châtellenie. Au XVIIIe, Le Bourg-d'Iré dépend de l'élection et des aides d'Angers, du grenier à sel de Pouancé[5],[6]. Au XIXe siècle, l'histoire de la commune est liée à celle d'Alfred de Falloux, commanditaire du château de la Maboulière et promoteur du développement agricole du pays[7].

Éléments de son patrimoine[8] :

  • Le bourg ancien, organisé autour de son église[6] ;
  • La chapelle du Buron, du XVIIIe siècle ;
  • La chapelle de la Douve, du XIXe siècle ;
  • Les vestiges du château de la Bijottière, des XIVe et XVe siècles, devenu ferme ;
  • Le château d'Armaillé (dit de la Douve ou château de la Turpinière), du XIXe siècle, avec parc, jardin potager, chapelle et communs ;
  • Le château de la Maboulière (ou château du Bourg d'Iré), des XIXe et XXe siècles, pour le comte de Falloux et attribué à l'architecte René Hodé associé à l'architecte Cordoin ;
  • L'église Saint-Symphorien, incendiée par les Chouans à la fin du XVIIIe siècle et reconstruite au début du XIXe ;
  • Les fermes
    • du Bois-Robert, reconstruite au XIXe siècle ;
    • dite le Domaine, du XIXe siècle, ferme modèle dépendant du château de la Maboulière ;
    • des Haies, reconstruite au XIXe siècle ;
    • du Haut-Vilmorge, du XVIIIe siècle, modifiée au XIXe ;
    • de la Luzonnerie, du XIXe siècle ;
    • de la Petite-Aulnaye, reconstruite au XIXe siècle ;
    • dite la Métairie du Bourg, reconstruite au XIXe siècle ;
    • du Mottais, du XVIe siècle, remaniée et agrandie aux XVIIIe et XIXe ;
  • Le lavoir publique, du XIXe siècle, restauré au cours des années 1990 ;
  • Les maisons, rue de la Tour du (XVIe), place de l'Église (XVIe-XVIIe), rue du Pied-Boulet (XVIe-XVIIe) ;
  • La ferme de la Coudre des XVIe et XVIIe siècles, transformée en manoir ;
  • Le manoir du Grand Avessé, des XVIe et XVIIIe siècles, devenu ferme ;
  • Le moulin à eau de la Haute Bergée sur la Verzée, du XVIIIe siècle, transformé en habitation ;
  • Le moulin à eau de Saint-Jean sur la Verzée, du XIXe siècle, sur le domaine du château de la Maboulière ;
  • Le moulin à eau de la Visseule sur la Verzée, ancien moulin du XVIIIe siècle ;
  • L'ancien presbytère, rue du Pied-Boulet, des XVIIIe et XIXe siècles.

Au XIXe siècle, Alfred de Falloux (1811-1886), élu du Maine-et-Loire, ministre de l'Instruction publique et des cultes sous Louis-Napoléon Bonaparte (loi sur la liberté de l'enseignement), possède des terres au Bourg-d'Iré. Il commande la construction du château de la Maboulière (château du Bourg-d'Iré) et est l'instigateur à cette époque du développement agricole de la région, par exemple d'une ferme modèle construite près du château[7]. Une statue commémorative est installée au début du XXe siècle à l'intersection des deux rues du bourg, près de la Verzée[5].

Loisirs et culture

La bibliothèque se trouve place de l'église à côté de la mairie[9].

Espace et territoire

Le Bourg-d'Iré s'étend dans le Segréen sur 23,03 km2 (2 303 hectares) et son altitude varie de 27 à 96 mètres[10]. Son territoire se situe sur le plateau du Segréen[11].

Venant des communes voisines de Combrée et du Tremblay, la rivière la Verzée traverse son territoire d'Ouest en Est[12]. Son cours est à l'origine de la topographie légèrement accidentée que l'on remarque au sud-est et au nord-ouest du bourg[6].

Localités aux alentours : Noyant-la-Gravoyère (2,4 km), Le Tremblay (3,7 km), Combrée (5,6 km), Nyoiseau (5,7 km), Sainte-Gemmes-d'Andigné (6,3 km), Bouillé-Ménard (6,9 km), Bourg-l'Évêque (7,1 km), Loiré (7,3 km), Segré (7,4 km) et Challain-la-Potherie (7,8 km)[2].

Notes

Sources et annotations

  1. École des hautes études en sciences sociales (EHESS), Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui - Notice communale de Le Bourg-d'Iré, 2007
  2. a et b Lion1906 (Lionel Delvarre), Distances à partir de Le Bourg-d'Iré (49), juin 2010 — Les distances affichées sont des distances orthodromiques (à vol d'oiseau).
  3. Population de Maine-et-Loire (1793, 1800, 1999, 2006, 2016)
  4. Préfecture de Maine-et-Loire, Arrêté préfectoral n° DRCL-BSFL-2016-126 du 28 septembre 2016, portant création de la commune nouvelle de Segré-en-Anjou bleu — Voir création de la nouvelle commune de Segré-en-Anjou bleu (2016).
  5. a et b Célestin Port (révisé par Jacques Levron et Pierre d'Herbécourt), Dictionnaire historique, géographique et biographique de Maine-et-Loire et de l'ancienne province d'Anjou, t. I (A-C), H. Siraudeau & Cie (Angers), 1965, 2e éd. (1re éd. 1874), p. 466-469
  6. a b et c Ministère de la Culture (Thierry Pelloquet), Village [du Bourg-d'Iré], 18 février 2003
  7. a et b Ministère de la Culture (Thierry Pelloquet), Présentation de la commune du Bourg-d'Iré, 2003-2007
  8. Ministère de la Culture, Base Mérimée (Le Bourg-d'Iré), octobre 2012
  9. mairie de Segré-en-Anjou Bleu, Le Bourg d'Iré, 2017-2023
  10. IGN, Répertoire géographique des communes (RGC), données 2014 (altitude, superficie)
  11. Atlas des paysages de Maine et Loire, voir unités paysagères.
  12. Verzée (rivière), janvier 2019
Les formes anciennes du nom.

Autres données

Liste des communes en 2016
Altitudes en 2014
Populations 2013, en vigueur au 1er janvier 2016
Superficies en 2014
Divisions administratives et électorales en 2014