« La Pellerine » : différence entre les versions

De Wiki-Anjou
(cplt)
(Célestin Port)
Ligne 1 : Ligne 1 :
{{Infobox commune
{{Infobox commune
| commune = La Pellerine
  | image = <!-- blason ou logo -->
  | image = <!-- blason ou logo -->
  | territoire = [[Baugeois]]
  | territoire = [[Baugeois]]
Ligne 14 : Ligne 13 :


'''La Pellerine''' est une commune de l'ouest de la France qui se situe dans le département de [[Maine-et-Loire]] (49), dans le [[Baugeois]], au sud de [[Noyant]].
'''La Pellerine''' est une commune de l'ouest de la France qui se situe dans le département de [[Maine-et-Loire]] (49), dans le [[Baugeois]], au sud de [[Noyant]].
Une autre commune française porte de nom de « La Pellerine », située dans le département de la Mayenne, près de Ernée.




== Situation Administrative ==
== Situation Administrative ==
La commune de La Pellerine est membre de la communauté de communes de [[Communauté de communes Baugeois Vallée|Baugeois Vallée]], et se trouve dans le canton de [[Canton de Beaufort-en-Vallée|Beaufort-en-Vallée]] et l'arrondissement de [[Arrondissement de Saumur|Saumur]].
La commune de La Pellerine est membre de la communauté de communes de [[Communauté de communes Baugeois Vallée|Baugeois Vallée]], et se trouve dans le canton de [[Canton de Beaufort-en-Vallée|Beaufort-en-Vallée]] et l'arrondissement de [[Arrondissement de Saumur|Saumur]].
Une autre commune française porte de nom de « La Pellerine », située dans le département de la Mayenne, près de Ernée.


Mairie : Impasse Scolaire, 49490 La Pellerine (tél. 02 41 82 57 27, courriel [mailto:49-la-pellerine@wanadoo.fr lapellerine]).
Mairie : Impasse Scolaire, 49490 La Pellerine (tél. 02 41 82 57 27, courriel [mailto:49-la-pellerine@wanadoo.fr lapellerine]).
Ligne 31 : Ligne 30 :
== Espace et territoire ==
== Espace et territoire ==
Le [[sentier GR 36]] (Broc, Montreuil-Bellay) passe par la commune.
Le [[sentier GR 36]] (Broc, Montreuil-Bellay) passe par la commune.
== Célestin Port (1878) ==
<!-- Reproduction du texte de Célestin Port. Ne peut être modifié. -->
La Pellerine dans le [[dictionnaire Célestin Port]] de 1878<ref>Célestin Port, ''Dictionnaire historique géographique et biographique de Maine-et-Loire'', t. 3 (N-Z), Lachèse & Dolbeau, 1878,  pages [[Dictionnaire Célestin Port/1878 - Tome 3 - Page 67|67]] et [[Dictionnaire Célestin Port/1878 - Tome 3 - Page 68|68]]</ref> :
{{citation|
'''Pèlerine''' (la), arr. de Baugé (22 kil.), canton
de Noyant (7 kil.) ; — à 60 kil. d’Angers. —
''Ecclesia in pago Andegavo cum villula''...
''quœ vocatur Peregrina'', 974 (St-Anbin, Mens,
conv., I, 73, ch. or.). — ''Obedientia Peregrina'',
1060-1081 (Cartul. St-Aubin, f. 123). —
''La Pèlerine'' 1200 circa (Chemlllé, ch. or. 68).
— ''La Pellerine'' XVI-XVIII{{e}} s. (Et.-C.). — Sur la
crête du coteau (98-100 mèt.), qui borde la rive
gauche du Lathan, avec écart sur la rive et dans
la vallée vers S. ; — entre Méon (4 kil.) au N.
et à l’O., Breil (4 kil.) à l’E., Parcé (3 kil.) à
l’E. et au S.
Le chemin de grande communication de Brion
à Rillé traverse tout du long de l’O. à l’E. sur le
faîte extrême, croisé dans le bourg, du S. au N.
par le chemin d’intérêt commun de Parcé à Noyant.
Y passe de l’E. à l’O. la rivière du Lathan,
qui forme une longue et double boire, jusqu’au
confluent du ruiss, de la Gouane, — où les écrevisses
abondent.
En dépendent les ham. de la Faucherie (4 m.,
14 hab.), de la Chucherie (4 mais., 14 hab.), du
Vivier (3 mais., 13 hab.), de la Pelouse (4 m.,
11 hab.), de la Noue (3 mais., 5 hab.), du
Pavillon (3 mais., 6 hab.), 2 moulins à eau et
6 fermes ou écarts.
Superficie : 350 hect. dont 104 hect. en bois.
Population : 37 feux, 170 hab. en 1720-1726.
— 30 feux, 190 hab. en 1790. — 207 hab. en
1831. — 221 hab. en 1841. — 201 hab. en 1851.
— 216 hab. en 1861.— 222 hab. en 1866. —
227 h. en 1872, dont 99 hab. (38 mais., 38 mén.)
au bourg, d’où l'on domine les deux vallons
boisés.
''Assemblée'' le 1{{er}} dimanche de mars — Nul
commerce ; — nulle agriculture que pour les
besoins de la ferme ; — nul élève que de porcs,
on, comme on dit, de nourrit. — Ni pauvres,
d’ailleurs, ni riches. — Dans le coteau ont été
récemment découvertes de très-vastes et antiques
caves d’extraction de tuffean.
''Perception'' et ''Bureau de poste'' de Noyant.
La ''Mairie'', longtemps à louage, vient d’être
installée (1875) dans un petit réduit bâti sur la
droite de l’église. — Vis-à-vis, ''Ecole'' mixte,
tenue par une dame laïque.
La paroisse, maintenue en succursale le 5 nivôse
an XIII, fut supprimée et réunie à Méon
par ordonnance épiscopale du 20 février 1809. —
Elle a été rétablie vers 1832.
L’''Eglise'', dédiée à St Aubin, comprend une
nef unique, nue, blanchie, voûtée en bois, les
fenêtres modernisées, ouvrant par un arceau
déformé sur le chœur, dont les montants portent
des autels à droite de saint Symphorien , à
gauche de la Vierge, avec statues peintes du
XVIII{{e}} s. à la manière de Saint-Simon, V. ce
nom, dans des niches ornementées. Le chœur,
qui suit, terminé en cul-de-four , forme une
travée carrée, voûtée avec entrecroisements d’ogives,
liernes et formerets en saillie (XV{{e}} s.).
Dans le mur de gauche apparaît un œil-de-bœuf
roman ; au fond s’applique un autel-rétable
XVIII{{e}} s. avec niches, contenant les statues
à droite de St Jean, à gauche de St Aubin,
de môme style que les précédentes ; au centre,
un mauvais tableau, figurant la Cène, donné
par Math. Pays, marchand d’Angers, frère du
prieur Pays, qui fit en 1704 exécuter ces travaux.
A l’extérieur le portail est surmonté d’un
pignon autrefois à bretêche, et les murs latéraux
laissent entrevoir le petit appareil de moellon
irrégulier disposé en lignes régulières et vers S.
une large porte romane à claveaux intercalés de
ciment rouge (XI{{e}} s.).
La grande voie de Rillé à Baugé longeait
jusqu’au XVIII{{e}} s. le coteau mais sur le versant S.
et en contrebas de la route actuelle, par le
Perray, la Chucherie, la Pelouse, la Bafferie,
rejointe à ce point par le chemin de Parcé et
sous l’église par celui de Noyant. — Dès le X{{e}} s. le
pays apparaît comme un petit centre, ''villula'',
avec moulins sur les ruisseaux, église et marché.
La comtesse Adèle en fit don à l’abbaye St-Aubin
d’Angers (974) mais il fut reconnu que le domaine
dépendait du bénéfice d’un fondateur du nom de
Rainard. Les moines durent l’indemniser par le
paiement de 4 livres d’argent, et à deux siècles
de là encore donner 7 livres pour mettre fin aux
prétentions de ses héritiers. — Il y fut constitué
un prieuré, une obédience, ''obedientia'', à laquelle
resta attachée la cure et dont les bâtiments,
auj. transformés mais encore occupés par
le presbytère, enveloppaient à demi l’église.
''Prieurs-curés'' : Raoul des Tuffeaux, de
Tuffellis, 1178. — Louis de Mars, 1590. —
Martin Foucquereau, 1616. — Jacques Rallier,
1633, † le 30 mai 1656. Une visite de l’évêque
en 1630 constate la misère de la paroisse, l’église
toute décarrelée et ouverte aux pluies, les autels
sans livres ni mobilier, le presbytère en ruine et
vide, le cimetière sans clôture. — Etienne
Hamelin, 1656, † le 4 janvier 1694, prieur en
même temps de Grez-sur-Maine. — Toussaint
Pays, 1695, † en 1717. — Elie Gaultier, 1718,
qui résigne en décembre 1733. — René Boreau,
anc. vicaire d’Homme, 1734, 1760. — F. Mareschal,
1762, 1772. — Charles-Urbain Daburon,
V. ce nom, 1773, † le 6 avril 1791, âgé de
60 ans. — Tarode, mai 1791. — Marsillé, élu
le 27 novembre 1791.
La paroisse dépendait de l’Election de Baugé,
du District en 1788 de Château-la-Vallière, en
1790 de Baugé. Elle avait pour seigneur le prieur-curé,
qui prenait le titre de baron. Elle restait
couverte de landes qu’on essayait de défricher en
1788, et vers l’E. des bois de l’apanage. — J’y
trouve à résidence au XVII{{e}} s. Pierre Hamard,
ouvrier en soie de Tours, 1645, et Pierre Launay,
brodeur, de Lyon, 1660.
Maires : J. Maillé, 1792. — Brochoir,
1{{er}} messidor an VllI, † en 1806. — Et.-Bernard
Haye, 4 novembre 1806. — Vincent Huet,
25 octobre 1821. — Joreau, 2 février 1831. —
Vinc. Huet, 1843, démissionnaire en janvier
1857. — Jean Bouchet, 2 février 1857. — Louis
Verneau, 1862. — Jusseaume, 1874, 1876.
Arch. de M.-et-L. C 192 ; G 21 ; H St-Aubin. — Arch.
comm. Et.-C. — Cartul. de St-Aubin, Mss. 745, f. 6 et
123. — Chron. d’Anjou, I, 377 ; II, 21. — Tresvaux, ''hist.''
''du Dioc. d’Ang.'', t. II, p. 444.
}}


== Notes ==
== Notes ==
Ligne 36 : Ligne 189 :




{{Commune à compléter}}
{{BasPage Communes}}


{{DEFAULTSORT:Pellerine, La}}
{{DEFAULTSORT:Pellerine, La}}
[[Catégorie:Commune]]
[[Catégorie:Commune]]
[[Catégorie:Baugeois]]
[[Catégorie:Baugeois]]

Version du 5 juillet 2018 à 18:54

La Pellerine
Département Maine-et-Loire
Territoire Baugeois
Arrondissement arr. de Saumur
Canton cant. de Beaufort-en-Vallée
Intercommunalité cc Baugeois Vallée
Code Insee, postal 49237, 49490
Habitants Les Pellerinois(es)
Données locales altitudes, coordonnées, populations, superficies
Situation dans le département

Situer sur OpenStreetmap

La Pellerine est une commune de l'ouest de la France qui se situe dans le département de Maine-et-Loire (49), dans le Baugeois, au sud de Noyant.


Situation Administrative

La commune de La Pellerine est membre de la communauté de communes de Baugeois Vallée, et se trouve dans le canton de Beaufort-en-Vallée et l'arrondissement de Saumur.

Une autre commune française porte de nom de « La Pellerine », située dans le département de la Mayenne, près de Ernée.

Mairie : Impasse Scolaire, 49490 La Pellerine (tél. 02 41 82 57 27, courriel lapellerine).

Histoire et patrimoine

À voir sur la commune[1] :

  • L'église Saint-Aubin avec nef et chœur du XIe siècle, édifice inscrit aux Monuments historiques ;
  • Le moulin Corbin, des XVIIIe et XIXe siècles ;
  • Le presbytère, maison du XVIIIe siècle.

Espace et territoire

Le sentier GR 36 (Broc, Montreuil-Bellay) passe par la commune.

Célestin Port (1878)

La Pellerine dans le dictionnaire Célestin Port de 1878[2] :

« Pèlerine (la), arr. de Baugé (22 kil.), canton de Noyant (7 kil.) ; — à 60 kil. d’Angers. — Ecclesia in pago Andegavo cum villula... quœ vocatur Peregrina, 974 (St-Anbin, Mens, conv., I, 73, ch. or.). — Obedientia Peregrina, 1060-1081 (Cartul. St-Aubin, f. 123). — La Pèlerine 1200 circa (Chemlllé, ch. or. 68). — La Pellerine XVI-XVIIIe s. (Et.-C.). — Sur la crête du coteau (98-100 mèt.), qui borde la rive gauche du Lathan, avec écart sur la rive et dans la vallée vers S. ; — entre Méon (4 kil.) au N. et à l’O., Breil (4 kil.) à l’E., Parcé (3 kil.) à l’E. et au S.

Le chemin de grande communication de Brion à Rillé traverse tout du long de l’O. à l’E. sur le faîte extrême, croisé dans le bourg, du S. au N. par le chemin d’intérêt commun de Parcé à Noyant.

Y passe de l’E. à l’O. la rivière du Lathan, qui forme une longue et double boire, jusqu’au confluent du ruiss, de la Gouane, — où les écrevisses abondent.

En dépendent les ham. de la Faucherie (4 m., 14 hab.), de la Chucherie (4 mais., 14 hab.), du Vivier (3 mais., 13 hab.), de la Pelouse (4 m., 11 hab.), de la Noue (3 mais., 5 hab.), du Pavillon (3 mais., 6 hab.), 2 moulins à eau et 6 fermes ou écarts.

Superficie : 350 hect. dont 104 hect. en bois.

Population : 37 feux, 170 hab. en 1720-1726. — 30 feux, 190 hab. en 1790. — 207 hab. en 1831. — 221 hab. en 1841. — 201 hab. en 1851. — 216 hab. en 1861.— 222 hab. en 1866. — 227 h. en 1872, dont 99 hab. (38 mais., 38 mén.) au bourg, d’où l'on domine les deux vallons boisés.

Assemblée le 1er dimanche de mars — Nul commerce ; — nulle agriculture que pour les besoins de la ferme ; — nul élève que de porcs, on, comme on dit, de nourrit. — Ni pauvres, d’ailleurs, ni riches. — Dans le coteau ont été récemment découvertes de très-vastes et antiques caves d’extraction de tuffean.

Perception et Bureau de poste de Noyant.

La Mairie, longtemps à louage, vient d’être installée (1875) dans un petit réduit bâti sur la droite de l’église. — Vis-à-vis, Ecole mixte, tenue par une dame laïque.

La paroisse, maintenue en succursale le 5 nivôse an XIII, fut supprimée et réunie à Méon par ordonnance épiscopale du 20 février 1809. — Elle a été rétablie vers 1832.

L’Eglise, dédiée à St Aubin, comprend une nef unique, nue, blanchie, voûtée en bois, les fenêtres modernisées, ouvrant par un arceau déformé sur le chœur, dont les montants portent des autels à droite de saint Symphorien , à gauche de la Vierge, avec statues peintes du XVIIIe s. à la manière de Saint-Simon, V. ce nom, dans des niches ornementées. Le chœur, qui suit, terminé en cul-de-four , forme une travée carrée, voûtée avec entrecroisements d’ogives, liernes et formerets en saillie (XVe s.). Dans le mur de gauche apparaît un œil-de-bœuf roman ; au fond s’applique un autel-rétable XVIIIe s. avec niches, contenant les statues à droite de St Jean, à gauche de St Aubin, de môme style que les précédentes ; au centre, un mauvais tableau, figurant la Cène, donné par Math. Pays, marchand d’Angers, frère du prieur Pays, qui fit en 1704 exécuter ces travaux. A l’extérieur le portail est surmonté d’un pignon autrefois à bretêche, et les murs latéraux laissent entrevoir le petit appareil de moellon irrégulier disposé en lignes régulières et vers S. une large porte romane à claveaux intercalés de ciment rouge (XIe s.).

La grande voie de Rillé à Baugé longeait jusqu’au XVIIIe s. le coteau mais sur le versant S. et en contrebas de la route actuelle, par le Perray, la Chucherie, la Pelouse, la Bafferie, rejointe à ce point par le chemin de Parcé et sous l’église par celui de Noyant. — Dès le Xe s. le pays apparaît comme un petit centre, villula, avec moulins sur les ruisseaux, église et marché. La comtesse Adèle en fit don à l’abbaye St-Aubin d’Angers (974) mais il fut reconnu que le domaine dépendait du bénéfice d’un fondateur du nom de Rainard. Les moines durent l’indemniser par le paiement de 4 livres d’argent, et à deux siècles de là encore donner 7 livres pour mettre fin aux prétentions de ses héritiers. — Il y fut constitué un prieuré, une obédience, obedientia, à laquelle resta attachée la cure et dont les bâtiments, auj. transformés mais encore occupés par le presbytère, enveloppaient à demi l’église.

Prieurs-curés : Raoul des Tuffeaux, de Tuffellis, 1178. — Louis de Mars, 1590. — Martin Foucquereau, 1616. — Jacques Rallier, 1633, † le 30 mai 1656. Une visite de l’évêque en 1630 constate la misère de la paroisse, l’église toute décarrelée et ouverte aux pluies, les autels sans livres ni mobilier, le presbytère en ruine et vide, le cimetière sans clôture. — Etienne Hamelin, 1656, † le 4 janvier 1694, prieur en même temps de Grez-sur-Maine. — Toussaint Pays, 1695, † en 1717. — Elie Gaultier, 1718, qui résigne en décembre 1733. — René Boreau, anc. vicaire d’Homme, 1734, 1760. — F. Mareschal, 1762, 1772. — Charles-Urbain Daburon, V. ce nom, 1773, † le 6 avril 1791, âgé de 60 ans. — Tarode, mai 1791. — Marsillé, élu le 27 novembre 1791.

La paroisse dépendait de l’Election de Baugé, du District en 1788 de Château-la-Vallière, en 1790 de Baugé. Elle avait pour seigneur le prieur-curé, qui prenait le titre de baron. Elle restait couverte de landes qu’on essayait de défricher en 1788, et vers l’E. des bois de l’apanage. — J’y trouve à résidence au XVIIe s. Pierre Hamard, ouvrier en soie de Tours, 1645, et Pierre Launay, brodeur, de Lyon, 1660.

Maires : J. Maillé, 1792. — Brochoir, 1er messidor an VllI, † en 1806. — Et.-Bernard Haye, 4 novembre 1806. — Vincent Huet, 25 octobre 1821. — Joreau, 2 février 1831. — Vinc. Huet, 1843, démissionnaire en janvier 1857. — Jean Bouchet, 2 février 1857. — Louis Verneau, 1862. — Jusseaume, 1874, 1876.

Arch. de M.-et-L. C 192 ; G 21 ; H St-Aubin. — Arch. comm. Et.-C. — Cartul. de St-Aubin, Mss. 745, f. 6 et 123. — Chron. d’Anjou, I, 377 ; II, 21. — Tresvaux, hist. du Dioc. d’Ang., t. II, p. 444. »

Notes

  1. Ministère de la Culture, Base Mérimée (La Pellerine), 2012
  2. Célestin Port, Dictionnaire historique géographique et biographique de Maine-et-Loire, t. 3 (N-Z), Lachèse & Dolbeau, 1878, pages 67 et 68