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« Porte-à-col » : différence entre les versions

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En Maine-et-Loire au {{XIXs}} : {{citation|Borderie porte-à-col (ou porte-à-cou). — Exploitation rurale faite sans bœufs. Le fermier est réduit à porter la charge à son cou, d'où son nom.}}. (Robert et Gasté, ''[[Usages ruraux et urbains de Maine-et-Loire en 1872 - BE à CH|Usages ruraux]]'')
En Maine-et-Loire au {{XIXs}} : {{citation|Borderie porte-à-col (ou porte-à-cou). — Exploitation rurale faite sans bœufs. Le fermier est réduit à porter la charge à son cou, d'où son nom.}}. (Robert et Gasté, ''[[Usages ruraux et urbains de Maine-et-Loire en 1872 - BE à CH|Usages ruraux]]'')


Dans le glossaire de Verrier et Onillon (t 2 p 138) : {{citation|Porte à col (Cho., Ché., Sf.). — Closerie  
Dans le glossaire de Verrier et Onillon au début du {{XXs}} : {{citation|Porte à col ([[Cholet|Cho.]], [[Chemillé|Ché.]], [[Saint-Florent-le-Vieil|Sf.]]). — Closerie  
porte à col, et porte à cou ; exploitation faite  
porte à col, et porte à cou ; exploitation faite  
sans bœufs. (Mén.) \\ Lg., loc. adj. Se dit  
sans bœufs. ({{abréviation|Mén.|Charles Ménière}}) \\ [[Le Longeron|Lg.]], loc. adj. Se dit  
dans : Borderie porte à cou, — closerie de  
dans : Borderie porte à cou, — closerie de  
petite étendue, où les bêtes de somme sont  
petite étendue, où les bêtes de somme sont