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[[Fichier:Dupetit-Thouars Louis-Marie Aubert 1820a.jpg|thumb|upright=0.8|alt=Portrait de Louis-Marie Aubert du Petit-Thouars.]] | [[Fichier:Dupetit-Thouars Louis-Marie Aubert 1820a.jpg|thumb|upright=0.8|alt=Portrait de Louis-Marie Aubert du Petit-Thouars.]] | ||
Né en [[Maine-et-Loire|Anjou]], '''Louis-Marie Aubert du Petit-Thouars''' est un botaniste français du | Né en [[Maine-et-Loire|Anjou]], '''Louis-Marie Aubert du Petit-Thouars''' est un botaniste français du {{XVIIIe}}-{{XIXs}}, et frère d'[[Aristide Aubert du Petit-Thouars|Aristide]]. | ||
La famille Du Petit-Thouars est d'origine Poitevine, et s'installe en Anjou, à saumur, à la fin du | La famille Du Petit-Thouars est d'origine Poitevine, et s'installe en Anjou, à saumur, à la fin du {{XVIIs}}. Louis-Marie Aubert du Petit-Thouars naît le 5 novembre 1758 au château de Boumais à [[Saint-Martin-de-la-Place]]. | ||
Il entre à l'école militaire de La Flèche, puis se consacre ensuite à l'étude de la botanique, initié par Dolomieu. Il s'associe à son [[Aristide Aubert du Petit-Thouars|frère]] qui organise une expédition, et la rejoint à l'Île de France (Île Maurice). Il y passe plusieurs années durant lesquelles il recueille des matériaux sur le règne végétal. Durant cette période il séjourne aussi quelques mois à l'île Bourbon (La Réunion) et l'île de Madagascar. Il revient en France en 1802 avec un herbier de {{formatnum: | Il entre à l'école militaire de La Flèche, puis se consacre ensuite à l'étude de la botanique, initié par Dolomieu. Il s'associe à son [[Aristide Aubert du Petit-Thouars|frère]] qui organise une expédition, et la rejoint à l'Île de France (Île Maurice). Il y passe plusieurs années durant lesquelles il recueille des matériaux sur le règne végétal. Durant cette période il séjourne aussi quelques mois à l'île Bourbon (La Réunion) et l'île de Madagascar. Il revient en France en 1802 avec un herbier de {{formatnum:2000}} plantes exotiques. | ||
Il entre ensuite dans une pépinière, et continue ses travaux, notamment en physiologie végétale. | Il entre ensuite dans une pépinière, et continue ses travaux, notamment en physiologie végétale. | ||
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* ''Flore des îles australes de l'Afrique'', 1822. | * ''Flore des îles australes de l'Afrique'', 1822. | ||
Il meurt le 12 mai 1831 à Paris. Son portrait a été lithographié par Bailly. | Il meurt le 12 mai [[1831]] à Paris. Son portrait a été lithographié par Bailly. | ||