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« Ludovic Ménard » : différence entre les versions

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On retrouve des traces de son action notamment dans la [[Le Petit Courrier (presse angevine)#Novembre 1911|presse locale]] de l'époque.
On retrouve des traces de son action notamment dans la [[Le Petit Courrier (presse angevine)#Novembre 1911|presse locale]] de l'époque.


Ludovic Ménard conjugue son métier de fendeur d'ardoises avec ses activités militantes jusqu'à sa mort, le 30 janvier [[1935]] aux Ponts-de-Cé.
Ludovic Ménard conjugue son métier de fendeur d'ardoises avec ses activités militantes jusqu'à sa mort, le 30 janvier [[1935]] aux Ponts-de-Cé<ref>Michel Dreyfus, Claude Pennetier et Nathalie Viet-Depaule, ''Visages du mouvement ouvrier'', Éditions de l'Atelier, 1995, p. 12</ref>{{,}}<ref>Jacques Maillard, ''Angers, XXe siècle'', Ville d'Angers, 2000, p. 291</ref>{{,}}<ref>Gérard Linden, ''Les mots des mines et carrières du Maine-et-Loire'', Cheminements, 2004, p. 168</ref>{{,}}<ref>Michelle Perrot, ''Les ouvriers en grève : France 1871-1890'', Éditions de l'École des hautes études en sciences sociales, 2013, p. 241</ref>.


Un lycée professionnel de Trélazé porte son nom.
Un lycée professionnel de Trélazé porte son nom.
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Sources et annotations
Sources et annotations
:• Michel Dreyfus, Claude Pennetier et Nathalie Viet-Depaule, ''Visages du mouvement ouvrier'', Éditions de l'Atelier, 1995, p. 12
{{Références}}
:• Jacques Maillard, ''Angers, XXe siècle'', Ville d'Angers, 2000, p. 291
:• Gérard Linden, ''Les mots des mines et carrières du Maine-et-Loire'', Cheminements, 2004, p. 168
:• Michelle Perrot, ''Les ouvriers en grève : France 1871-1890'', Éditions de l'École des hautes études en sciences sociales, 2013, p. 241