« Vernoil-le-Fourrier » : différence entre les versions

La commune change de nom en [[2006]], ''[[Vernoil]]'' devenant ''Vernoil-le-Fourrier''<ref>Décret n° 2006-808 du 7 juillet 2006 portant changement de nom de communes, JORF n° 157 du 8 juillet 2006 page 10259, texte n° 3 (délibération du conseil municipal du 13 janvier 2004, délibérations du conseil général des 25 octobre 2004 et 17 octobre 2005).</ref>.

Elle est membre de la communauté d'agglomération [[Communauté d'agglomération Saumur Val de Loire|de Saumur-Val-de-Loire]], et se trouve dans le canton [[Canton de Longué-Jumelles|de Longué-Jumelles]] et l'arrondissement [[Arrondissement de Saumur|de Saumur]] ([[Arrondissement de Baugé|arr. de Baugé]] jusqu'en [[1926]]).

Son code commune (Insee) est 49369 et son code postal est 49390. Ses habitants se nomment les Vernoilais et Vernoilaises. Sa population est de {{formatnum:1214}} habitants en 1999 et de {{formatnum:1266}} en 2017<ref>[[Population de Maine-et-Loire]] ([[Population de Maine-et-Loire/1999|1999]], [[Population de Maine-et-Loire/2017|2017]])</ref>.

Dès avant le {{XIs}}, le bourg est un centre important traversé par les grandes voies de Gizeux, de Saumur, de Bourgueil. Le village se constitue autour d'un prieuré, fondé par l'abbaye de la Trinité de Mauléon, et d'une église dédiée à saint Vincent. Celle-ci appartient à la famille Fulcrade, seigneurs de Trèves, puis à la famille Fourrier. Un château est mentionné dès le {{XIIIs}}. Vernoil dépend au {{XVIIIs}} de l'[[Glossaire#E|élection]] de La Flêche. Elle a pour châtelain le seigneur de la Ville-au-Fourrier<ref name="cport-1996">Célestin Port (révisé par André Sarazin et Pascal Tellier), ''Dictionnaire historique, géographique et biographique de Maine-et-Loire et de l'ancienne province d'Anjou'', t. IV (S-Z), H. Siraudeau et Cie (Angers), 1996, p. 726-729</ref>{{,}}<ref>Ministère de la Culture (Gérard Baptiste et Christian Cussonneau), ''Base Mérimée (IA00051683 Village)'', 8 janvier 1992</ref>{{,}}<ref>Dictionnaire Célestin Port, ''op. cit.'', p. 771-772</ref>.