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Au {{XVs}}, l'édifice sert de refuge aux moines de l'[[Abbaye Saint-Nicolas d'Angers|abbaye Saint-Nicolas]] en cas de troubles, et est désigné sous le nom de maison de la Voûte. Au {{XVe}}, les moines cèdent le bâtiment et plusieurs propriétaires s'y succèdent, dont le sculpteur Pierre Biardeau. Il est repris en 1640 par la communauté des pénitentes, qui est autorisé par lettres-patentes de mars 1642 et par la ville en juillet 1643. On y reçoit des femmes internées par décision de justice ou par lettre cachet. Au début du {{XIXe}}, le site est transformé en hospice et prison ; [[Renée Bordereau]], arrêtée en mai 1809, y séjournera. | Au [[1401|{{XVs}}]], l'édifice sert de refuge aux moines de l'[[Abbaye Saint-Nicolas d'Angers|abbaye Saint-Nicolas]] en cas de troubles, et est désigné sous le nom de maison de la Voûte. Au {{XVe}}, les moines cèdent le bâtiment et plusieurs propriétaires s'y succèdent, dont le sculpteur Pierre Biardeau. Il est repris en 1640 par la communauté des pénitentes, qui est autorisé par lettres-patentes de mars 1642 et par la ville en juillet 1643. On y reçoit des femmes internées par décision de justice ou par lettre cachet. Au début du {{XIXe}}, le site est transformé en hospice et prison ; [[Renée Bordereau]], arrêtée en mai 1809, y séjournera. | ||
La ville d'Angers devient propriétaire de l'ensemble des bâtiments au milieu du {{XIXs}}, et lui donne successivement plusieurs destinations : justice de paix de la Doutre, musée d'architecture, annexe de l'école des beaux-arts, etc. | La ville d'Angers devient propriétaire de l'ensemble des bâtiments au milieu du {{XIXs}}, et lui donne successivement plusieurs destinations : justice de paix de la Doutre, musée d'architecture, annexe de l'école des beaux-arts, etc. |