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Dans son sens le plus répandu, elle se rapporte au climat de cette région, réputé doux. Ce climat est propice à l'agriculture, que ce soit la vigne ou l'horticulture. Au début des années 2010, 72 % des {{formatnum:723000}} hectares du département étaient consacrés à l'horticulture. | Dans son sens le plus répandu, elle se rapporte au climat de cette région, réputé doux. Ce climat est propice à l'agriculture, que ce soit la vigne ou l'horticulture. Au début des années 2010, 72 % des {{formatnum:723000}} hectares du département étaient consacrés à l'horticulture. | ||
Elle peut aussi | Elle peut aussi caractériser une certaine douceur de vivre, voir une certaine torpeur. | ||
On trouve cette locution dans la littérature (''Douceur angevine? Naître, vivre et mourir à Avrillé'' de Jacques Thomé, ''La face cachée de la douceur angevine'' de Joël Prévôt, ''La douceur angevine à Luneville XVe-XVIe siècles'' de Catherine Guyon…), dans des revues (Norois…), et dans des descriptifs touristiques de la région (comité départemental du tourisme, office de tourisme de Saumur, office de tourisme Loire-Longué…). Elle est également utilisée par des journalistes (''Douceur angevine, enfer du Nord'' dans Nord Éclair du 6 septembre 2014, ''Douceur angevine avant programme orageux'' dans La Dépêche du 31 janvier 2015… ainsi que dans les quotidiens régionaux Le Courrier de l'Ouest et Ouest-France) ou à des fins commerciales (marques, noms de restaurants…). | On trouve cette locution dans la littérature (''Douceur angevine? Naître, vivre et mourir à Avrillé'' de Jacques Thomé, ''La face cachée de la douceur angevine'' de Joël Prévôt, ''La douceur angevine à Luneville XVe-XVIe siècles'' de Catherine Guyon…), dans des revues (Norois…), et dans des descriptifs touristiques de la région (comité départemental du tourisme, office de tourisme de Saumur, office de tourisme Loire-Longué…). Elle est également utilisée par des journalistes (''Douceur angevine, enfer du Nord'' dans Nord Éclair du 6 septembre 2014, ''Douceur angevine avant programme orageux'' dans La Dépêche du 31 janvier 2015… ainsi que dans les quotidiens régionaux Le Courrier de l'Ouest et Ouest-France) ou à des fins commerciales (marques, noms de restaurants…). | ||