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 == Situation administrative ==
-La commune a été créée le 30 décembre 2016 du regroupement des anciennes communes de [[Brigné]], [[Concourson-sur-Layon]], [[Doué-la-Fontaine]], [[Forges]], [[Meigné]], [[Montfort]], [[Saint-Georges-sur-Layon]] et [[Les Verchers-sur-Layon]]. Son siège est fixé à celui de l'ancienne commune de Doué-la-Fontaine<ref>Préfecture de Maine-et-Loire, ''Arrêté préfectoral n° DRCL-BSFL-2016-123'' du 23 septembre 2016, portant création de la commune nouvelle de Doué-en-Anjou — Voir [[création de la nouvelle commune de Doué-en-Anjou (2016)]].</ref>.
+La commune de Doué-en-Anjou est membre de la communauté d'agglomération [[Communauté d'agglomération Saumur Val de Loire|de Saumur-Val-de-Loire]], et se trouve dans le canton [[Canton de Doué-en-Anjou|de Doué-en-Anjou]] et l'arrondissement [[Arrondissement de Saumur|de Saumur]]<ref name="insee-gae">Insee, ''Géographie administrative et d'étude - Commune de Doué-en-Anjou (49125)'', 2020</ref>.
-Doué-en-Anjou est membre de la communauté d'agglomération [[Communauté d'agglomération Saumur Val de Loire|de Saumur-Val-de-Loire]], et se trouve dans le canton [[Canton de Doué-en-Anjou|de Doué-en-Anjou]] et l'arrondissement [[Arrondissement de Saumur|de Saumur]]<ref name="insee-gae">Insee, ''Géographie administrative et d'étude - Commune de Doué-en-Anjou (49125)'', 2020</ref>.
 Son code commune (Insee) est 49125 et son code postal est 49700 (Brigné, Concourson-sur-Layon, Doué-la-Fontaine, Forges, Meigné, Montfort, Saint-Georges-sur-Layon et Les Verchers-sur-Layon). Ses habitants se nomment les Douessins et les Douessines. Sa population est de {{formatnum:10981}} habitants en 2016 et de {{formatnum:11005}} en 2017<ref>[[Population de Maine-et-Loire]] ([[Population de Maine-et-Loire/2016|2016]], [[Population de Maine-et-Loire/2017|2017]])</ref>. La commune appartient à l'Unité urbaine de Doué-en-Anjou, à l'Aire d'attraction des villes de Doué-en-Anjou, à la Zone d'emploi de Saumur et au bassin de vie de Doué-la-Fontaine<ref name="insee-gae" />. Sept communes composent en 2020 l'aire d'attraction des villes de Doué-en-Anjou : Brossay, Dénezé-sous-Doué, Doué-en-Anjou, Louresse-Rochemenier, Le Puy-Notre-Dame, Saint-Macaire-du-Bois et Vaudelnay<ref>Insee, ''Géographie administrative et d'étude - Aire d'attraction des villes 2020 de Doué-en-Anjou (362)'', 2020</ref>.
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 == Histoire et patrimoine ==
-[[Brigné]] : chapelle Sainte-Suzannele château de Maurepart (MH), église Saint-Aubin, menhir de la Pierre Couchée, mines de houille (1858-1866) et four à chaux détruit en 1842, moulins le Perrochet et des Trois Chopines, oratoire Saint-Jean<ref name="merimee">Ministère de la Culture, ''Base Mérimée'', 2012</ref>.
+La commune de Doué-en-Anjou a été créée le 30 décembre 2016 du regroupement des anciennes communes de [[Brigné]], [[Concourson-sur-Layon]], [[Doué-la-Fontaine]], [[Forges]], [[Meigné]], [[Montfort]], [[Saint-Georges-sur-Layon]] et [[Les Verchers-sur-Layon]]. Son siège est fixé à celui de l'ancienne commune de Doué-la-Fontaine<ref>Préfecture de Maine-et-Loire, ''Arrêté préfectoral n° DRCL-BSFL-2016-123'' du 23 septembre 2016, portant création de la commune nouvelle de Doué-en-Anjou — Voir [[création de la nouvelle commune de Doué-en-Anjou (2016)]].</ref>. Son nom se compose de celui de son chef-lieu (Doué) auquel a été ajouté ''Anjou'', autre nom utilisé pour désigner le département de Maine-et-Loire.
-[[Concourson-sur-Layon]] : cabanes de vignerons, église Saint-Hilaire, plusieurs moulins dont le [[moulin à vent des Bleuces]] (MH), manoir de la Seigneurie, mines de houille, prieuré de Bénédictins Saint-Martin<ref name="merimee" />.
-[[Doué-la-Fontaine]] : arènes, cathédrales troglo des Perrières, chapelle Saint-Gilles, [[Château des Basses Minières|château de Soulanger]] (MH), ruines de l'église Saint-Denis (MH), fontaines, fours à chaux, maisons d'horticulteurs, manoir dit la Cour de Douces, manoir de la Crilloire, manoir de la Galonnière ou du Petit Riou, manoir de la Saulaie, restes d'une motte féodale et d'un donjon (MH), moulin à vent de Douces, moulin à blé dit Moulin Cartier, sablière<ref name="merimee" />.
-[[Forges]] : cabanes de vignerons, église Saint-Laurent (MH), maisons de Forges, motte de la cour de Forges<ref name="merimee" />.
-[[Meigné]] : château la Bretaudière, château la Tremblaye, église Saint-Pierre (MH), souterrain refuge de Mazières<ref name="merimee" />.
-[[Montfort]] : église Saint-Hilaire, moulins à vent des Coudreaux, dont l'un est semi troglodytique, moulins de la Mouche<ref name="merimee" />.
-[[Saint-Georges-sur-Layon]] : château des Mines, église Saint-Georges, manoir de Châtelaison (MH), moulin du Layon, prieuré de Bénédictins<ref name="merimee" />.
-[[Les Verchers-sur-Layon]] : plusieurs cabanes de vigneron du {{XIXs}}, chapelle Notre-Dame Saint-Jean, château de Bellevue, château de Bussy Fontaines et son domaine, château d'Échuilly (MH), château de Varenne, ancienne commanderie de templiers (MH), église Saint-Jean-Baptiste à la Commanderie, église Saint-Just, prieuré de Bénédictins l'Abbaye<ref name="merimee" />.
+Éléments du patrimoine<ref>Ministère de la Culture, ''Base Mérimée'', 2012</ref> :
+* [[Brigné]] : chapelle Sainte-Suzannele château de Maurepart (MH), église Saint-Aubin, menhir de la Pierre Couchée, mines de houille (1858-1866) et four à chaux détruit en 1842, moulins le Perrochet et des Trois Chopines, oratoire Saint-Jean.
+* [[Concourson-sur-Layon]] : cabanes de vignerons, église Saint-Hilaire, plusieurs moulins dont le [[moulin à vent des Bleuces]] (MH), manoir de la Seigneurie, mines de houille, prieuré de Bénédictins Saint-Martin.
+* [[Doué-la-Fontaine]] : arènes, cathédrales troglo des Perrières, chapelle Saint-Gilles, [[Château des Basses Minières|château de Soulanger]] (MH), ruines de l'église Saint-Denis (MH), fontaines, fours à chaux, maisons d'horticulteurs, manoir dit la Cour de Douces, manoir de la Crilloire, manoir de la Galonnière ou du Petit Riou, manoir de la Saulaie, restes d'une motte féodale et d'un donjon (MH), moulin à vent de Douces, moulin à blé dit Moulin Cartier, sablière.
+* [[Forges]] : cabanes de vignerons, église Saint-Laurent (MH), maisons de Forges, motte de la cour de Forges.
+* [[Meigné]] : château la Bretaudière, château la Tremblaye, église Saint-Pierre (MH), souterrain refuge de Mazières.
+* [[Montfort]] : église Saint-Hilaire, moulins à vent des Coudreaux, dont l'un est semi troglodytique, moulins de la Mouche.
+* [[Saint-Georges-sur-Layon]] : château des Mines, église Saint-Georges, manoir de Châtelaison (MH), moulin du Layon, prieuré de Bénédictins.
+* [[Les Verchers-sur-Layon]] : plusieurs cabanes de vigneron du {{XIXs}}, chapelle Notre-Dame Saint-Jean, château de Bellevue, château de Bussy Fontaines et son domaine, château d'Échuilly (MH), château de Varenne, ancienne commanderie de templiers (MH), église Saint-Jean-Baptiste à la Commanderie, église Saint-Just, prieuré de Bénédictins l'Abbaye.
 == Capitale des roses ==
-Les pépinières et les roseraies se développent à Doué au {{XVIIIs}}<ref>Pépinières et roseraies au {{XVIIIs}}, voir [[Joseph François Foullon]].</ref>. Dans les années 1970 la production annuelle de rosiers est d'environ 3,5 millions de plants<ref>Célestin Port, ''Dictionnaire historique, géographique et biographique de Maine-et-Loire'', t. 2, édition révisée par Jacques Levron, Pierre d'Herbécourt et Cécile Souchon, éd. H. Siraudeau, 1978, p. 56</ref>, et au début du {{XXIs}} entre cinq et sept millions de rosiers par an<ref>Ouest-France Entreprises, ''Cette cité produit cinq millions de rosiers par an'', 11 juillet 2014 (cinq millions de rosiers)</ref>{{,}}<ref>Ouest-France, ''Doué-la-Fontaine. La fête aux cent mille roses dans les caves troglo'', 12 juillet 2015 (sept millions de rosiers)</ref>, ce qui en fait le premier centre de production de plants de rosiers en Europe.
+Les pépinières et les roseraies se développent à Doué au {{XVIIIs}}<ref>Pépinières et roseraies au {{XVIIIs}}, voir [[Joseph François Foullon]].</ref>. Dans les années 1970 la production annuelle de rosiers est d'environ 3,5 millions de plants<ref>Célestin Port (révisé par Jacques Levron, Pierre d'Herbécourt, Robert Favreau et Cécile Souchon), ''Dictionnaire historique, géographique et biographique de Maine-et-Loire et de l'ancienne province d'Anjou'', {{t.|II}} (D-M), H. Siraudeau & Cie (Angers), 1978 (2e éd.), {{p.|56}}</ref>, et au début du {{XXIs}} entre cinq et sept millions de rosiers par an<ref>Ouest-France Entreprises, ''Cette cité produit cinq millions de rosiers par an'', 11 juillet 2014 (cinq millions de rosiers)</ref>{{,}}<ref>Ouest-France, ''Doué-la-Fontaine. La fête aux cent mille roses dans les caves troglo'', 12 juillet 2015 (sept millions de rosiers)</ref>, ce qui en fait le premier centre de production de plants de rosiers en Europe.
 À voir :
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 == Espace et territoire ==
-Doué-en-Anjou se situe au sud-ouest de [[Saumur]]. Elle s'étend sur 148,55 km² ({{formatnum:14855}} hectares) et son altitude varie de 39 à 109 mètres<ref>IGN, ''Répertoire géographique des communes (RGC)'', données 2014 actualisées ([[Altitude des communes de Maine-et-Loire|altitude]], [[Superficie des communes de Maine-et-Loire|superficie]])</ref>. Son territoire se situe dans le périmètre du parc naturel [[Parc naturel régional Loire-Anjou-Touraine|Loire-Anjou-Touraine]], et les zones de la Plaine de Douces et les pelouses et landes sèches des Coteaux du Layon sont classées [[Espaces naturels sensibles de Maine-et-Loire|espace naturel sensible]] (ENS)<ref>[[Espaces naturels sensibles de Maine-et-Loire]], 2018</ref>.
+La commune urbaine de Doué-en-Anjou se situe au sud-ouest de [[Saumur]]. Elle s'étend sur {{unité|148.55|km|2}} ({{unité|14855|hectares}}) et son altitude varie de 39 à 109 mètres<ref>IGN, ''[[Superficie des communes de Maine-et-Loire|Répertoire géographique des communes (RGC, superficies)]]'', limites territoriales au 1{{er}} janvier 2019</ref>{{,}}<ref>IGN, ''[[Altitude des communes de Maine-et-Loire|Répertoire géographique des communes (RGC, altitudes)]]'', limites territoriales au 1{{er}} janvier 2019</ref>.
+Son territoire se situe dans le périmètre du parc naturel [[Parc naturel régional Loire-Anjou-Touraine|Loire-Anjou-Touraine]], et les zones de la Plaine de Douces et les pelouses et landes sèches des Coteaux du Layon sont classées [[Espaces naturels sensibles de Maine-et-Loire|espace naturel sensible]] (ENS)<ref>[[Espaces naturels sensibles de Maine-et-Loire]], 2018</ref>.
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