Aller au contenu

« Champignonnières France Champignon » : différence entre les versions

cplt
m (Catégorie:Agriculture)
(cplt)
 
(5 versions intermédiaires par le même utilisateur non affichées)
Ligne 6 : Ligne 6 :
  | secteur = Transformation et conservation de légumes.
  | secteur = Transformation et conservation de légumes.
  | année = 1997
  | année = 1997
  | notes = L'entreprise ''France Champignon'' est née en 1997 du rapprochement de ''Royal Champignon'' et de ''Champijandou''.
  | notes = Royal Champignon et Champijandou.
}}
}}


Ligne 12 : Ligne 12 :




== Les champignons ==
== L'activité ==
C'est dans les années 1930 que se développe la culture industrielle des champignons, qui est, dans la région, principalement installée dans les troglodytes saumurois<ref name="parisien-14sept2002">Le Parisien, ''800 emplois menacés chez France Champignon'', 14 septembre 2002</ref>.
C'est dans les années 1930 que se développe la culture industrielle des champignons, qui est, dans la région, principalement installée dans les troglodytes saumurois<ref name="parisien-14sept2002">Le Parisien, ''800 emplois menacés chez France Champignon'', 14 septembre 2002</ref>.


Dans les années 1960, le [[Saumurois]] est un centre important de production. On y trouve une soixantaine d'exploitations qui emploient {{formatnum:1250}} personnes, pour une production de {{formatnum:9000}} tonnes, pratiquement le quart de la production française. 85 % de celle-ci est traitée dans les neuf conserveries de Saumur et de Chacé<ref>Jean Lartaut, ''La culture des champignons dans l'Ouest de la France'', dans la Revue de géographie trimestrielle Norois, n° 46, 1965, p. 210 et 211</ref>.
Le [[Saumurois]] est dans les années 1960 un centre important de production. On y trouve une soixantaine d'exploitations qui emploient {{unité|1250|personnes}} pour une production de {{unité|9000|tonnes}}, pratiquement le quart de la production française. 85 % de celle-ci est traitée dans les neuf conserveries de Saumur et de Chacé<ref>Jean Lartaut, ''La culture des champignons dans l'Ouest de la France'', dans la revue de géographie trimestrielle ''Norois'', n° 46, 1965, p. 210 et 211</ref>.


Les industries agro-alimentaires occupent une place importante dans les années 1990 dans l'activité Saumuroise, dont la principale est l'activité de transformation du champignon ; secteur leader au niveau national (champignons dits de Paris) et qui emploie {{formatnum:3000}} personnes en 1993<ref>Célestin Port, ''Dictionnaire historique, géographique et biographique de Maine-et-Loire et de l'ancienne province d'Anjou'', t. 4, 1996, p. 334, édition révisée par André Sarazin et Pascal Tellier, H. Siraudeau</ref>.
Les industries agro-alimentaires occupent une place importante dans l'activité Saumuroise des {{nobr|années 1990}}, dont la principale est l'activité de transformation du champignon ; secteur leader au niveau national (champignons dits de Paris) et qui emploie {{unité|3000|personnes}} en 1993<ref>Célestin Port (révisé par André Sarazin et Pascal Tellier), ''Dictionnaire historique, géographique et biographique de Maine-et-Loire et de l'ancienne province d'Anjou'', {{t.|IV}} (S-Z), H. Siraudeau & Cie (Angers), 1996 (2e éd.), {{p.|334}}</ref>.


Le groupe coopératif ''France Champignon'' naît en [[1997]] du rapprochement des sociétés ''Royal Champignon'' et ''Champijandou''<ref name="figaro-7janv2010">Le Figaro, ''Bonduelle veut s'offrir le roi des champignons en Europe'', 7 janvier 2010</ref>.
Le groupe coopératif France Champignon naît en [[1997]] du rapprochement des sociétés Royal Champignon et Champijandou<ref name="figaro-7janv2010">Le Figaro, ''Bonduelle veut s'offrir le roi des champignons en Europe'', 7 janvier 2010</ref>.


Au début des années 2000, l'activité souffre de la concurrence des Pays-Bas, de l'Espagne et de la Chine<ref name="parisien-14sept2002" />. ''France Champignon'' est repris en 2004 par le fonds ''Butler Capital Partners''<ref name="usinenouvelle-26oct2009">L'Usine Nouvelle, ''France Champignon supprime 127 emplois'', 26 octobre 2009</ref>{{,}}<ref name="lsa-23nov2006">LSA, ''France Champignon à l'heure de la modernisation'', 23 novembre 2006</ref>. En octobre l'usine de Châtellerault (Vienne) est fermée<ref name="usinenouvelle-1juin2004">L'Usine Nouvelle, ''France Champignon ferme un site dans la Vienne'', 1{{er}} juin 2004</ref>, et l'outil industriel est modernisé, passant d'une production en caves à une production en maison de culture, un mode de production en salles climatisées<ref name="usinenouvelle-26oct2009" />.
L'activité souffre au début des {{nobr|années 2000}} de la concurrence des Pays-Bas, de l'Espagne et de la Chine<ref name="parisien-14sept2002" />. France Champignon est repris en 2004 par le fonds Butler Capital Partners<ref name="usinenouvelle-26oct2009">L'Usine Nouvelle, ''France Champignon supprime 127 emplois'', 26 octobre 2009</ref>{{,}}<ref name="lsa-23nov2006">LSA, ''France Champignon à l'heure de la modernisation'', 23 novembre 2006</ref>. En octobre l'usine de Châtellerault (Vienne) est fermée<ref name="usinenouvelle-1juin2004">L'Usine Nouvelle, ''France Champignon ferme un site dans la Vienne'', 1{{er}} juin 2004</ref> et l'outil industriel est modernisé, passant d'une production en caves à une production en maison de culture, un mode de production en salles climatisées<ref name="usinenouvelle-26oct2009" />.


En 2007 l'entreprise est devenue leader européen du marché du champignon et numéro deux mondial<ref name="usinenouvelle-5dec2007">L'Usine Nouvelle, ''France Champignon sort du rouge'', 5 décembre 2007</ref>. L'année suivante, le groupe comprend six usines (cinq en France et une en Pologne), pour une production annuelle de {{formatnum:130000}} tonnes de champignons, un chiffre d'affaires de 212 millions d'euros et un effectif de {{formatnum:1500}} personnes. Il produit les marques Royal Champignon, les champignons de Léon, Champiland et Compagnie du Mont-Lozère<ref name="figaro-7janv2010" />{{,}}<ref name="saumurkiosque-7janv2010">Saumur Kiosque, ''Bonduelle rachète France Champignon'', 7 janvier 2010</ref>{{,}}<ref name="lsa-23nov2006" />.
En 2007 l'entreprise est devenue leader européen du marché du champignon et numéro deux mondial<ref name="usinenouvelle-5dec2007">L'Usine Nouvelle, ''France Champignon sort du rouge'', 5 décembre 2007</ref>. L'année suivante, le groupe comprend six usines (cinq en France et une en Pologne), pour une production annuelle de {{unité|130000|tonnes}} de champignons, un chiffre d'affaires de {{unité|212|millions}} d'euros et un effectif de {{unité|1500|personnes}}. Il produit les marques Royal Champignon, les champignons de Léon, Champiland et Compagnie du Mont-Lozère<ref name="figaro-7janv2010" />{{,}}<ref name="saumurkiosque-7janv2010">Saumur Kiosque, ''Bonduelle rachète France Champignon'', 7 janvier 2010</ref>{{,}}<ref name="lsa-23nov2006" />.


''France Champignon'' rachète en 2009 la société ''Ganot'' basée à Falaise, dans le Calvados<ref name="usinenouvelle-2avril2009">L'Usine Nouvelle, ''Un rachat pour France Champignon'', n° 3141, 2 avril 2009</ref>, et annonce l'arrêt de ses caves traditionnelles de production de Chacé et Souzay-Champigny, ainsi que la fermeture d'une centrale de compostage de Chacé<ref name="usinenouvelle-26oct2009" />. La majorité de la production française de champignon est alors réalisée dans le [[Saumurois]]<ref>Direction régionale de l'alimentation et de l'agriculture des Pays de Loire, ''Filière végétale'', 2010</ref>.  
France Champignon rachète en 2009 la société Ganot, basée à Falaise dans le Calvados<ref name="usinenouvelle-2avril2009">L'Usine Nouvelle, ''Un rachat pour France Champignon'', n° 3141, 2 avril 2009</ref>, et annonce l'arrêt de ses caves traditionnelles de production de Chacé et Souzay-Champigny, ainsi que la fermeture d'une centrale de compostage de Chacé<ref name="usinenouvelle-26oct2009" />. La majorité de la production française de champignon est alors réalisée dans le [[Saumurois]]<ref>Direction régionale de l'alimentation et de l'agriculture des Pays de Loire, ''Filière végétale'', 2010</ref>.  


L'année suivante le groupe ''France Champignon'' est repris par ''Bonduelle''<ref name="bonduelle-nov2011">Bonduelle, ''La lettre aux actionnaires'', n° 20, novembre 2011</ref>. L'entreprise a vu ses effectifs baisser de 20 % ({{formatnum:1440}} personnes), pour un chiffre d'affaires de 212 millions d'euros et un marché d'environ {{formatnum:70000}} tonnes de champignons<ref name="usinenouvelle-14janv2010">L'Usine Nouvelle, ''Bonduelle rachète France Champignon'', n° 3175, 14 janvier 2010</ref>{{,}}<ref name="saumurkiosque-1avril2010">Saumur Kiosque, ''France Champignon dégraisse encore : 150 emplois de moins d'ici à octobre 2011 à Beaufort en Vallée'', 1{{er}} avril 2010</ref>.
L'année suivante le groupe France Champignon est repris par Bonduelle<ref name="bonduelle-nov2011">Bonduelle, ''La lettre aux actionnaires'', n° 20, novembre 2011</ref>. L'entreprise a vu ses effectifs baisser de 20 % ({{unité|1440|personnes}}), pour un chiffre d'affaires de {{unité|212|millions}} d'euros et un marché d'environ {{unité|70000|tonnes}} de champignons<ref name="usinenouvelle-14janv2010">L'Usine Nouvelle, ''Bonduelle rachète France Champignon'', n° 3175, 14 janvier 2010</ref>{{,}}<ref name="saumurkiosque-1avril2010">Saumur Kiosque, ''France Champignon dégraisse encore : 150 emplois de moins d'ici à octobre 2011 à Beaufort en Vallée'', 1{{er}} avril 2010</ref>.


En 2010 l'entreprise ferme son site de Beaufort-en-Vallée<ref name="lexpansion-2avril2010">L'Expansion, ''Les occupations d'usines se multiplient'', 2 avril 2010</ref>{{,}}<ref name="saumurkiosque-1avril2010" />{{,}}<ref>Mairie de Beaufort-en-Vallée, ''Trait d'union - Informations de la ville de Beaufort-en-Vallée'', n° 115, juin 2011</ref> et modernise la récolte mécanisée du champignon<ref name="bonduelle-nov2011" />.
En 2010 l'entreprise ferme son site de Beaufort-en-Vallée<ref name="lexpansion-2avril2010">L'Expansion, ''Les occupations d'usines se multiplient'', 2 avril 2010</ref>{{,}}<ref name="saumurkiosque-1avril2010" />{{,}}<ref>Mairie de Beaufort-en-Vallée, ''Trait d'union - Informations de la ville de Beaufort-en-Vallée'', n° 115, juin 2011</ref> et modernise la récolte mécanisée du champignon<ref name="bonduelle-nov2011" />.


Le site de Doué-la-Fontaine fête son cinquantenaire en septembre 2013. L'usine de 145 salariés produit {{formatnum:33000}} tonnes de conserves par an, {{formatnum:700000}} boîtes par jour, {{formatnum:12000}} tonnes de champignons surgelés<ref name="ouestfrance-24sept2013">Ouest-France, ''Jérôme Bonduelle : « France champignon en très net redressement »'', 24 septembre 2013</ref>. Cette année là, 50 % de la production française est cultivée en Maine-et-Loire avec le produit leader « Champignon de Paris »<ref>Végépolys, ''Le végétal'', octobre 2013</ref>.
Le site de Doué-la-Fontaine fête son cinquantenaire en septembre 2013. L'usine de {{unité|145|salariés}} produit {{unité|33000|tonnes}} de conserves par an, {{unité|700000|boîtes}} par jour, {{unité|12000|tonnes}} de champignons surgelés<ref name="ouestfrance-24sept2013">Ouest-France, ''Jérôme Bonduelle : « France champignon en très net redressement »'', 24 septembre 2013</ref>. Cette année là, 50 % de la production française est cultivée en Maine-et-Loire avec le produit leader « Champignon de Paris »<ref>Végépolys, ''Le végétal'', octobre 2013</ref>.


Deux ans plus tard, France champignon annonce la fermeture de son site de Thouars dans les Deux-Sèvres, pour renforcer celui de Doué-La-Fontaine, et sa séparation de l'usine de Falaise, dans le Calvados. L'entreprise est alors déployée sur cinq sites, dont également la plateforme de distribution de Longué-Jumelles et l'unité de conditionnement de Montreuil-Bellay<ref name="un-6mars2015">L'Usine nouvelle (Emmanuel Guimard), ''Bonduelle restructure de nouveau sa filiale France champignon'', 6 mars 2015</ref>.
Deux ans plus tard, France champignon annonce la fermeture de son site de Thouars dans les Deux-Sèvres, pour renforcer celui de Doué-la-Fontaine, et sa séparation de l'usine de Falaise dans le Calvados. L'entreprise est alors déployée sur cinq sites, dont également la plateforme de distribution de Longué-Jumelles et l'unité de conditionnement de Montreuil-Bellay<ref name="un-6mars2015">L'Usine nouvelle (Emmanuel Guimard), ''Bonduelle restructure de nouveau sa filiale France champignon'', 6 mars 2015</ref>. Elle réalise cette année là un chiffre d'affaires de {{unité|180|millions}} d'euros, dont un tiers à l'export<ref>Les Échos (Emmanuel Guimard), ''France Champignon, le numéro un, résiste à la surproduction depuis son rachat par Bonduelle'', 8 janvier 2016</ref>.
 
De nouvelles difficultés naissent à la fin de l'année 2020 à la suite de la baisse des prix et la société France Champignons est placée en redressement judiciaire. En un quart de siècle, la filière tricolore des champignons de culture s'effondre de moitié. L'activité se redresse l'année suivante. À l'issue de la procédure de redressement, le groupe industriel Bonduelle reprend en février 2021 les sites de Doué-la-Fontaine (transformation), de Longué-Jumelles (culture) et de Montreuil-Bellay (logistique). Le siège de Saumur n'est pas repris. Leader Français de la production de champignons de Paris, la coopérative France champignon produit alors {{unité|45000|tonnes}} de champignons en conserve, {{unité|7000|tonnes}} en surgelé et {{unité|2500|tonnes}} en frais. Elle compte {{unité|470|salariés}} répartis sur les sites de Doué-en-Anjou, Montreuil-Bellay, Longué-Jumelles, Loudun (Vienne), l'Ile-Bouchard (Indre-et-Loire) et Montoire (Loir-et-Cher)<ref>Le Courrier de l'Ouest (Julien Coutenceau), ''Saumur. France champignon à la relance après un passage difficile'', 2 novembre 2021</ref>{{,}}<ref>Ouest-France, ''Maine-et-Loire. Un an après, l'entreprise France champignon relève enfin la tête et se diversifie'', 5 novembre 2021</ref>{{,}}<ref>Les Échos (Guillaume Roussange), ''Comment le champignon français tente de relever la tête'', 24 janvier 2025</ref>.


La structure est adhérente du réseau ''[[Produit en Anjou]]''<ref>GIP Produit en Anjou, 2018-2020</ref>.
La structure est adhérente du réseau ''[[Produit en Anjou]]''<ref>GIP Produit en Anjou, 2018-2020</ref>.


== L'entreprise ==
== L'entreprise ==
La société ''France Champignon'' est constituée sous la forme d'une société coopérative agricole (COAGR ), située à Bagneux (Maine-et-Loire), à Chantemerle. Immatriculée sous sa forme actuelle le 18 novembre 1992, son activité est la transformation et conservation de légumes (1039A)<ref name="infogreffe">Infogreffe, Registre des sociétés (389 134 016 R.C.S. Angers), septembre 2013</ref>. Elle a réalisée un chiffre d'affaires de 180,7 millions d'euros en 2014, pour 174 millions d'euros l'année précédente<ref name="un-6mars2015" />.
La société France Champignon est constituée sous la forme d'une société coopérative agricole (COAGR ), située à Bagneux (Maine-et-Loire), à Chantemerle. Immatriculée sous sa forme actuelle le {{date|18 novembre 1992}}, son activité est la transformation et conservation de légumes (1039A). Sa présidence est assurée depuis juillet 2011 par Pierre Deloffre, auxquelles sont associées la Société coopérative agricole du Lac (vice-présidence) et Champignonnières des Roches (administrateur)<ref name="infogreffe">Infogreffe, Registre des sociétés (389 134 016 R.C.S. Angers), septembre 2013</ref>. Elle réalise en 2014 un chiffre d'affaires de {{unité|180.7|millions}} d'euros, pour {{unité|174|millions}} d'euros l'année précédente<ref name="un-6mars2015" />. Elle est classée 19{{e}} en 2021 dans le Top 90 des usines de Maine-et-Loire par ''Industrie Explorer'' de ''L'Usine nouvelle''<ref>Industrie Explorer (L'Usine nouvelle), '' Top 90 des usines dans le departement Maine-et-Loire '', avril 2022</ref>.


L'entreprise comprend sept établissements en 2013, la plupart implantés en Anjou :
L'entreprise comprend alors sept établissements, pour la plupart implantés en Anjou :
* France champignon à [[Bagneux]] (Saumur), siège social et établissement principal<ref>Infogreffe, Registre des sociétés (389 134 016 00051 RCS Angers), septembre 2013</ref> ;
* France champignon à [[Bagneux]] (Saumur), siège social et établissement principal<ref>Infogreffe, Registre des sociétés (389 134 016 00051 RCS Angers), septembre 2013</ref> ;
* France champignon à [[Longué-Jumelles]], établissement secondaire<ref>Infogreffe, Registre des sociétés (389 134 016 00101 RCS Angers), septembre 2013</ref> ;
* France champignon à [[Longué-Jumelles]], établissement secondaire<ref>Infogreffe, Registre des sociétés (389 134 016 00101 RCS Angers), septembre 2013</ref> ;
Ligne 49 : Ligne 51 :
* Jandou industrie à Thouars (Deux-Sèvres), établissement secondaire immatriculé le 5 octobre 1993<ref>Infogreffe, Registre des sociétés (389 134 016 00044 RCS Niort), septembre 2013</ref>.
* Jandou industrie à Thouars (Deux-Sèvres), établissement secondaire immatriculé le 5 octobre 1993<ref>Infogreffe, Registre des sociétés (389 134 016 00044 RCS Niort), septembre 2013</ref>.


France champignon est détenue depuis 2010 à 55 % par Bonduelle, et pour le reste par les deux coopératives agricoles de la coopérative du Lac et la coopérative de la Lande<ref name="un-6mars2015" />.
France champignon est détenue depuis 2010 à 55 % par Bonduelle, et pour le reste par les deux coopératives agricoles de la coopérative du Lac et la coopérative de la Lande<ref name="un-6mars2015" />. Le groupe Bonduelle employait {{unité|8971|personnes}} en 2012, pour un chiffre d'affaires de {{unité|1767|millions}} d'euros<ref>Bonduelle, ''Le groupe Bonduelle'', septembre 2013</ref>.
 
Le groupe Bonduelle employait {{formatnum:8971}} personnes en 2012, pour un chiffre d'affaires de {{formatnum:1767}} millions d'euros<ref>Bonduelle, ''Le groupe Bonduelle'', septembre 2013</ref>.
 
== Témoignages ==
{{Section témoigner}}


== Notes ==
== Notes ==
Ligne 64 : Ligne 61 :


Sources et annotations
Sources et annotations
{{Références|colonnes=2}}
{{Références}}
 
Lien externe
:• [https://www.francechampignon.fr/ Site web France Champignon]