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« Château de Chambiers » : différence entre les versions
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[[File:Durtal chateau de chambiers 2013-1.jpg|thumb|upright=1.1|alt=Photographie aérienne du château.]] | |||
Datant du {{XVIIIs}}, le '''château de Chambiers''' est un édifice angevin se trouvant à [[Durtal]], en [[Maine-et-Loire]], à l'orée de la forêt du même nom. C'est aujourd'hui un établissement hôtelier. | Datant du {{XVIIIs}}, le '''château de Chambiers''' est un édifice angevin se trouvant à [[Durtal]], en [[Maine-et-Loire]], à l'orée de la forêt du même nom. C'est aujourd'hui un établissement hôtelier. | ||
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== Histoire == | == Histoire == | ||
Les bases du château de Chambiers datent du {{XVs}}. Reconstruit au début du [[1701|{{XVIIIe}}]], il est agrandi au {{XIXs}}. Autrefois, il appartenait à la paroisse de [[Saint-Léonard-de-Durtal]]<ref name="cport-1874-chambiers" /> et servait comme rendez-vous de chasse du [[château de Durtal]]. En 1882, la famille Rochefoucauld s'en sépare au retour d'émigration. À l'époque, le domaine compte 801 hectares, dont 570 de forêts<ref name="cport-1965-chambiers">Célestin Port (révisé par Jacques Levron et Pierre d'Herbécourt), ''Dictionnaire historique, géographique et biographique de Maine-et-Loire et de l'ancienne province d'Anjou'', {{t.|I}} (A-C), H. Siraudeau & Cie (Angers), 1965, {{p.|624-625}}</ref>. En 1912, il devient propriété du comte Marc de Courtis, grand-père des propriétaires actuels. | Les bases du château de Chambiers datent du {{XVs}}. Reconstruit au début du [[1701|{{XVIIIe}}]], il est agrandi au {{XIXs}}. Autrefois, il appartenait à la paroisse de [[Saint-Léonard-de-Durtal]]<ref name="cport-1874-chambiers" /> et servait comme rendez-vous de chasse du [[château de Durtal]]. En 1882, la famille Rochefoucauld s'en sépare au retour d'émigration. À l'époque, le domaine compte 801 hectares, dont 570 de forêts<ref name="cport-1965-chambiers">Célestin Port (révisé par Jacques Levron et Pierre d'Herbécourt), ''Dictionnaire historique, géographique et biographique de Maine-et-Loire et de l'ancienne province d'Anjou'', {{t.|I}} (A-C), H. Siraudeau & Cie (Angers), 1965, {{p.|624-625}}</ref>. En 1912, il devient propriété du comte Marc de Courtis, grand-père des propriétaires actuels. | ||
== Aujourd'hui == | == Aujourd'hui == | ||