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« Chemillé » : différence entre les versions

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== Situation administrative ==
== Situation administrative ==
Le 1{{er}} janvier 2013, la commune se regroupe avec [[Melay]] pour former la commune nouvelle de [[Chemillé-Melay]]<ref>Préfecture de Maine-et-Loire, ''Arrêté préfectoral 2012317-0003'', 12 novembre 2012 — Voir [[création de la nouvelle commune de Chemillé-Melay (2013)]].</ref>. Chemillé devient une commune déléguée et le siège de la nouvelle commune.
La commune de Chemillé est née à la Révolution, remplaçant les seigneuries et paroisses de l'[[Glossaire#A|Ancien Régime]]<ref>Assemblée nationale constituante, le 11 novembre 1789 : « il y aura une municipalité dans chaque ville, bourg, paroisse ou communauté de campagne ».</ref>. Le 1{{er}} janvier 2013, la commune se regroupe avec [[Melay]] pour former la commune nouvelle de [[Chemillé-Melay]]. Chemillé devient une commune déléguée et le siège de la nouvelle commune<ref>Préfecture de Maine-et-Loire, ''Arrêté préfectoral 2012317-0003'', 12 novembre 2012 — Voir [[création de la nouvelle commune de Chemillé-Melay (2013)]].</ref>.


La commune est jusqu'alors membre de la communauté de communes [[Communauté de communes de la région de Chemillé|de la région de Chemillé]], dont elle est le siège, et se trouve dans le canton [[Canton de Chemillé|de Chemillé]] et l'arrondissement [[Arrondissement de Cholet|de Cholet]].
Chemillé est jusqu'alors membre de la communauté de communes [[Communauté de communes de la région de Chemillé|de la région de Chemillé]], dont elle est le siège, et se trouve dans le canton [[Canton de Chemillé|de Chemillé]] et l'arrondissement [[Arrondissement de Cholet|de Cholet]].


Son code commune (Insee) est 49092 et son code postal est 49120. Ses habitants se nomment les Chemillois et Chemilloises<ref>[[Chemillois (mot)]], août 2019</ref>.
Son code commune (Insee) est 49092 et son code postal est 49120. Ses habitants se nomment les Chemillois et Chemilloises<ref>[[Chemillois (mot)]], août 2019</ref>. Sa population est de {{formatnum:6167}} habitants en 1999 (elle est alors l'une des dix communes les plus peuplées du département), {{formatnum:6784}} en 2006 et de {{formatnum:7131}} en 2012<ref>[[Population de Maine-et-Loire]] ([[Population de Maine-et-Loire/1793|1793]], [[Population de Maine-et-Loire/1800|1800]], [[Population de Maine-et-Loire/1999|1999]], [[Population de Maine-et-Loire/2006|2006]], [[Population de Maine-et-Loire/2012|2012]])</ref>.


Un nouveau regroupement intervient fin 2015 avec la création de la [[Création de la nouvelle commune de Chemillé-en-Anjou (2015)|commune nouvelle]] de [[Chemillé-en-Anjou]]<ref>Préfecture de Maine-et-Loire, ''Arrêté préfectoral DRCL-BCL-2015-58'', du 24 septembre 2015 — Voir [[création de la nouvelle commune de Chemillé-en-Anjou (2015)]].</ref>, du nom de la commune la plus importante ({{citation|Chemillé}}) associé à celui d'{{citation|Anjou}}. Chemillé en est une commune déléguée<ref>Si elle en reçoit le statut, chaque commune déléguée dispose d'un maire délégué et d'une annexe de la mairie ([[Création de la nouvelle commune de Chemillé-en-Anjou (2015)|article L2113-11]] du Code général des collectivités territoriales).</ref> et son siège.
Un nouveau regroupement intervient fin 2015 avec la création de la [[Création de la nouvelle commune de Chemillé-en-Anjou (2015)|commune nouvelle]] de [[Chemillé-en-Anjou]]<ref>Préfecture de Maine-et-Loire, ''Arrêté préfectoral DRCL-BCL-2015-58'', du 24 septembre 2015 — Voir [[création de la nouvelle commune de Chemillé-en-Anjou (2015)]].</ref>, du nom de la commune la plus importante ({{citation|Chemillé}}) associé à celui d'{{citation|Anjou}}. Chemillé en est une commune déléguée<ref>Si elle en reçoit le statut, chaque commune déléguée dispose d'un maire délégué et d'une annexe de la mairie ([[Création de la nouvelle commune de Chemillé-en-Anjou (2015)|article L2113-11]] du Code général des collectivités territoriales).</ref> et son siège.
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'''Généralité historiques'''
'''Généralité historiques'''


Chemillé est à l'époque gallo-romaine le centre d'une importante villa. Au Moyen Âge, la villa appartient à Saint-Martin-de-Tours puis réunie au domaine de l'évêque d'Angers au milieu du {{IXs}}. Plus tard la terre appartient au seigneur de Brissac ; famille qui la possédera jusqu'au {{XIVe}}. La ville est fortifiée au {{XIIIs}} à la reconstruction du château. Chemillé dépend au {{XVIIIe}} du [[Glossaire#P|présidial]], de l'[[Glossaire#E|élection]] et des [[Glossaire#A|aides]] d'Angers, et en 1788 du district de Beaupréau. La ville se divise en quatre paroisses, Saint-Pierre, Notre-Dame, Saint-Gilles et Saint-Léonard<ref name="cport-1965">Célestin Port (édition révisée de Jacques Levron et Pierre d'Herbécourt), ''Dictionnaire historique, géographique et biographique de Maine-et-Loire et de l'ancienne province d'Anjou'', t. 1, éd. H. Siraudeau et Cie, 1965, p. 716-722</ref>{{,}}<ref>PERRIN de ROUVRAY Raymond, ''L'Eglise d'Angers pendant la Révolution'', tome I et II, Cholet, Editions du choletais, 1984</ref>.
Chemillé est à l'époque gallo-romaine le centre d'une importante villa. Au Moyen Âge, la villa appartient à Saint-Martin-de-Tours puis réunie au domaine de l'évêque d'Angers au milieu du {{IXs}}. Plus tard la terre appartient au seigneur de Brissac ; famille qui la possédera jusqu'au {{XIVe}}. La ville est fortifiée au {{XIIIs}} à la reconstruction du château. Chemillé dépend au {{XVIIIe}} du [[Glossaire#P|présidial]], de l'[[Glossaire#E|élection]] et des [[Glossaire#A|aides]] d'Angers, et en 1788 du district de Beaupréau. La ville se divise en quatre paroisses, Saint-Pierre, Notre-Dame, Saint-Gilles et Saint-Léonard<ref name="cport-1965">Célestin Port (révisé par Jacques Levron et Pierre d'Herbécourt), ''Dictionnaire historique, géographique et biographique de Maine-et-Loire et de l'ancienne province d'Anjou'', {{t.|I}} (A-C), H. Siraudeau & Cie (Angers), 1965, 2e éd. (1re éd. 1874), {{p.|716-722}}</ref>{{,}}<ref name="rperrin">Raymond Perrin de Rouvray, ''L'Eglise d'Angers pendant la Révolution'', tome I et II, Éditions du choletais (Cholet), 1984</ref>.


'''Chemillé pendant la Révolution'''
'''Chemillé pendant la Révolution'''


La Constitution civile du clergé adoptée par l'Assemblée constituante, le 12 juillet 1790, modifie la carte paroissiale. Les paroisses de Saint-Gilles et Saint-Léonard sont supprimées, le chapitre de Saint-Léonard et ses huit chanoines est dissous. Le 23 novembre 1790, l'Assemblée adopte un décret imposant à tous les ecclésiastiques de prêter le serment de fidélité « à la nation, à la loi et au roi » exigé pour les fonctionnaires, le clergé français étant depuis la Constitution civile du clergé, rémunéré par l'État. La question du serment fracture le clergé français qui craint une rupture avec la papauté en cas de prestation<ref>TACKETT Timothy, ''La Révolution, l'Eglise, la France'', Paris, Cerf, 1986</ref>. Dans le département de Maine-et-Loire, 53 % du clergé refuse de prêter le serment<ref>PERRIN de ROUVRAY Raymond, ''L'Eglise d'Angers pendant la Révolution'', tome I et II, Cholet, Éditions du choletais, 1984</ref>, dans les Mauges, seuls 4,88 % des ecclésiastiques prêtent serment<ref>DELAHAYE Bertrand, ''Les prêtres constitutionnels des Mauges et du Saumurois pendant la Révolution : 1790-1795'', mémoire de maîtrise, Université Catholique de l'Ouest, 2001, 204p.</ref>. À Chemillé, l'ancien curé de Saint-Gilles, François Morignier est un ferme opposant au serment et à la Constitution civile du clergé qu'il invective dans ses sermons<ref>UZUREAU François-Constant, « Le dernier curé de Saint-Gilles-de-Chemillé », ''L’Anjou historique'', Angers, Siraudeau, janvier 1939, p. 18-21</ref>. Dénoncé en 1791, il est interné au Séminaire de la ville d'Angers (actuel musée des Beaux-Arts).  
La Constitution civile du clergé adoptée par l'Assemblée constituante, le 12 juillet 1790, modifie la carte paroissiale. Les paroisses de Saint-Gilles et Saint-Léonard sont supprimées, le chapitre de Saint-Léonard et ses huit chanoines est dissous. Le 23 novembre 1790, l'Assemblée adopte un décret imposant à tous les ecclésiastiques de prêter le serment de fidélité « à la nation, à la loi et au roi » exigé pour les fonctionnaires, le clergé français étant depuis la Constitution civile du clergé, rémunéré par l'État. La question du serment fracture le clergé français qui craint une rupture avec la papauté en cas de prestation<ref>Timothy Tackett, ''La Révolution, l'Eglise, la France'', Cerf (Paris), 1986</ref>. Dans le département de Maine-et-Loire, 53 % du clergé refuse de prêter le serment<ref name="rperrin" />, dans les Mauges, seuls 4,88 % des ecclésiastiques prêtent serment<ref>Bertrand DelaHaye, ''Les prêtres constitutionnels des Mauges et du Saumurois pendant la Révolution : 1790-1795'', mémoire de maîtrise, Université Catholique de l'Ouest (Angers), 2001, 204 p.</ref>. À Chemillé, l'ancien curé de Saint-Gilles, François Morignier est un ferme opposant au serment et à la Constitution civile du clergé qu'il invective dans ses sermons<ref>François-Constant Uzureau, « Le dernier curé de Saint-Gilles-de-Chemillé », dans ''L'Anjou historique'', Siraudeau (Angers), janvier 1939, p. 18-21</ref>. Dénoncé en 1791, il est interné au Séminaire de la ville d'Angers (actuel musée des Beaux-Arts).  
Le 26 août 1792, l'Assemblée législative vote le décret de déportation des ecclésiastiques réfractaires. Pierre Cochard, curé de Saint-Pierre, François Morignier, curé de Saint-Gilles, Jean-Louis Ménard, curé de Notre-Dame, son vicaire René-Hilarion Billard ainsi que deux chanoines de Saint-Léonard sont déportés en Espagne en septembre 1792. François Morignier revient à Chemillé en 1801 et est nommé curé de Saint-Pierre au Concordat.
Le 26 août 1792, l'Assemblée législative vote le décret de déportation des ecclésiastiques réfractaires. Pierre Cochard, curé de Saint-Pierre, François Morignier, curé de Saint-Gilles, Jean-Louis Ménard, curé de Notre-Dame, son vicaire René-Hilarion Billard ainsi que deux chanoines de Saint-Léonard sont déportés en Espagne en septembre 1792. François Morignier revient à Chemillé en 1801 et est nommé curé de Saint-Pierre au Concordat.
En [[1793]], au début de la guerre de Vendée, la ville se trouve au cœur du pays insurgé et fait l'objet de combats pour en prendre le contrôle<ref name="cport-1965" />. La Collégiale Saint-Léonard est victime d'une colonne infernale qui y met le feu en 1794, réduisant l'édifice en cendres.  
En [[1793]], au début de la guerre de Vendée, la ville se trouve au cœur du pays insurgé et fait l'objet de combats pour en prendre le contrôle<ref name="cport-1965" />. La Collégiale Saint-Léonard est victime d'une colonne infernale qui y met le feu en 1794, réduisant l'édifice en cendres.  


'''Éléments du patrimoine'''<ref>Ministère de la Culture, ''Base Mérimée (Chemillé)'', octobre 2012</ref> :
'''Éléments du patrimoine'''<ref>Ministère de la Culture, ''Base Mérimée (Chemillé)'', octobre 2012</ref> :
* Le château des Cloîtres, construit à la fin du {{XIXs}} à l'emplacement d'un ancien prieuré (inscrit MH) ;
* Le château des Cloîtres, construit à la fin du {{XIXs}} à l'emplacement d'un ancien prieuré (inscrit MH) ;
* Le château L'Echo ;
* Le château L'Echo ;
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* Le moulin à eau au lieu-dit le Moulin-de-la-Croix ;
* Le moulin à eau au lieu-dit le Moulin-de-la-Croix ;
* La porte Est et poterne Sud de l'ancien château ({{XIIIs}}) ;
* La porte Est et poterne Sud de l'ancien château ({{XIIIs}}) ;
* La collégiale Saint-Léonard (ruines)<ref>MATZ Jean-Michel, ''Collégiales urbaines et collégiales castrales dans le diocèse d’Angers au Moyen Âge'', dans ''Annales de Bretagne et des Pays de l’Ouest'', tome 108, n° 3, 2001</ref>.
* La collégiale Saint-Léonard (ruines)<ref>Jean-Michel Matz, ''Collégiales urbaines et collégiales castrales dans le diocèse d'Angers au Moyen Âge'', dans ''Annales de Bretagne et des Pays de l'Ouest'', tome 108, n° 3, 2001</ref>.


L'[[Association pour la sauvegarde du patrimoine chemillois]] œuvre à la restauration et la mise en valeur de l'ancienne église romane Notre-Dame-de-Chemillé ({{XIe}} et {{XIIs}}s, classée MH)<ref name="asso">Association pour la sauvegarde du patrimoine chemillois, avril 2019 — Voir l'[[Association pour la sauvegarde du patrimoine chemillois|association]]</ref>{{,}}<ref>Ministère de la Culture, ''Base Mérimée - Eglise Notre-Dame (PA00109042)'', 15 mai 2019</ref>.
L'[[Association pour la sauvegarde du patrimoine chemillois]] œuvre à la restauration et la mise en valeur de l'ancienne église romane Notre-Dame-de-Chemillé ({{XIe}} et {{XIIs}}s, classée MH)<ref name="asso">Association pour la sauvegarde du patrimoine chemillois, avril 2019 — Voir l'[[Association pour la sauvegarde du patrimoine chemillois|association]]</ref>{{,}}<ref>Ministère de la Culture, ''Base Mérimée - Eglise Notre-Dame (PA00109042)'', 15 mai 2019</ref>.
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== Espace et territoire ==
== Espace et territoire ==
Chemillé s'étend sur 49,20 {{km2}} ({{unité|4920|hectares}}), son altitude varie de 42 à 114 mètres<ref>IGN, ''Répertoire géographique des communes (RGC)'', données 2014 ([[Altitude des communes de Maine-et-Loire|altitude]], [[Superficie des communes de Maine-et-Loire|superficie]])</ref>, et son territoire se trouve sur le plateau des Mauges<ref>''Atlas des paysages de Maine et Loire'', voir [[Liste des unités paysagères de Maine-et-Loire|unités paysagères]].</ref>. L'Hyrôme, affluent en rive gauche du Layon, la traverse. La zone de la Vallée de l'Hyrôme est classée espace naturel sensible (ENS)<ref>[[Espaces naturels sensibles de Maine-et-Loire]], 2018</ref>.
Chemillé s'étend sur {{unité|49.20|km|2}} ({{unité|4920|hectares}}), son altitude varie de 42 à 114 mètres<ref>IGN, ''Répertoire géographique des communes (RGC)'', données 2014 ([[Altitude des communes de Maine-et-Loire|altitude]], [[Superficie des communes de Maine-et-Loire|superficie]])</ref>, et son territoire se trouve sur le plateau des Mauges<ref>''Atlas des paysages de Maine et Loire'', voir [[Liste des unités paysagères de Maine-et-Loire|unités paysagères]].</ref>. L'Hyrôme, affluent en rive gauche du Layon, la traverse. La zone de la Vallée de l'Hyrôme est classée espace naturel sensible (ENS)<ref>[[Espaces naturels sensibles de Maine-et-Loire]], 2018</ref>.


La pêche est pratiquée sur l'Hyrôme et le plan d'eau de Coulvée est aménagé pour la baignade, la pêche et le camping<ref>Observatoire de l'eau (Département de Maine-et-Loire), ''Layon - Caractéristiques de l'Hyrôme'', 2013-2015</ref>.
La pêche est pratiquée sur l'Hyrôme et le plan d'eau de Coulvée est aménagé pour la baignade, la pêche et le camping<ref>Observatoire de l'eau (Département de Maine-et-Loire), ''Layon - Caractéristiques de l'Hyrôme'', 2013-2015</ref>.
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L'office de tourisme de la région de Chemillé se trouve 1 rue de l'Arzillé<ref>Office de tourisme de la région de Chemillé, 2014-2019</ref>.
L'office de tourisme de la région de Chemillé se trouve 1 rue de l'Arzillé<ref>Office de tourisme de la région de Chemillé, 2014-2019</ref>.


== Galerie ==
Localités aux alentours : [[Melay]] ({{unité|3.9|km}}), [[La Chapelle-Rousselin]] ({{unité|5.1|km}}), [[Saint-Lézin]] ({{unité|5.7|km}}), [[Cossé-d'Anjou]] ({{unité|6.4|km}}), [[Saint-Georges-des-Gardes]] ({{unité|7|km}}), [[La Tourlandry]] ({{unité|7.7|km}}), [[La Jumellière]] ({{unité|8|km}}), [[Chanzeaux]] ({{unité|8.8|km}}), [[La Salle-de-Vihiers]] ({{unité|9.3|km}}) et [[Neuvy-en-Mauges]] ({{unité|9.7|km}})<ref>Lion1906 (Lionel Delvarre), ''Distances à partir de Chemillé (49)'', juin 2010</ref>.
 
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Fichier:chemille_vieuxbourg_2019_5299.JPG|Une rue
Fichier:chemille_vieuxbourg_2019_5299.JPG|Une rue
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== Notes ==
== Notes ==
Bibliographie
Bibliographie
:• Victor Bouyer, ''Histoire et petites histoires de Chemillé en Anjou'', éd. Hérault, 2007 (ISBN 978-2-7407-0285-5)
:• Victor Bouyer, ''Histoire et petites histoires de Chemillé en Anjou'', éd. Hérault (Maulévrier), 2007 (ISBN 978-2-7407-0285-5)
:• Philippe Gallotte et Paul Gicquiaud, ''La camomille et autres plantes médicinales dans la région de Chemillé'', éd. Hérault, 2011 (ISBN 978-2-7407-0287-1)
:• Philippe Gallotte et Paul Gicquiaud, ''La camomille et autres plantes médicinales dans la région de Chemillé'', éd. Hérault (Maulévrier), 2011 (ISBN 978-2-7407-0287-1)


Sources et annotations
Sources et annotations