« Émile Alfred Raimbault » : différence entre les versions

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Mémoire de guerre, mémoire des hommes
Cette page répertorie des hommes ou des femmes ayant vécu un conflit militaire.

Émile Alfred Raimbault est né le 19 août 1916 à Chigné (Maine-et-Loire, France).

Militaire au 8e RAD (régiment d'artillerie divisionnaire).

Mort pour la France le 9 juin 1940 sur les collines de Crontoy, durant la Seconde Guerre mondiale.

Le 8^e régiment d'artillerie est une unité de l'armée de terre française, dissous en juillet 1940 et reconstitué le 1^er janvier 1945.
À l'entrée de la guerre en septembre 1939, les premières directives sont données par le chef de corps du 8e R.A.D. : dorénavant, de jour et de nuit, toutes les batteries doivent être prêtes à ouvrir le feu. Après quelques mouvements, chacun des protagonistes regagnent ses positions. Débute alors six mois d'une « drôle de guerre », où les hostilités se réduisent à quelques escarmouches. Plus tard, le régiment est transporté de la ligne Maginot vers le Nord. Du 22 mai au 10 juin 1940, le 8^e RAD est sur le front de l'Aisne, en Picardie. L'attaque allemande est lancée le 5 juin sur la Somme et l'Ailette, puis le 9 sur l'Aisne. Sous le choc, la 7^e armée recule. La division se retrouve alors en première ligne. Le 8^e RAD appuie le 170^e régiment d'infanterie.

De 1939 à 1945, la Seconde Guerre mondiale a embrasé le monde. Elle a causé 62 millions de morts. 100 millions de soldats de 61 nations y ont pris part.

1940 : Les cadets de Saumur, et d'autres éléments de l'Armée française, s’opposent en juin à l’avancée allemande sur la Loire.

Sources et annotations

Sa fiche sur Mémoire des Hommes

L'artillerie française en 1940 sur IRSEM.

Mémoire des hommes — Témoignages — Histoire

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   | mort_pour_la_france_année = 1940
   | mort_pour_la_france_lieu_mort = sur les collines de Crontoy
-  | texte = Le 8e régiment d'artillerie est une unité de l’armée française, dissous en juillet 1940 et reconstitué le 1er janvier 1945.<br />Du 22 mai au 10 juin 1940, le 8e RAD est sur le front de l'Aisne (E. Compiègne).
+  | texte = Le 8{{e}} régiment d'artillerie est une unité de l'armée de terre française, dissous en juillet 1940 et reconstitué le 1{{er}} janvier 1945.<br>À l'entrée de la guerre en septembre 1939, les premières directives sont données par le chef de corps du 8e R.A.D. : dorénavant, de jour et de nuit, toutes les batteries doivent être prêtes à ouvrir le feu. Après quelques mouvements, chacun des protagonistes regagnent ses positions. Débute alors six mois d'une « drôle de guerre », où les hostilités se réduisent à quelques escarmouches. Plus tard, le régiment est transporté de la ligne Maginot vers le Nord. Du 22 mai au 10 juin 1940, le 8{{e}} RAD est sur le front de l'Aisne, en Picardie. L'attaque allemande est lancée le 5 juin sur la Somme et l'Ailette, puis le 9 sur l'Aisne. Sous le choc, la 7{{e}} armée recule. La division se retrouve alors en première ligne. Le 8{{e}} RAD appuie le 170{{e}} régiment d'infanterie.
-  | source_lien = * [http://www.memoiredeshommes.sga.defense.gouv.fr/fr/ark:/40699/m00523d20d6b60e5 Sa fiche sur Mémoire des Hommes]
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-  | source_autres = * [http://fr.wikipedia.org/wiki/8e_r%C3%A9giment_d%27artillerie 8e régiment d'artillerie sur Wikipédia]
+  | source_autres = * [https://www.irsem.fr/data/files/irsem/documents/document/file/8/ARTI15_dossier.pdf L'artillerie française en 1940 sur IRSEM].
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