Histoire de l'Anjou et du Maine-et-Loire
À maintes reprises l'Anjou rayonna au delà de ses frontières, que ce soit à l'époque de Foulques Nerra, de la dynastie Plantagenêt ou celle du roi René.
Plusieurs périodes de développement donnèrent naissance à de magnifiques bâtiments architecturaux, mais aussi à des richesses agricoles et industrielles, tissées avec amour par de petits paysans, artisans, vignerons, qui laborieusement façonnèrent cette région où les rois de France sont venus goûter la douceur de vivre.
De la Préhistoire à l'Empire romain
On retrouve des traces préhistoriques d'habitat dans la région au site de Roc-en-Paille (Chalonnes-sur-Loire, -30000), et en amont de la rivière de la Moine et au sud de la Loire (Doué-la-Fontaine, Le Fief-Sauvin, Mazières-en-Mauges).
Au Ve siècle av. J.-C., le peuple celte des Andes (ou Andécaves, Andégaves) s'installe en Anjou. À Angers, la confluence de la Maine et de la Loire est un endroit stratégique car un simple pont peut traverser la Maine, alors que plus au Sud, la Loire constitue une barrière naturelle et que plus au Nord les trois rivières (Mayenne, Sarthe et Loir) forment une zone marécageuse difficile d'accès.
Les Mauges sont alors occupées par un autre peuple celte, les Ambilatres.
Après la défaite de la révolte gauloise à Alésia (52 av. J.-C.), les Andécaves, sous la conduite de leur chef Dumnacos (ou Dumnacus), tentent de résister aux Romains, avant d'être battus par les Légions romaines. La Gaule romaine est alors divisée en trois provinces, Aquitaine, Belgique et Lyonnaise. C'est à cette dernière que la cité des Andécaves (Andegavum, puis Juliomagus) est rattachée.
Sous l'Empire romain, quelques dizaines d'années avant J.-C., sous le nom de Juliomagnus, la ville d'Angers se développe grâce à l'essor des voies commerciales.
Invasions barbares
Toute la région est ravagée par l'invasion des Francs, Saxons et Alamans, puis des Vikings qui remontent la Loire.
Entre les IVe et VIe siècles, la ville d'Angers se christianise et est administrée par des évêques (dont l'évêque saint Aubin), qui font construire des bourgs monastiques mais aussi une forteresse féodale. En 550 est fondée la première abbaye à Angers (abbaye Saint Aubin). À cette époque, la région est sous le pouvoir féodal Carolingien, à la frontière entre les territoires Breton et Normand.
Malgré sa position et ses fortifications, Angers tombe aux mains des Normands et Saumur est pillé en 845 par le chef viking Hasting. Durant toute cette période d'invasions barbares, le territoire angevin est dévasté à maintes reprises.
Les comtes d'Anjou
L'éclatement de l'Empire Carolingien provoque l'instauration de fiefs dirigés par des comtes, relativement indépendants du royaume de France. Foulques Ier d'Anjou est le premier comte d'Anjou de 930 à 942.
La menace de nouvelles invasions normandes provoque la construction d'un véritable fort à Angers, à l'emplacement actuel du château, sur un surplomb rocheux dominant de 30 mètres toute la vallée de la Maine. Progressivement la région se développe et de nombreux édifices religieux se construisent pendant cette période, comme l'abbaye de Fontevraud (1101).
Au XIe siècle Foulques Nerra (Foulques III d'Anjou, 965-1040), comte d'Anjou, est un conquérant. Il fait incendier une grande partie de la ville d'Angers, récupère le Saumurois et prend possession des Mauges (XIe siècle). Il conforte ses conquêtes par de nombreux châteaux, donjons et abbayes : en Touraine, dans le Saumurois, avec par exemple le château de Trèves, dans les Mauges, avec notamment les forteresses de Montrevault et de Passavant-sur-Layon, dans le Baugeois, avec notamment Baugé. C'est également lui qui fait creuser l'étang Saint-Nicolas à Angers et fait construire l'Abbaye du Ronceray (Angers).
Son fils Geoffroy Martel (Geoffroy II, 1006-1060) est comte d'Anjou de 1040 à 1060.
Reconstruite au XIIe siècle Angers est une ville active, peuplée de commerçants et de pêcheurs. S'y développent les activités minières (ardoisières) et agricoles (céréales, vigne, miel et élevage). Une école épiscopale (appartenant à l’évêque) voit le jour, et la cathédrale est reconstruite faisant d'Angers une capitale culturelle rayonnant dans toute la France.
C'est aussi au XIIe siècle que, pour occuper les terres du Val, une levée est créée dans la région de Saumur (grande levée d’Anjou). Ses terres riches en alluvions sont alors mises en valeur progressivement.
La dynastie des Plantagenêt
Au fil du XIIe siècle le comté d'Anjou va s'étendre sur les comtés voisins (Nantais, Maine, Mayenne), en devenant même une des plus grandes principautés françaises de l'époque. Sous la période d'Henri II, roi d'Angleterre et comte d'Anjou, l'Anjou réunit l'Angleterre, la Normandie, l'Aquitaine et la Bretagne. C'est la période de la dynastie des Plantagenêt qui initiera les rivalités avec l'Angleterre, et qui déclencheront 200 ans plus tard La Guerre de 100 ans (1346-1453).
À la mort d'Henri II, Philippe Auguste prend l'Anjou à Jean d'Angleterre (dit, Jean sans Terre) pour l'annexer au domaine des capétiens (bataille de La Roche aux Moines en 1214). S'en suit une période où la région est en proie à la dévastation par les guerres avec les Anglais. C'est au début du XIIIe siècle que le château d'Angers est fortifié dans sa forme actuelle par Blanche de Castille, alors régente du jeune Louis IX (Saint Louis), afin de contenir les Anglais et les Bretons.
Les ducs d'Anjou
À la fin du XIIIe siècle le comté d'Anjou est confisqué par les rois de France et transmis en apanage (concession de fief) aux cadets, donnant naissance à deux dynasties d'Anjou s'étendant en Europe (dont Charles Ier, comte d'Anjou, roi de Sicile, roi de Naples et roi de Hongrie).
L'Anjou fait partie des pays de grande gabelle et comprend seize tribunaux spéciaux ou greniers à sel : Angers, Baugé, Beaufort, Bourgueil, Candé, Château-Gontier, Cholet, Craon, La Flèche, Saint-Florent-le-Vieil, Ingrandes-sur-Loire, Le Lude, Pouancé, Saint-Rémy-la-Varenne, Richelieu et Saumur.
Au XIVe siècle débutent les activités minières dans la région de Chalonnes-sur-Loire.
Pendant la dynastie des ducs d'Anjou, aux XIVe et XVe siècles, a lieu une période favorable, malgré la Guerre de 100 ans et la peste noire. La Tapisserie de l'Apocalypse est tissée et de nombreux châteaux sont construits, comme celui de Saumur ou les Tours rondes de Brissac. L'université d'Angers est créée en 1364.
Les ducs successifs mènent des guerres à l'étranger tout en favorisant le développement de l'Anjou, dont ils font leur résidence principale.
Au milieu du XIVe siècle, Charles V donne l'Anjou à son frère Louis 1er d'Anjou (roi René, 1409-1480) et érige le comté d'Anjou en duché. Prince et poète, celui-ci marque très fortement de son empreinte la région. Il est l'architecte de nombreux édifices de la Renaissance, et, mécène et ami des artistes, il encourage les lettres et les arts.
À la fin du XVe siècle, Angers redevient une ville prospère, centrée sur la navigation de la Loire. La ville exporte de nombreux matériaux (toiles, tuffeau, vin, ardoise) et importe de la soierie ou des épices. L'âge culturel et artistique de la Renaissance s'inscrit pleinement en Anjou, et la ville connaît à cette époque un formidable élan de prospérité.
Ce n'est qu'en 1480, à la mort du roi René, que l'Anjou devient définitivement un territoire royal, sous l'égide de Louis XI, mettant un terme à la notion de comté ou de duché.
Guerres de religion
Le XVIe siècle est la grande époque historique de Saumur. Les idées nouvelles y sont favorablement accueillies par une bourgeoisie riche, à la tête d'un commerce actif.
Durant la fin du XVIe siècle, Angers, comme les villes du Mans, de Tours et de Saumur, est prise par les Protestants (1562). La répression est sévère et les catholiques prennent les armes. Le château d'Angers est pris et repris successivement par chacun des deux camps, et échappe de peu à la destruction. Ce n'est qu'en 1598, lors d'un séjour d'Henri IV sur la ville, que la pacification sera définitive.
Malgré les réalisations architecturales de l'époque (Hôtel Pincé, Logis Barrault, Maison d'Adam), l'Anjou entre alors dans une période de récession démographique et économique, suite aux famines, à la perte d'autonomie municipale et à la pression fiscale monarchique.
C'est à cette époque (XVIIe siècle) que les hollandais développent le commerce des vins du Layon et que croît l'industrie choletaise du textile.
La presse écrite régionale se développe en France. En 1773 parait le premier journal régional, Affiches d’Angers, puis en 1883 Le Petit Courrier.
Révolution et guerres de Vendée
Juste après la révolution de 1789, des récoltes très mauvaises sont à l'origine de quelques têtes coupées, dont le botaniste La Révellière-Lépeaux. S'ensuit le soulèvement des chouans et la guerre de Vendée qui plongent l'Anjou dans de graves troubles. La répression est terrible, des colonnes infernales faisant de très nombreuses victimes.
À cette époque la Vendée militaire est un territoire couvrant près de 14 000 km2, réparti sur quatre départements, le Nord de la Vendée et des Deux-Sèvres, la rive gauche de la Loire du Maine-et-Loire (jusqu'aux Ponts-de-Cé) et de la Loire-Atlantique.
Plusieurs batailles auront lieu entre les deux camps, dont les batailles de Cholet (mars 1793, octobre 1793, février 1794), de Jallais (mars 1793), de Chemillé (avril 1793), de Beaupréau (avril 1793, février 1794), de Doué (juin 1793), de Saumur (juin 1793), de Martigné-Briand (juillet 1793), de Vihiers (juillet 1793), de Gesté (février 1794), de Chaudron-en-Mauges (avril 1794), de Chalonnes (mars 1795).
Il faudra attendre 1800, pour qu'une paix soit définitive ; la pacification avec les chefs vendéens est signée à Montfaucon le 28 janvier 1800.
Succédant en partie à la province d'Anjou, c'est en 1790 que nait le département de Maine et Loire.
Le département de Maine-et-Loire
À la veille de la Révolution, le pays est divisé en une trentaine de provinces, et comprend trente-quatre généralités. L'Anjou, le Maine et la Touraine relèvent de la Généralité de Tours. En novembre 1789, leurs élus décident de la diviser en quatre départements : Maine-et-Loire, Sarthe, Mayenne et Indre-et-Loire. Les 14 et 22 décembre, apparaissent municipalités et départements. Le décret relatif à la nouvelle division administrative est voté et promulgué le 4 mars 1790. C'est ainsi que voit le jour le département de Maine-et-Loire, qui succède à la province d'Anjou. La première séance du conseil général se déroule le 28 juin.
Initialement le département est dénommé « Mayne et Loire », puis « Mayenne-et-Loire », et son chef-lieu se situe en alternance à Angers et à Saumur jusqu'en 1791, où Angers devient définitivement le chef-lieu du département. Le 12 décembre 1791, le nom du département change définitivement pour devenir « Maine-et-Loire ».
À sa création, ce sont huit districts qui sont mis en place à partir des principales villes de l'époque : Angers, Baugé, Châteauneuf-sur-Sarthe, Cholet, Saint-Florent-le-Vieil, Saumur, Segré et Vihiers.
En 1800, les districts sont remplacés par des arrondissements (loi du 28 pluviôse an VIII). Cinq arrondissements sont alors créés à partir du découpage régional du département : Angers, Baugé, Beaupréau, Saumur et Segré. En 1857 la sous-préfecture de Beaupréau est déplacée à Cholet, et en 1926 l'arrondissement de Baugé est supprimé.
Aujourd'hui le département compte quatre arrondissements, dont les sous-préfectures sont : Angers, Cholet, Saumur et Segré.
La révolution industrielle
Les bouleversements économiques et sociaux du XIXe siècle transforment la ville d'Angers. Sous l'influence des reconstructions haussmanniennes de Paris (travaux d'urbanisation), on met en place de grandes artères en centre-ville entre 1820 et 1880.
Les transports se développent. Longtemps barrière naturelle, à partir du milieu du XIXe siècle on construit des ponts pour franchir la Loire.
Le premier train arrive en Maine-et-Loire en 1849, avec l'ouverture de la ligne Tours - Angers, prolongée jusqu'à Nantes en 1851. Malgré un maillage important, l'ensemble des lignes laissent à l'écart nombre de territoires ruraux du département. Sous l'impulsion du conseil général, un réseau complémentaire est constitué et confié à la Compagnie des Chemins de fer d'Intérêt Local de l'Anjou (le Petit-Anjou) ; réseau qui sera actif jusque dans les années 1950.
Sur Angers, le tramway est mis en service en 1896 et perdurera jusqu'en 1949.
Les manufactures et industries prennent leur essor (Corderie du mail, usines Bessonneau, distillerie Cointreau, bassin ardoisier) et les pépinières se développent (pépinières André Leroy), donnant à la région son renom en horticulture qu'elle garde encore aujourd'hui.
Les productions minières se développent : mines d'ardoise à Trélazé et à Noyant-la-Gravoyère, mines de charbon à Ardenay, et mines de fer au nord du département à Nyoiseau. Les besoins de main d'œuvre étant importants aux ardoisières de Trélazé, de nombreux Bretons affluent entre 1850 et 1930 ; comme en 1911 où des Concarnois viennent pour travailler dans les puits. La production atteint son apogée cette même année, avec un volume de 1 800 000 tonnes.
On trouve aussi des sites de production de chaux dans l'est du département (Les Rairies, Mouliherne, Vernantes, Vernoil-le-Fourrier), dans le sud (Doué-la-Fontaine, Vihiers, Montreuil-Bellay) et en bord de Loire (Montjean-sur-Loire, Rochefort-sur-Loire, Chalonnes-sur-Loire, Saint-Aubin-de-Luigné).
À Cholet, filatures, tissages et blanchisseries marquent le paysage de la ville. À la fin du XIXe siècle, la mécanisation des tissages conduit le pays choletais à une reconversion dans le secteur de la chaussure, comme à Saint-Pierre-Montlimart où ÉRAM voit le jour en 1927.
Une catastrophe a lieu à Angers en 1850, avec l'effondrement du pont de la Basse Chaîne, sous le pas saccadé d'une garnison de soldats.
Un état des lieux du département est disponible grâce aux illustrations de la carte de Victor Levasseur et aux textes légendant les vignettes, ainsi qu'à plusieurs textes de l'époque.
Du XXe siècle à aujourd'hui
C'est au début du XXe siècle que l'Université d'Angers crée l'École supérieure d'agriculture d'Angers et l'École supérieure des sciences commerciales d'Angers (ESSCA), donnant à la ville un pôle important de formations.
En 1908, le pionnier de l'aviation René Gasnier effectue ses premiers vols dans les champs en contre-bas de la Corniche Angevine.
À la veille de la Première Guerre mondiale, le Maine-et-Loire reste un département rural, avec des centres urbains industrialisés. On y trouve les établissements Bessonneau à Angers, les Ardoisières et les Allumettes à Trélazé, une industrie du chapelet et du mousseux à Saumur, une industrie du textile, dont le mouchoir, à Cholet. Le département compte alors 500 000 habitants. Deux régiments sont basés en Anjou, le 77e et le 135e régiment d'infanterie.
Le 1er août 1914, c'est la mobilisation générale. 90 000 angevins partiront au front, et près de 20 000 y seront tués.
Jusqu'à la Seconde Guerre mondiale, peu de choses viennent troubler la quiétude de la région. En 1939, débute le nouveau conflit. De 1939 à 1940, alors que la Pologne a été envahie par les troupes allemandes, Angers accueille le gouvernement polonais en exil. À cette époque de nombreuses populations partent en exode, comme par exemple ces Belges venus en Anjou.
En juin 1940, les troupes allemandes progressent. Les 786 élèves officiers de réserve de l’école de cavalerie, rejoints par d'autres, résistent en défendant le passage de Loire à Saumur, comme ce sera aussi le cas aux Ponts-de-Cé et à Chalonnes-sur-Loire.
Angers se trouve dès lors dans la zone occupée contrôlée par les Allemands. Des groupes angevins de résistance se forment, comme le réseau Honneur et Patrie. Plus de 1 000 résistants angevins seront déportés durant le conflit.
Capitale régionale du gouvernement de Vichy, Angers devient aussi en 1941 une capitale provinciale de l'armée allemande. L'administration militaire allemande (Militärverwaltung) s'y installe et exerce son autorité sur dix-sept départements du grand ouest.
S'ajoutant aux bombardements du début du conflit, les ponts de la Loire sont détruits en 1944. Pouancé est la première ville du département libérée le 5 août 1944, par la 5e division d'infanterie américaine, suivie de Segré le 8, puis du Lion-d'Angers. Le 10, la ville d'Angers est à son tour libérée par les troupes du général Patton, passant la Maine au Pont de Pruniers.
C'est à cette époque que cesse la parution du Petit Courrier, pour être remplacé le 10 août 1944 par Le Courrier de l’Ouest.
S'ouvre alors l'époque de la reconstruction. Nombre d'Angevins sont en attendant hébergés dans des baraquements, comme au parc de la Haye.
Dans la seconde moitié du XXe siècle on assiste à une explosion démographique et économique sans précédant. En 1957, l'entreprise Thomson s'installe à Angers, suivie de Bull en 1962, puis de l'entreprise Michelin à Cholet. En 1966 c'est le début du développement agricole de la vallée de l'Authion. Et puis, issues de la présence ancienne d'une université, les activités du tertiaire se développent.
La culture n'est pas en reste : l'acquisition des Tapisseries de Jean Lurçat place la ville comme capitale de l'art textile avec celle de l'Apocalypse. C'est aussi à cette époque que sont créés de nouveaux quartiers (La Roseraie, Belle-Beille, Lac de Maine) et que les anciens sont réaménagés.
De nombreuses fusions de communes interviennent entre le 1er janvier 2013 et le 1er janvier 2017. Le département passe alors de 363 communes à 186.
Notes
À lire aussi
- • Les grandes dates de l'Anjou
- • Évènements contemporains
- • Le Maine-et-Loire au XIXe siècle
- • Morts pour la France
- • Liste des châteaux de Maine-et-Loire
- • Blason de Maine et Loire
- • Généalogie des Bourbon-Anjou
- • Christianisation de l'Anjou au 4e siècle
- • Économie de l'Anjou et de Maine-et-Loire
Sources, dont
- • Thierry Aubert-Poyvre, Le Maine-et-Loire autrefois, Éditions Horvath, 1990 (ISBN 2-71710-699-5)
- • Nicolas Delahaye, Histoire de l'Anjou, des origines à la veille de la Révolution, Éditions Pays et Terroirs, 2005 (ISBN 2-75160-065-4)
- • Jean Favier, Le Roi René, Fayard, 2008 (ISBN 2-21363-480-7)
- • Jacques Isolle, Églises et abbayes de l'Anjou, J. Delmas, 1969
- • Louis Maucourt, Tiercé - Frontière des appâtis et de la chouanerie, Imprimerie Paquereau Technographis, 1989 (ISBN 2-90783-103-8)
- • Jean-Louis Ormières, Histoire de l'Anjou, PUF coll. que sais-je, 1998 (ISBN 2-13048-831-5)
- • Célestin Port, Dictionnaire historique géographique et biographique de Maine-et-Loire, Lachèse, Belleuvre & Dolbeau, 1874-1878
- • Célestin Port, Dictionnaire historique géographique et biographique de Maine-et-Loire, Édition révisée de 1965 par Jacques Levron et Pierre d'Herbécourt, t. 1 (Angers)
- • Jean Sibenaler, Les premiers préfets de Maine-et-Loire - Naissance d'un département français, Éditions Cheminements, 2000 (ISBN 2-84478-015-6)
- • DRAC Pays de la Loire, Fours à chaux de Montjean-sur-Loire, coll. Reflets du Conseil général de Maine-et-Loire, 24 septembre 2003
- • Teddy Véron, L'intégration des Mauges à l'Anjou au XIe siècle, Pulim, 2007 (ISBN 2-84287-433-9)
- • P.Wagret J.Boussard J.Levron S. Mailliard-Bourdillon, Visages de l'Anjou, Horizons de France, 1951
- • Le Courrier de l'Ouest, 90 000 Angevins au front, 25 juillet 2014
- • Autres ouvrages à consulter
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