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'''Saint-Germain-sous-Daumeray''' est une ancienne commune de [[Maine-et-Loire]] (49).


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'''Saint-Germain-sous-Daumeray''' est une ancienne commune de [[Maine-et-Loire]] (49), située en limite du département de la Sarthe. Elle est absorbée à la fin du {{XVIIIs}} par celle de [[Daumeray]].




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== Généralités ==
La commune n'eut qu'une existence éphémère. Elle est rattaché à Daumeray dès [[1791]]<ref name="cport-1996">Célestin Port (révisé par André Sarazin et Pascal Tellier), ''Dictionnaire historique, géographique et biographique de Maine-et-Loire et de l'ancienne province d'Anjou'', {{t.|IV}} (S-Z), H. Siraudeau & Cie (Angers), 1996, 2e éd. (1re éd. 1878), {{p.|88-89}}</ref>.
 
La [[Glossaire#P|paroisse]] est constituée au {{XIs}}. L' église, à nef unique, menaçant ruine au {{XVIIIe}}, est restaurée un peu plus tard sur les plans de l'architecte Simon, en particulier la charpente lambrissée sur la nef<ref>Ministère de la Culture, ''Ancienne église paroissiale Saint-Germain (PA49000034)'', 2003-2022</ref>. Le fief appartient au {{XVs}} à Jacques de Surgères, puis aux seigneurs de Rais et de Craon. La terre, qualifiée de baronnie, donne la seigneurie des deux paroisses de Daumeray<ref>André Joubert, ''Histoire de la baronnie de Craon de 1382 à 1626'', Germain et G. Grassin libr.-édit. (Angers)p. 73</ref>.
 
Éléments du patrimoine : petit hameau pittoresque, avec l'ancienne église paroissiale Saint-Germain (inscrite MH), des {{XIVe}}, {{XVIIe}} et {{XVIIIs}}s, et le logis de Bellefontaine, des {{XVIe}} et {{XVIIIs}}s<ref>Ministère de la Culture, ''Base Mérimée (Daumeray)'', 2012</ref>{{,}}<ref name="cport-1996" />.
 
Le hameau est aujourd'hui identifié sur les cartes sous le nom de Saint-Germain-de-Daumeray<ref>Institut national de l'information géographique et forestière, ''Géoportail plan IGN Saint-Germain de Daumeray'', juin 2023</ref>{{,}}<ref>OpenStreetMap, ''Saint-Germain-de-Daumeray'', juin 2023</ref>.
 
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== Célestin Port (1878) ==
<!-- Reproduction du texte de Célestin Port. Ne peut être modifié. -->
Saint-Germain-sous-Daumeray dans le [[dictionnaire Célestin Port]] de 1878<ref>Célestin Port, ''Dictionnaire historique géographique et biographique de Maine-et-Loire'', t. 3 (N-Z), Lachèse & Dolbeau, Libraires (Angers), 1878, pages 385 et 386</ref> :
 
{{citation|
'''Saint-Germain-sous-Daumeray''', bourg,
{{cne}} de Daumeray. — ''Parochia sancti Germani''
1063 (H Pr. de Daumeray, ch. or. 9). —
''Ecclesia sancti Germani'' 1080 {{abréviation|circa|environ}} ({{abréviation|Ib.|ibidem, référence précédente}}, ch. 15).
— ''St-Germain près Daumeray'' 1468 (G 10).
— ''Les baronnies de St-Germain de Rais''
''et Craon'' 1628 (Et.-C.). — ''La baronnie de St-Germain''
''de Rais et Craon'' 1666, ''les baronnies''
''de St-Germain'' 1685, 1758, ''les baronnies''
''de St-Germain'', ''Rais et Craon'' 1700, 1766
(Ibid.). — ''St-Germain de Daumeray'' 1775
(C 26). — ''St-G. lez Durtal'' 1781 (Carte Delisle).
— ''St-G. près Daumeray'' 1685 (Pouillé Mss.),
1783 (Pouillé). — ''St-G. sous Daumeray'' 1783
(Table du Pouillé), 1786 (Almanach). — Anc. fief
dont est sieur en 1455, 1459 Jacq. de Surgères, —
plus tard aux seigneurs de Rais ou Retz et de
Craon, comme le rappellent ses surnoms, — puis
aux Rohan dès le XVI{{e}} s., notamment à l’évêque
d’Angers de ce nom (1504-1552). Jules-Hercules de
Rohan le vendit par acte du 15 juin 1762, pour
la somme de 20,000 livres, à Charles Richer de
Neuville, qui mourut le 6 mai 1766 en son château
de la Roche-Jacquelein, V. ce mot, en
laissant pour héritière sa sœur, mariée à Franç.
Lejeune de la Furjonnière. — En est seigneur en
1789 Franç.-Louis-Marin Lejeune, qui s’intitule
comte de Daumeray.
 
La terre de St-Germain relevait de Sablé. Elle
était qualifiée de baronnie et donnait la seigneurie
des deux paroisses de Daumeray : — St-Martin,
dont le bourg principal restait le domaine propre
et privilégié des moines de Marmoutier, — et St-Germain
dont le bourg était devenu tout seigneurial,
quoique d’origine presque identique.
 
On y trouve une paroisse, constituée dès le milieu
du XI{{e}} s. L’église appartenait à Marcoard
de Daumeray qui, blessé d’un coup d’épée, fut
guéri par les moines de Marmoutier qu’il avait pourtant
souvent offensés. Touché de reconnaissance, il
la leur donna tout entière, construction et revenus,
''casam et altare'', mais elle sortit de bonne heure
de la main des moines, retirée peut-être par le seigneur-évèque
de Rohan, pour en gratifier son Chapitre.
La présentation depuis au moins le XVI{{e}} s.
en appartenait an grand-archidiacre de l’église
d’Angers. Elle resta desservie jusqu’à la Révolution.
 
Curés : Et. Dubreil, 1467, qui permute. —
Laurent Leboucher, chapelain de St-Jean-sur-Erve,
avril 1468. — Mic. Juffé, 1541. — René
Bertrand, 1565. — Jean Bertrand, chanoine
de St-Maurice, qui affermait la cure à des desservants,
1575. Son testament est du 26 février
1580. — Pierre Drouart, 1580, † le 1{{er}} avril
1589. — Jean Houesnard, 1610, 1614. — Anselme
Juffé, 1632, qui résigne en 1654 et meurt
le 22 septembre 1666. — Anselme Gabeau, octobre
1654, † le 12 novembre 1688. — Pierre Gabeau,
ancien vicaire, 14 novembre 1688, inhumé
le 29 octobre 1705, âgé de 42 ans, dans le grand
cimetière, « ès sépultures d’Anselme Juffé et
d’Anselme Gabeau, ses oncles. » — Gab. Gasnier,
décembre 1705, qui résigne en septembre
1747 et meurt le 19 mai 1753, âgé de 85 ans. —
Pierre Bourdon, ancien vicaire, septembre 1747,
† le 1{{er}} sept. 1774, âgé de 58 ans. — Jacq.-Stanislas
Lefebvre, novembre 1774, qui refuse le serment,
est détenu au Séminaire d’Angers et périt, dit-on,
dans une noyade à Nantes ou à Montjean.
 
Il avait dès ses premiers mois de règne requis
la reconstruction sur un terrain plus élevé de
l’église qui menaçait ruine. L’adjudication en fut
donnée le 13 décembre 1775 à Pierre Jousseaume
mais annulée pour l’insuffisance du devis, qui
fut dressé à nouveau le 6 mars 1779, avec plans,
par Simon, architecte du collège de la Flèche. La
première pierre des constructions, placée dans
l’angle du côté gauche de la porte, fut bénite le
31 juillet 1786, et l’œuvre terminée le 14 mai 1787 ;
mais l’entreprise avait été de beaucoup réduite
et l’église primitive n’a pas été rasée, comme l’entendait
le projet. — La nef, seule avec son portail,
date de ces travaux, mais le chœur, plus
étroit, soutenu extérieurement par de nombreux
contreforts à deux étages, remonte au XIV{{e}} s.
L’intérieur reste absolument nu, décoré seulement
d’autels modernes dans la nef ; celui du chœur,
dont le fond est rempli par une ''Résurrection''
''de Jésus-Christ'', d’après Raphaël, copie signée
J. Carpantier, 1788, est en tuffeau taillé de
gracieuses moulures et de guirlandes de feuillages.
Il a été construit de fond en comble en 1629, aux
frais de Renée Germain, veuve de Michel Guéhéry,
sieur de la Bourelière, qui fit don du tabernacle
doré encore existant, comme l’indique l’épitaphe de
la bienfaitrice dans le mur oriental de la nef. A côté
se lisent celles d’Espérance Monteul, épouse d’Et.
Nail, 1636, de Catherine Legrand, femme de Gilles
Delahaye, 1626, de Claude Madré, veuve de n. h.
Claude Legouz, sieur de la Coste et de Cordelfol,
1648, — et une donation de G. Delahaye, 1631 ;
ces cinq inscriptions gravées sur pierre sont inédites,
mais sans autre intérêt. — L’ancienne
cure, à droite derrière l’église, contenait, contient
peut-être encore des portraits d’anciens curés. —
Derrière l’église même se trouve le château de
Bellefontaine, V. ce mot.
 
La paroisse fut un instant érigée en commune
et avait pour maire en 1790 Jacq. Tonnelier. La
commune presque aussitôt supprimée, la succursale
à son tour fut réunie par ordonnance épiscopale
du 20 février 1809 à Daumeray ; mais elle
a été rétablie par une ordonnance nouvelle du
19 juillet 1826. Le cimetière, vendu {{natt}} a été
racheté en 1840 par une collecte volontaire des
habitants, sans intention de le faire servir aux
inhumations, mais par respect pour leurs morts.
 
<small>Arch. de M.-et-L. C 26 ; H Marmoutier, Daumeray, — Minutes Vallin, à Seiches. — Arch. comm. Et.-C.</small>
}}
 
== Notes ==
{{Références}}
: Voir aussi [[Saint-Germain (homonymie)]].
 
 
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[[Catégorie:Ancienne commune]]
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Dernière version du 29 avril 2025 à 16:51

Saint-Germain-sous-Daumeray
(ancienne commune)
Département Maine-et-Loire
Territoire Baugeois
Commune Daumeray
Note(s) Absorbée en 1791
Situation dans le département

Situer sur OpenStreetmap

Aide à la rédaction.
Anciennes communes

Saint-Germain-sous-Daumeray est une ancienne commune de Maine-et-Loire (49), située en limite du département de la Sarthe. Elle est absorbée à la fin du XVIIIe siècle par celle de Daumeray.


Généralités

La commune n'eut qu'une existence éphémère. Elle est rattaché à Daumeray dès 1791[1].

La paroisse est constituée au XIe siècle. L' église, à nef unique, menaçant ruine au XVIIIe, est restaurée un peu plus tard sur les plans de l'architecte Simon, en particulier la charpente lambrissée sur la nef[2]. Le fief appartient au XVe siècle à Jacques de Surgères, puis aux seigneurs de Rais et de Craon. La terre, qualifiée de baronnie, donne la seigneurie des deux paroisses de Daumeray[3].

Éléments du patrimoine : petit hameau pittoresque, avec l'ancienne église paroissiale Saint-Germain (inscrite MH), des XIVe, XVIIe et XVIIIe siècles, et le logis de Bellefontaine, des XVIe et XVIIIe siècles[4],[1].

Le hameau est aujourd'hui identifié sur les cartes sous le nom de Saint-Germain-de-Daumeray[5],[6].

Photographie de l'église.

Célestin Port (1878)

Saint-Germain-sous-Daumeray dans le dictionnaire Célestin Port de 1878[7] :

« Saint-Germain-sous-Daumeray, bourg, cne de Daumeray. — Parochia sancti Germani 1063 (H Pr. de Daumeray, ch. or. 9). — Ecclesia sancti Germani 1080 circa (Ib., ch. 15). — St-Germain près Daumeray 1468 (G 10). — Les baronnies de St-Germain de Rais et Craon 1628 (Et.-C.). — La baronnie de St-Germain de Rais et Craon 1666, les baronnies de St-Germain 1685, 1758, les baronnies de St-Germain, Rais et Craon 1700, 1766 (Ibid.). — St-Germain de Daumeray 1775 (C 26). — St-G. lez Durtal 1781 (Carte Delisle). — St-G. près Daumeray 1685 (Pouillé Mss.), 1783 (Pouillé). — St-G. sous Daumeray 1783 (Table du Pouillé), 1786 (Almanach). — Anc. fief dont est sieur en 1455, 1459 Jacq. de Surgères, — plus tard aux seigneurs de Rais ou Retz et de Craon, comme le rappellent ses surnoms, — puis aux Rohan dès le XVIe s., notamment à l’évêque d’Angers de ce nom (1504-1552). Jules-Hercules de Rohan le vendit par acte du 15 juin 1762, pour la somme de 20,000 livres, à Charles Richer de Neuville, qui mourut le 6 mai 1766 en son château de la Roche-Jacquelein, V. ce mot, en laissant pour héritière sa sœur, mariée à Franç. Lejeune de la Furjonnière. — En est seigneur en 1789 Franç.-Louis-Marin Lejeune, qui s’intitule comte de Daumeray.

La terre de St-Germain relevait de Sablé. Elle était qualifiée de baronnie et donnait la seigneurie des deux paroisses de Daumeray : — St-Martin, dont le bourg principal restait le domaine propre et privilégié des moines de Marmoutier, — et St-Germain dont le bourg était devenu tout seigneurial, quoique d’origine presque identique.

On y trouve une paroisse, constituée dès le milieu du XIe s. L’église appartenait à Marcoard de Daumeray qui, blessé d’un coup d’épée, fut guéri par les moines de Marmoutier qu’il avait pourtant souvent offensés. Touché de reconnaissance, il la leur donna tout entière, construction et revenus, casam et altare, mais elle sortit de bonne heure de la main des moines, retirée peut-être par le seigneur-évèque de Rohan, pour en gratifier son Chapitre. La présentation depuis au moins le XVIe s. en appartenait an grand-archidiacre de l’église d’Angers. Elle resta desservie jusqu’à la Révolution.

Curés : Et. Dubreil, 1467, qui permute. — Laurent Leboucher, chapelain de St-Jean-sur-Erve, avril 1468. — Mic. Juffé, 1541. — René Bertrand, 1565. — Jean Bertrand, chanoine de St-Maurice, qui affermait la cure à des desservants, 1575. Son testament est du 26 février 1580. — Pierre Drouart, 1580, † le 1er avril 1589. — Jean Houesnard, 1610, 1614. — Anselme Juffé, 1632, qui résigne en 1654 et meurt le 22 septembre 1666. — Anselme Gabeau, octobre 1654, † le 12 novembre 1688. — Pierre Gabeau, ancien vicaire, 14 novembre 1688, inhumé le 29 octobre 1705, âgé de 42 ans, dans le grand cimetière, « ès sépultures d’Anselme Juffé et d’Anselme Gabeau, ses oncles. » — Gab. Gasnier, décembre 1705, qui résigne en septembre 1747 et meurt le 19 mai 1753, âgé de 85 ans. — Pierre Bourdon, ancien vicaire, septembre 1747, † le 1er sept. 1774, âgé de 58 ans. — Jacq.-Stanislas Lefebvre, novembre 1774, qui refuse le serment, est détenu au Séminaire d’Angers et périt, dit-on, dans une noyade à Nantes ou à Montjean.

Il avait dès ses premiers mois de règne requis la reconstruction sur un terrain plus élevé de l’église qui menaçait ruine. L’adjudication en fut donnée le 13 décembre 1775 à Pierre Jousseaume mais annulée pour l’insuffisance du devis, qui fut dressé à nouveau le 6 mars 1779, avec plans, par Simon, architecte du collège de la Flèche. La première pierre des constructions, placée dans l’angle du côté gauche de la porte, fut bénite le 31 juillet 1786, et l’œuvre terminée le 14 mai 1787 ; mais l’entreprise avait été de beaucoup réduite et l’église primitive n’a pas été rasée, comme l’entendait le projet. — La nef, seule avec son portail, date de ces travaux, mais le chœur, plus étroit, soutenu extérieurement par de nombreux contreforts à deux étages, remonte au XIVe s. L’intérieur reste absolument nu, décoré seulement d’autels modernes dans la nef ; celui du chœur, dont le fond est rempli par une Résurrection de Jésus-Christ, d’après Raphaël, copie signée J. Carpantier, 1788, est en tuffeau taillé de gracieuses moulures et de guirlandes de feuillages. Il a été construit de fond en comble en 1629, aux frais de Renée Germain, veuve de Michel Guéhéry, sieur de la Bourelière, qui fit don du tabernacle doré encore existant, comme l’indique l’épitaphe de la bienfaitrice dans le mur oriental de la nef. A côté se lisent celles d’Espérance Monteul, épouse d’Et. Nail, 1636, de Catherine Legrand, femme de Gilles Delahaye, 1626, de Claude Madré, veuve de n. h. Claude Legouz, sieur de la Coste et de Cordelfol, 1648, — et une donation de G. Delahaye, 1631 ; ces cinq inscriptions gravées sur pierre sont inédites, mais sans autre intérêt. — L’ancienne cure, à droite derrière l’église, contenait, contient peut-être encore des portraits d’anciens curés. — Derrière l’église même se trouve le château de Bellefontaine, V. ce mot.

La paroisse fut un instant érigée en commune et avait pour maire en 1790 Jacq. Tonnelier. La commune presque aussitôt supprimée, la succursale à son tour fut réunie par ordonnance épiscopale du 20 février 1809 à Daumeray ; mais elle a été rétablie par une ordonnance nouvelle du 19 juillet 1826. Le cimetière, vendu natt a été racheté en 1840 par une collecte volontaire des habitants, sans intention de le faire servir aux inhumations, mais par respect pour leurs morts.

Arch. de M.-et-L. C 26 ; H Marmoutier, Daumeray, — Minutes Vallin, à Seiches. — Arch. comm. Et.-C. »

Notes

  1. a et b Célestin Port (révisé par André Sarazin et Pascal Tellier), Dictionnaire historique, géographique et biographique de Maine-et-Loire et de l'ancienne province d'Anjou, t. IV (S-Z), H. Siraudeau & Cie (Angers), 1996, 2e éd. (1re éd. 1878), p. 88-89
  2. Ministère de la Culture, Ancienne église paroissiale Saint-Germain (PA49000034), 2003-2022
  3. André Joubert, Histoire de la baronnie de Craon de 1382 à 1626, Germain et G. Grassin libr.-édit. (Angers)p. 73
  4. Ministère de la Culture, Base Mérimée (Daumeray), 2012
  5. Institut national de l'information géographique et forestière, Géoportail plan IGN Saint-Germain de Daumeray, juin 2023
  6. OpenStreetMap, Saint-Germain-de-Daumeray, juin 2023
  7. Célestin Port, Dictionnaire historique géographique et biographique de Maine-et-Loire, t. 3 (N-Z), Lachèse & Dolbeau, Libraires (Angers), 1878, pages 385 et 386
Voir aussi Saint-Germain (homonymie).