Aller au contenu

« Edgard Pisani » : différence entre les versions

m
mAucun résumé des modifications
Ligne 8 : Ligne 8 :
Conseiller général du [[canton de Montreuil-Bellay]] en [[Maine-et-Loire]] de 1964 à 1965, il est maire de [[Montreuil-Bellay]] de 1965 à 1975.  
Conseiller général du [[canton de Montreuil-Bellay]] en [[Maine-et-Loire]] de 1964 à 1965, il est maire de [[Montreuil-Bellay]] de 1965 à 1975.  


Fondateur du Mouvement pour la réforme (MPR, gaulliste de gauche), il siège à l'Assemblée nationale en 1967 comme député UD-Ve République de la première circonscription de Maine-et-Loire puis au Sénat de 1974 à 1981, comme sénateur socialiste de la Haute-Marne. Il est chargé de représenter la France à la Commission de Bruxelles, après mai 1981. Il y restera deux années.
Fondateur du Mouvement pour la réforme (MPR, gaulliste de gauche), il siège à l'Assemblée nationale en 1967 comme député UD-Ve République de la première circonscription du [[Maine-et-Loire]] puis au Sénat de 1974 à 1981, comme sénateur socialiste de la Haute-Marne. Il est chargé de représenter la France à la Commission de Bruxelles, après mai 1981. Il y restera deux années.
Haut-commissaire de la République en Nouvelle-Calédonie en 1984 et 1985 en pleine période d'affrontements violents entre partisans et opposants de l'indépendance (appelée période des « Événements »), il propose notamment un projet d'indépendance-association vite rejeté par les deux camps puis contribue à l'élaboration, avec le Premier ministre Laurent Fabius, du statut « Fabius - Pisani » qui sépare notamment la Nouvelle-Calédonie en quatre circonscriptions et prévoit la tenue d'un référendum d'autodétermination. Il est chargé de mission auprès du Président de la République française de 1986 à 1992.
Haut-commissaire de la République en Nouvelle-Calédonie en 1984 et 1985 en pleine période d'affrontements violents entre partisans et opposants de l'indépendance (appelée période des « Événements »), il propose notamment un projet d'indépendance-association vite rejeté par les deux camps puis contribue à l'élaboration, avec le Premier ministre Laurent Fabius, du statut « Fabius - Pisani » qui sépare notamment la Nouvelle-Calédonie en quatre circonscriptions et prévoit la tenue d'un référendum d'autodétermination. Il est chargé de mission auprès du Président de la République française de 1986 à 1992.
Il préside l'Institut du monde arabe de 1988 à 1995 et entre au Conseil économique et social en 1992.
Il préside l'Institut du monde arabe de 1988 à 1995 et entre au Conseil économique et social en 1992.
526

modifications