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(Bull Angers)
 
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== Activité ==
== Activité ==
La production électronique de Bull est limitée dans les années 1950 aux ateliers du siège parisien, puis provisoirement de Saint-Ouen en 1959, jusqu'à l'installation de la grande usine d'Angers<ref>Pierre-E. Mounier-Kuhn, ''Un exportateur dynamique mais vulnérable : les machines Bull (1948-1964)'', dans ''Histoire, économie et société'' (Armand Collin), 1995, 14ᵉ année, n° 4, p. 643-665</ref>. L'histoire du site de Bull à Angers commence avec l'implantation entre 1960 et [[1962]] d'une unité du groupe, d'abord dans des ateliers provisoires puis dans une usine de production située avenue Patton<ref name="of-16avil2024">Le Courrier de l'Ouest (S.B.), ''En 1960, Bull, fleuron de la décentralisation industrielle s'installe à Angers'', 16 avril 2024</ref>, dans le quartier de [[Angers - Belle Beille|Belle-Beille]] qui affirme sa vocation économique<ref>Archives patrimoniales de la ville d'Angers (Mairie d'Angers), ''Angers en dates : 1945-1962'' par Sylvain Bertoldi, 2018-2024</ref>{{,}}<ref>Mairie d'Angers, ''Belle-Beille : Histoire du quartier'', 2017-2024</ref>.
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L'activité du site angevin s'oriente ensuite vers la cybersécurité et les supercalculateurs. Bull Angers devient l'entité industrielle et logistique du Groupe Bull. C'est alors le constructeur de la gamme des serveurs NovaScale, le constructeur des mainframes GCOS, l'intégrateur des clusters AIX Escala et le distributeur des produits IA32, Express 5800. Le site de {{unité|10000|m|2}} de plates-formes techniques emploie {{unité|330|personnes}}<ref>Groupe Bull, ''Bull Angers, l'entité industrielle et logistique du Groupe Bull'', 23 février 2011</ref>{{,}}<ref name="le-26mai2014" />.
L'activité du site angevin s'oriente après vers la cybersécurité et les {{abréviation|supercalculateurs|superordinateurs ou supercalculateurs, à hautes performances techniques}}. Bull Angers devient l'entité industrielle et logistique du Groupe Bull. C'est alors le constructeur de la gamme des serveurs NovaScale, le constructeur des mainframes GCOS, l'intégrateur des clusters AIX Escala et le distributeur des produits IA32, Express 5800. Le site compte alors {{unité|10000|m|2}} de plates-formes techniques et emploie {{unité|330|personnes}}<ref>Groupe Bull, ''Bull Angers, l'entité industrielle et logistique du Groupe Bull'', 23 février 2011</ref>{{,}}<ref name="le-26mai2014" />.


En 2014, le constructeur annonce les briques de base de ce qui sera l'architecture de ses supercalculateurs conçus pour atteindre une puissance de 1000 petaflops<ref>L'Usine Digitale (Thierry Lucas), ''Bull promet des supercalculateurs 1000 fois plus puissants'', 18 novembre 2014</ref>.
En 2014, le constructeur annonce les briques de base de ce qui sera l'architecture de ses supercalculateurs conçus pour atteindre une puissance de 1000 {{abréviation|petaflops|unité de mesure de la rapidité de calcul}}<ref>L'Usine Digitale (Thierry Lucas), ''Bull promet des supercalculateurs 1000 fois plus puissants'', 18 novembre 2014</ref>.


== Actionnaires ==
== Actionnaires ==
Plusieurs actionnaires se succèdent, comme General Electric (Bull-General Electric), Honeywell (CII-Honeywell Bull) en 1970 et l'État français de 1982 à 1997. La société, nationalisée en 1983, est progressivement privatisée à partir de 1994. L'activité des cartes à puce est vendue à Schlumberger. La fabrication de cartes électroniques est confiée à l'américain ACT Manufacturing, qui abouti au licenciement en 2002 de {{unité|660|personnes}}<ref name="of-16sept2019">Ouest-France (Jean-Philippe Nicoleau), ''Industrie. Bull, l'histoire d'une renaissance à Angers'', 16 septembre 2019</ref>{{,}}<ref>Le Monde, ''Act Manufacturing : poursuite de l'occupation des locaux de l'usine d'Angers'', 31 décembre 2002</ref>{{,}}<ref name="le-26mai2014">Les Échos (Solveig Godeluck), ''Bull, un emblème national maintes fois revenu d'entre les morts'', 26 mai 2014</ref>.  
Plusieurs actionnaires se succèdent, comme General Electric (Bull-General Electric), Honeywell (CII-Honeywell Bull) en 1970 et l'État français de 1982 à 1997. La société, nationalisée en 1983, est progressivement privatisée à partir de 1994. L'activité des cartes à puce est vendue à Schlumberger. La fabrication de cartes électroniques est confiée à l'américain ACT Manufacturing, qui abouti au licenciement en 2002 de {{unité|660|personnes}}<ref name="of-16sept2019">Ouest-France (Jean-Philippe Nicoleau), ''Industrie. Bull, l'histoire d'une renaissance à Angers'', 16 septembre 2019</ref>{{,}}<ref>Le Monde, ''Act Manufacturing : poursuite de l'occupation des locaux de l'usine d'Angers'', 31 décembre 2002</ref>{{,}}<ref name="le-26mai2014">Les Échos (Solveig Godeluck), ''Bull, un emblème national maintes fois revenu d'entre les morts'', 26 mai 2014</ref>.  


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== Témoignages ==
== Témoignages ==
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:• [[Artus Meggitt Avrillé|Artus Meggitt]]
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:• [[Armoires Grolleau|Grolleau]]
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:• [[Établissements Bessonneau|Bessonneau]]
:• [[Établissements Bessonneau|Bessonneau]]



Dernière version du 20 mars 2025 à 16:18

Bull Anjou
Logo.
Société Bull
Localisation Angers
(Maine-et-Loire, France)
Secteur informatique
Créée en 1962 (fin en 2014)
Notes Groupe Bull
Entreprises de Maine-et-Loire.
Entreprises angevines
Les plus grandes
Secteurs d'activités
Aide à la rédaction

Bull Angers était un site industriel et logistique de l'informatique professionnelle implanté à Angers, en Maine-et-Loire. Il comptait 3 500 personnes au début des années 1980.


Activité

La production électronique de Bull est limitée dans les années 1950 aux ateliers du siège parisien, puis provisoirement de Saint-Ouen en 1959, jusqu'à l'installation de la grande usine d'Angers[1]. L'histoire du site de Bull à Angers commence avec l'implantation entre 1960 et 1962 d'une unité du groupe, d'abord dans des ateliers provisoires puis dans une usine de production située avenue Patton. L'implantation en 1956 des établissements Thomson correspond à un certain regroupement de l'électronique dans l'Ouest, dont Bull a apprécié l'exemple et la réussite[2], dans le quartier de Belle-Beille qui affirme sa vocation économique[3],[4],[5].

L'inauguration de cette dixième usine de la Compagnie des Machines Bull a lieu en mai de l'année suivante par le ministre de la Recherche scientifique Gaston Palewski, dont l'unité est dédiée à la mécanographie et à la production de calculatrices électroniques. Elle emploie un peu moins de 900 personnes[2],[6],[7],[8]. Le 10 mai 1963, Le Courrier de l'Ouest écrit : « L'Anjou, première province française de l'électronique ». L'agglomération d'Angers est alors au premier rang des régions françaises de l'industrie électronique[6]. Thomson y représente le secteur des « biens d'expression » par la fabrication de récepteurs de télévision tandis que Bull fabrique des biens d'équipement comme des ordinateurs[5].

La seule usine d'Angers, entièrement consacrée aux productions électroniques, couvre ensuite 68 000 m2[9]. Le premier ordinateur de la marque tricolore Bull, le Level 64, y est produit en 1973[10]. Le site, 25 ans après sa création, est le plus grand centre européen de construction d'ordinateurs[9].

L'activité du site angevin s'oriente après vers la cybersécurité et les supercalculateurs. Bull Angers devient l'entité industrielle et logistique du Groupe Bull. C'est alors le constructeur de la gamme des serveurs NovaScale, le constructeur des mainframes GCOS, l'intégrateur des clusters AIX Escala et le distributeur des produits IA32, Express 5800. Le site compte alors 10 000 m2 de plates-formes techniques et emploie 330 personnes[11],[12].

En 2014, le constructeur annonce les briques de base de ce qui sera l'architecture de ses supercalculateurs conçus pour atteindre une puissance de 1000 petaflops[13].

Actionnaires

Plusieurs actionnaires se succèdent, comme General Electric (Bull-General Electric), Honeywell (CII-Honeywell Bull) en 1970 et l'État français de 1982 à 1997. La société, nationalisée en 1983, est progressivement privatisée à partir de 1994. L'activité des cartes à puce est vendue à Schlumberger. La fabrication de cartes électroniques est confiée à l'américain ACT Manufacturing, qui abouti au licenciement en 2002 de 660 personnes[14],[15],[12].

De 3 500 au début des années 1980, les effectifs de l'usine angevine tombent à 230 en 2014. Cette année là, Atos reprend le site dont les unités de production développe un supercalculateur[14],[16]. L'entreprise de services du numérique annonce créer une usine de supercalculateurs dans l'ex-friche Bull d'Angers sous le nom d'Eviden[17],[10],[18].

Témoignages

Picto crayon. Vous avez travaillé dans cette entreprise ? Alors, racontez nous vos souvenirs…

Notes

Sur le même sujet

Artus Meggitt
Grolleau
Thomson
Bessonneau

Sources et annotations

  1. Pierre-E. Mounier-Kuhn, Un exportateur dynamique mais vulnérable : les machines Bull (1948-1964), dans Histoire, économie et société (Armand Collin), 1995, 14ᵉ année, n° 4, p. 643-665
  2. a et b Le Courrier de l'Ouest (S.B.), En 1960, Bull, fleuron de la décentralisation industrielle s'installe à Angers, 16 avril 2024
  3. Archives patrimoniales de la ville d'Angers (Mairie d'Angers), Angers en dates : 1945-1962 par Sylvain Bertoldi, 2018-2024
  4. Mairie d'Angers, Belle-Beille : Histoire du quartier, 2017-2024
  5. a et b Raymond Lazzarotti, L'industrialisation récente de l'agglomération d'Angers. Un aménagement volontaire nécessaire dans l'activité professionnelle angevine, dans Cahiers du Centre nantais de recherche pour l'aménagement régional, n° 7, 1973, La dynamisation des villes, p. 121-142
  6. a et b Archives de la ville d'Angers (Sylvain Bertoldi), Chroniques historiques : L'électronique à Angers : naissance d'une vocation, dans Vivre à Angers n° 410, octobre 2017
  7. Le Monde (J.-L. Lavallard), Inauguration à Angers d'une nouvelle usine spécialisée dans la construction des machines électroniques de gestion, 13 mai 1963
  8. Ouest-France, Angers. Comment l'usine Bull réussit à vaincre la crise, 22 mars 2013
  9. a et b Pierre E. Mounier-Kuhn, L'histoire de Bull, 1990-2005
  10. a et b Le Monde (Yves Tréca-Durand), L'avenir d'Atos se calcule en pointillé à Angers, 12 avril 2024
  11. Groupe Bull, Bull Angers, l'entité industrielle et logistique du Groupe Bull, 23 février 2011
  12. a et b Les Échos (Solveig Godeluck), Bull, un emblème national maintes fois revenu d'entre les morts, 26 mai 2014
  13. L'Usine Digitale (Thierry Lucas), Bull promet des supercalculateurs 1000 fois plus puissants, 18 novembre 2014
  14. a et b Ouest-France (Jean-Philippe Nicoleau), Industrie. Bull, l'histoire d'une renaissance à Angers, 16 septembre 2019
  15. Le Monde, Act Manufacturing : poursuite de l'occupation des locaux de l'usine d'Angers, 31 décembre 2002
  16. Le Courrier de l'Ouest, Angers. Bull racheté par le groupe Atos, sans "plan social prévu", 27 mai 2014
  17. Ouest-France (François Chrétien), Malgré la crise, Atos construira son usine de supercalculateurs à Angers, 2 septembre 2023
  18. Le Monde Informatique (Jacques Cheminat), Eviden se dote d'un système quantique IQM à Angers, 9 Octobre 2024