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(Alexandre Abellard)
 
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Alexandre Eugène Abellard naît au bourg de [[Mûrs]] (Mûrs-Erigné) le 20 mai 1871<ref name="geneanet">Dominique Gaudichet, ''Généalogie de Dominique Gaudichet - Alexandre Eugène Abellard - Fiche'', publié sur [https://gw.geneanet.org/gaudichet?lang=fr&iz=0&p=alexandre+eugene&n=abellard Geneanet], consulté le 12 mai 2018</ref>. Il devient horloger-bijoutier à [[Saint-Georges-sur-Loire]] et pratique la photographie en plus de son activité<ref name="fabellard">fabellard, ''Les photos d'Alexandre Abellard'', publié sur [http://photosdalexandre.canalblog.com/ CanalBlog], 2012-2017 (consulté le 12 mai 2018)</ref>.
Alexandre Eugène Abellard naît au bourg de [[Mûrs]] (Mûrs-Erigné) le 20 mai 1871<ref name="geneanet">Dominique Gaudichet, ''Généalogie de Dominique Gaudichet - Alexandre Eugène Abellard - Fiche'', publié sur [https://gw.geneanet.org/gaudichet?lang=fr&iz=0&p=alexandre+eugene&n=abellard Geneanet], consulté le 12 mai 2018</ref>. Il devient horloger-bijoutier à [[Saint-Georges-sur-Loire]] et pratique la photographie en plus de son activité<ref name="fabellard">fabellard, ''Les photos d'Alexandre Abellard'', publié sur [http://photosdalexandre.canalblog.com/ CanalBlog], 2012-2017 (consulté le 12 mai 2018)</ref>.


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aa phot portrait.jpg|Alexandre Abellard
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aa phot appareil.jpg|L'appareil photo
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aa phot plaques.jpg|Les plaques
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L'activité tient à l'époque à la fois du reportage et de la technique<ref>Elisabeth Verry, ''Le fonds Lionel Chrétien aux Archives départementales de Maine-et-Loire'', dans ''La Gazette des archives'', n° 201, 2006-1, p. 61</ref>. Alexandre doit emporter son encombrant matériel quand il part faire des photos pour tirer le portrait des habitants<ref>Témoignage d'un descendant, mai 2018</ref>. Durant une époque il utilise un appareil de type Chambre noire, fabriqué vers 1870, et des plaques 13x18 de marque Grieshaber frères<ref name="fabellard" />, constituées d'une plaque de verre et d'une couche d'émulsion photographique, supports de prise de vue privilégiés dès les années 1860<ref>Nicolas Dion, ''Du négatif au positif : conservation et diffusion des plaques de verre'', sur ''Le labo des archives'', 3 février 2015</ref>.
L'activité tient à l'époque à la fois du reportage et de la technique<ref>Elisabeth Verry, ''Le fonds Lionel Chrétien aux Archives départementales de Maine-et-Loire'', dans ''La Gazette des archives'', n° 201, 2006-1, p. 61</ref>. Alexandre doit emporter son encombrant matériel quand il part faire des photos pour tirer le portrait des habitants<ref>Témoignage d'un descendant, mai 2018</ref>. Durant une époque il utilise un appareil de type Chambre noire, fabriqué vers 1870, et des plaques 13x18 de marque Grieshaber frères<ref name="fabellard" />, constituées d'une plaque de verre et d'une couche d'émulsion photographique, supports de prise de vue privilégiés dès les années 1860<ref>Nicolas Dion, ''Du négatif au positif : conservation et diffusion des plaques de verre'', sur ''Le labo des archives'', 3 février 2015</ref>.
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Quelques photographies réalisées par Alexandre Abellard :
Quelques photographies réalisées par Alexandre Abellard :


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Version du 4 janvier 2020 à 03:09

Alexandre Abellard
Activités Photographe
Période XIXe-XXe siècle (1871-1952)
Notes Cliché AA
Personnalités de Maine-et-Loire
Personnalités
Loisirs et culture
Agenda
Aide à la rédaction.

Alexandre Abellard est un photographe angevin de la fin du XIXe et début du XXe siècle. Il fera de nombreuses photographies publiées sous la signature « Cliché AA ».


Alexandre Eugène Abellard naît au bourg de Mûrs (Mûrs-Erigné) le 20 mai 1871[1]. Il devient horloger-bijoutier à Saint-Georges-sur-Loire et pratique la photographie en plus de son activité[2].

<hovergallery> aa phot portrait.jpg|Alexandre Abellard aa phot appareil.jpg|L'appareil photo aa phot plaques.jpg|Les plaques </hovergallery>

L'activité tient à l'époque à la fois du reportage et de la technique[3]. Alexandre doit emporter son encombrant matériel quand il part faire des photos pour tirer le portrait des habitants[4]. Durant une époque il utilise un appareil de type Chambre noire, fabriqué vers 1870, et des plaques 13x18 de marque Grieshaber frères[2], constituées d'une plaque de verre et d'une couche d'émulsion photographique, supports de prise de vue privilégiés dès les années 1860[5].

Le photographe meurt le 20 novembre 1952 à Saint-Georges-sur-Loire, à l'âge de 81 ans[1].


Quelques photographies réalisées par Alexandre Abellard :

<hovergallery> aa phot 01 st georges.jpg aa phot 02 chateau serrant.jpg aa phot 03 chateau serrant.jpg aa phot 04 chateau serrant.jpg aa phot 05 courses serrant.jpg aa phot 06 courses serrant.jpg aa phot 07 defile st georges.jpg aa phot 08 pompiers st georges.jpg aa phot 09 pompiers st georges.jpg aa phot 10 pompiers st georges.jpg aa phot 11 mariage.jpg aa phot 12.jpg aa phot 13.jpg aa phot 14.jpg </hovergallery>


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Sources et annotations

  1. a et b Dominique Gaudichet, Généalogie de Dominique Gaudichet - Alexandre Eugène Abellard - Fiche, publié sur Geneanet, consulté le 12 mai 2018
  2. a et b fabellard, Les photos d'Alexandre Abellard, publié sur CanalBlog, 2012-2017 (consulté le 12 mai 2018)
  3. Elisabeth Verry, Le fonds Lionel Chrétien aux Archives départementales de Maine-et-Loire, dans La Gazette des archives, n° 201, 2006-1, p. 61
  4. Témoignage d'un descendant, mai 2018
  5. Nicolas Dion, Du négatif au positif : conservation et diffusion des plaques de verre, sur Le labo des archives, 3 février 2015