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En Anjou, le ''gournâs'' est une large rame dont le manche, muni à son extrémité d'une sorte de béquille (''ânille''), est passé dans un [[étrou]] fixé sur un des côtés et vers l'arrière du fûtreau (voir [[fûtreau|ce mot]]). Le ''gournâs'' sert de propulseur et de gouvernail. | |||
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* Voir aussi les mots [[palle]], [[kailler]] et les pages [[bateau|termes de marine]] et [[bateaux de Loire]]. | |||
* Anatole-Joseph Verrier et René Onillon, ''Glossaire étymologique et historique des parlers et patois de l'Anjou'', Germain & Grassin, 1908, t. 1, p. 443 | |||
* Académie des sciences, belles-lettres et arts d'Angers, ''Mémoires'', 1908, p. 64 | |||
* Jean Chauvigné, ''Ma galiote Marie'', Éditions Cheminements, 1994, p. 231 (le gournâs : le gouvernail) | |||
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Version du 30 avril 2016 à 06:54
En patois angevin
- gournâs
Mot
Nom commun.
En Anjou, le gournâs est une large rame dont le manche, muni à son extrémité d'une sorte de béquille (ânille), est passé dans un étrou fixé sur un des côtés et vers l'arrière du fûtreau (voir ce mot). Le gournâs sert de propulseur et de gouvernail.
Notes
- Voir aussi les mots palle, kailler et les pages termes de marine et bateaux de Loire.
- Anatole-Joseph Verrier et René Onillon, Glossaire étymologique et historique des parlers et patois de l'Anjou, Germain & Grassin, 1908, t. 1, p. 443
- Académie des sciences, belles-lettres et arts d'Angers, Mémoires, 1908, p. 64
- Jean Chauvigné, Ma galiote Marie, Éditions Cheminements, 1994, p. 231 (le gournâs : le gouvernail)