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Le '''site des Malécots''' a vu la plus grosse exploitation de charbon du [[Maine-et-Loire]] en son temps. Ce site s'inscrit dans l'histoire minière des geules noires de l'Anjou.
Le '''site des Malécots''' a vu la plus grosse exploitation de charbon du [[Maine-et-Loire]] en son temps. Ce site s'inscrit dans l'histoire minière des gueules noires de l'Anjou.


==Description==
==Description==

Version du 2 mai 2011 à 15:07

Le site des Malécots a vu la plus grosse exploitation de charbon du Maine-et-Loire en son temps. Ce site s'inscrit dans l'histoire minière des gueules noires de l'Anjou.

Description

En se promenant sur la Corniche Angevine, au sud-ouest d'Angers, une structure en bois pourrait retenir l'attention. Il s'agit d'un chevalement en bois, réplique assez fidèle du chevalement du puits n°2 de la mine de Charbon de Malécot. Cette mine de charbon, la dernière du sillon houiller de la basse Loire, a fermé en 1964. Elle était exploitée par les usines Bessoneau et servait à alimenter les machineries de la fameuse fabrique.


Aujourd'hui, de cette mine, il ne reste d'origine que le bâtiment du transformateur et le terril. Ont été reconstruits en 2009, le chevalement et le bureau du comptable qui est aujourd'hui un abri pour les randonneurs. La mise en valeur du site a été réalisée en collaboration avec la Communauté de communes Loire-Layon, la municipalité de Chaudefonds-sur-Layon et l'association Sainte Barbe des mines et Corniche Angevine.