« Gobeux » : différence entre les versions
m (aussi) |
(aussi) |
||
Ligne 12 : | Ligne 12 : | ||
{{-DicoNotes-}} | {{-DicoNotes-}} | ||
* Voir aussi les mots [[ | * Voir aussi les mots [[gabare]], [[gourneux]], [[gabârier]], [[chalandoux]]. | ||
* Anatole-Joseph Verrier et René Onillon, ''Glossaire étymologique et historique des parlers et patois de l'Anjou'', Germain & Grassin, 1908, t. 2 p. 436 | * Anatole-Joseph Verrier et René Onillon, ''Glossaire étymologique et historique des parlers et patois de l'Anjou'', Germain & Grassin, 1908, t. 2{{e}}, p. 436 | ||
* Jeanne et Camille Frayse, ''Les mariniers de la Loire en Anjou - Le Thoureil'', 1971, p. 24 | * Jeanne et Camille Frayse, ''Les mariniers de la Loire en Anjou - Le Thoureil'', 1971, p. 24 | ||
* René Descombes, ''Chevaux et gens de l'eau - Sur les chemins de halage'', | * René Descombes, ''Chevaux et gens de l'eau - Sur les chemins de halage'', Cheminements, 2007, p. 47 | ||
* Jean Chauvigné, ''Ma galiote Marie'', | * Jean Chauvigné, ''Ma galiote Marie'', Cheminements, 1994, p. 319 | ||
Ligne 23 : | Ligne 23 : | ||
[[Catégorie:Dictionnaire]] | [[Catégorie:Dictionnaire]] | ||
[[Catégorie:Nom commun en angevin]] | [[Catégorie:Nom commun en angevin]] | ||
[[Catégorie:Métier en angevin]] |
Dernière version du 25 avril 2020 à 06:56
En patois angevin
- gobeux
Mot
Nom commun, masculin et pluriel.
En Anjou, gobeux désigne un ouvrier marinier offrant ses services aux bateaux de passage pour les manœuvres lourdes. On les trouvait notamment sur les quais ou sur les ponts.
Ainsi nommés parce qu'ils faisaient des gobages. On dit aussi gobeurs.
Notes
- Voir aussi les mots gabare, gourneux, gabârier, chalandoux.
- Anatole-Joseph Verrier et René Onillon, Glossaire étymologique et historique des parlers et patois de l'Anjou, Germain & Grassin, 1908, t. 2e, p. 436
- Jeanne et Camille Frayse, Les mariniers de la Loire en Anjou - Le Thoureil, 1971, p. 24
- René Descombes, Chevaux et gens de l'eau - Sur les chemins de halage, Cheminements, 2007, p. 47
- Jean Chauvigné, Ma galiote Marie, Cheminements, 1994, p. 319