Ardoisières de Saint-Barthélemy-d'Anjou
On trouve sur la commune de Saint-Barthélemy-d'Anjou (Maine-et-Loire) des gisements de schiste ardoisier, notamment au sud et vers l'ouest. Autrefois, plusieurs carrières fournissaient des ardoises de qualité[1].
Au XVIIIe siècle, les principaux centres angevins de production de l'ardoise se situent à Angers, Saint-Barthélemy-d'Anjou, Trélazé, La Pouëze et Combrée[2]. L'exploitation est abandonnée en 1891, dont la dernière est celle de la Paperie[3].
L'ancienne zone d'exploitation de l'ardoise sur les communes de Saint-Barthélemy et de Trélazé a été remanié en un espace naturel d'une centaine d'hectares[4].
Sur le même sujet :
Notes
- ↑ Célestin Port, Dictionnaire historique géographique et biographique de Maine-et-Loire, 1874-1878, Édition révisée de 1996 par André Sarazin et Pascal Tellier, t. 4, p. 27
- ↑ Ville de Trélazé, 15 siècles d'histoire, octobre 2013
- ↑ Célestin Port, op. cit., p. 31
- ↑ Angers Loire Métropole, Parc des Ardoisières, Trélazé, octobre 2016
Sites ardoisiers en Maine-et-Loire : Angers, Angrie, Avrillé, Châtelais, Combrée, L'Hôtellerie-de-Flée, La Jaille-Yvon, Juigné, Noyant-la-Gravoyère, Les Ponts-de-Cé, La Pouëze, Saint-Barthélemy, Trélazé, Vern-d'Anjou.