Gonnord

De Wiki-Anjou
Gonnord
(ancienne commune)
Département Maine-et-Loire
Territoire Mauges
Commune Valanjou
Note(s) Fusion simple
du 1er janvier 1974
Situation dans le département

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Anciennes communes

Gonnord est une ancienne commune de l'Ouest de la France située dans le département de Maine-et-Loire (49), intégrée à Valanjou en 1974. On y trouve les vestiges du vieux château de Gonnord.


Généralités

La commune de Gonnord est formée à la Révolution. Elle fusionne le 1er janvier 1974 avec Joué-Étiau (fusion simple) pour former la nouvelle commune de Valanjou. Le chef-lieu est fixé à Gonnord[1],[2],[3].

Elle se trouve jusqu'alors dans le canton de Thouarcé (Chanzeaux en 1793, Thouarcé en 1801) et l'arrondissement d'Angers (Saumur en 1801, Angers en 1824[4]).

Sa population est de 1 358 habitants en 1901, 1 270 en 1936 et 1 229 en 1968[4],[5].

La localité est mentionnée au début du XIe siècle sous le nom de Parochia que dicitur Goenort. Au Moyen Âge, Gonnord est un fief de Vihiers dans la mouvance de Passavant. Deux églises, dédiées à saint Pierre et à saint Jean, sont mentionnées au XIe siècle, dont la seconde semble avoir disparue au siècle suivant. Un prieuré de bénédictins est installé, dépendant de l'abbaye de Saint-Florent. Le château, rasé au XIIIe siècle, est reconstruit au XVIe siècle[5],[6].

Patrimoine architectural : les vestiges du château de Gonnord (inscrit MH), les châteaux de la Colette et de Lala, le manoir de Chavaignes, l'église Saint-Pierre (XIXe) remplaçant la précédente incendiée pendant les guerres de Vendée[5].

Gonnord s'étend sur 35,79 km2 (3 579 hectares) sur de hauts coteaux. Elle comprend le bourg et les hameaux de La Fromagère et du Grand Jaugé[5].

Photographie du château de Gonnord.
Château de Gonnord

Célestin Port (1876)

Gonnord dans le dictionnaire Célestin Port de 1876[7] :

« Gonnord, con de Thouarcé (10 kil.), arrondissement d’Angers (34 kil.). — Parochia que dicitur Goenort 1029 circa (Cartul. de Chemillé, ch. 83). — Goenordus 1020 circa (Ib., ch. 85). — Godenort 1021 (Ib., ch. 3). — Villa Goanort 1069 (Liv. Bl., f. 10). — Stagnum de Goaarnort 1069 (Ib.). — Gunnort 1069 (Ib. et ch. or. de Chemillé, 40). — Ecclesia de Goenort 1122, 1146, 1156 (Liv. d’A., f. 2, 4, 6). — Goemort 1120 circa (Ib., f. 79 v°). — Villa que dicitur Goanordus (Ib.). — Gonort 1240 (H.-D. B 96, f. 183). — Guognort 1241 (Cartul. pap. de Chemillé, ch. 40). — La ville de Gonnort 1392 (G Cures). — Sur de hauts coteaux (75-99 mèt.), sillonnés du S. au N.-E. par d’importants ruisseaux — entre Joué-Etiau (1 kil.) et le Champ (6 kil.), au N.-O., Faveraye (7 kil.) au N.-E., Montilliers (9 kil.) au S.-E., la Salle-de-V. (9 kil.) et le Voide (9 km.) au S., Cossé et Joué à l’O. — Par de là Cossé et Joué, entre Chemillé à l’O. et Chanzeaux au N. est détachée une partie importante du territoire dite Enclave de Gonnord que le chemin de grande communication de Chemillé relie seulement au bourg, en traversant Joué.

La route départementale de Gonnord à Allençon part du S.-E. du bourg, au débouché du chemin d’intérêt commun de Somloire et au centre des chemins de grande communicat. de Chemillé à Doué et de Rochefort à Vihiers, qui se confondent dans la traverse.

Y passent l’Arcison, formant toute la longueur de la limite orientale, le Javoineau, et dans l’enclave, le ruiss. des Bonnes-Villes ; — y naissent le ruiss. de Boisneau ou de Gonnord, dirigé en septembre 1868 dans un nouveau lit, à partir de Gué-Robert, sur la prairie des Armenaux, — et celui de la Planche.

En dépendent les vill. ou ham. de l’Ajonc (5 mais., 13 hab.), du Grand-Jaugé (7 mais., 34 hab.). de Sourdigné (4 mais., 14 hab.), de l’Epinay (6 mais., 26 hab.), de la Glaiterie (4 mais., 14 hab.), de la Fromagère (18 mais., 71 hab.), de la Guette (4 mais., 15 hab.), de la Petite-Chaise (4 mais., 13 hab.), le chât. de la Collette et une centaine de grosses fermes ou écarts.

Superficie : 3,579 hect. dont 40 hect. en vignes, 156 hect. en bois.

Population : 150 feux en 1720. — 1,125 hab. en 1726. — 358 feux, 1,808 hab. en 1790. — 1,838 hab. en 1831. — 1,860 hab. en 1841. — 1,774 hab. en 1851. — 1,651 hab. en 1861. — 1,703 hab. en 1866. — 1,712 hab. en 1872 dont 694 au bourg (175 mais., 222 mén.). — La décadence rapide depuis 40 ans semble depuis quelques années arrêtée.

Les Foires, rétablies en 1852 au nombre de quatre, ont été augmentées de deux nouvelles en 1870 et se tiennent les 3e vendredis de janvier, février, mars, juillet et novembre et le 4e vendredi d’avril. — Le Champ de foire, situé au N.-O. du bourg, comprend 2,224 mèt. carrés de superficie.

Bureau de poste de St-Lambert-du-Latay. — Perception de Thouarcé.

La Mairie forme une salle en rez-de-chaussée, à pignon, construite avec l’Ecole, qui y attient, sur un terrain acquis pour partie par acte du 30 octobre 1859, en vertu d’une ordonnance du 28 mars 1858. Les travaux, adjugés le 30 juin 1861 (arch. Delestre), furent reçus le 10 juin 1863.

Vis à vis, à l’angle de la rue, s’élève l’Hôpital, fondé en 1694 et 1698, par des donations de Joseph Nicolas, sieur de la Fardelière, et de l’abbé Gruget, et autorisé par lettres patentes de décembre 1699, confirmées par arrêt du Parlement du 20 mai 1702. — La chapelle porte la date de 1762 au-dessus de la lucarne. — Par testament du 14 décembre 1866, le curé Cholleau a fait don à l’hôpital d’une Salle d’asile. Vis-à-vis, une maison porte la date 1618 avec un écusson et le nom de F. Mocet. — Un hospice de vieillards a été en 1872 inauguré à Sourdigné, V. ce mot.

L’Eglise, dédiée à St Pierre (succursale, 30 septembre 1807, avec vicariat, 1er février 1822), avait été incendiée pendant la guerre, sauf les murs, et rétablie tant bien que mal dès l’an XI. Elle envahissait, quoique insuffisante, toute la place jusqu’au Lion-d’Or, qui n’était séparé du chevet que par une ruelle. L’autel et son tabernacle sculpté passaient surtout pour remarquables, ainsi que le crucifix en marbre blanc de la chapelle seigneuriale. L’édifice a été jeté bas et l’on y a trouvé dans les autels d’antiques statues, — partout, même sous les murs, des monnaies dont une de Louis le Débonnaire, et de nombreux cercueils, — dans les fondations nouvelles une monnaie romaine et une inscription de 1280 qui appartient à M. Raimbault. — L’église actuelle, haute et vaste comme une cathédrale, a été retournée, le chœur vers S.-O., en s’agrandissant d’une partie de la cour du château. Sur des devis approuvés le 1er février 1854, les travaux, adjugés le 19 mars suivant, avaient terminé dès juillet 1855 l’église et les 3 corps du clocher, qui dans le projet devait porter une flèche en bois. On crut pouvoir la remplacer par une flèche en pierre, haute de 53 mèt. au-dessus du sol, qui était achevée en décembre 1856 ; mais dès cet hiver les soubassements fléchirent ; en février 1857, le parement en tuffeau de la façade éclats, ainsi qu’un des contreforts. Les travaux de consolidation furent bientôt convaincus d’insuffisance, et le clocher, avec la première travée de l’église, dut être démoli pierre par pierre et reconstruit. Commencée en 1862, cette reprise était terminée en 1864. L’édifice tel quel présente une nef unique de trois travées avec arcs doubleaux, transept renfermant les autels de St-Pierre et de la Vierge, chœur d’une travée avec grand autel gothique moderne, et abside à sept pans, le tout sobrement décoré et d’une élégance de bon goût.

Vers S.-E., à l’embranchement des chemins de Doué et de Vihiers, Chapelle des Moulins, édifiée en 1848 (4 mèt. sur 3 mèt. 60) avec porte ogivale en accolade ; au dedans, une jolie Vierge sur un simple piédestal sans autel. — Tout auprès, dans le faubourg sur la gauche de la route de la Salle, Chapelle de St-Nicolas-des-Gourbillonnes. V. ce mot.

On ne signale sur le territoire aucun monument celtique, non plus même que les traces des anciennes voies qui le sillonnaient, celle entre autres de Chemillé à Doué, passant sous le bourg vers S., une autre remontant de Vihiers par le Coral et s’entrecroisant toutes deux avec des voies latérales aux ruisseaux.

La paroisse existait dès le Xe s. On y voit même au XIe deux églises, St-Pierre et St-Jean, du domaine primitivement de St-Florent, aliénées plus tard ou usurpées par l’évêque qui les possédait pour les trois quarts, le reste appartenant au seigneur de Vihiers, suzerain du pays. Sa dame Vienna, assistée de ses quatre enfants, vendit ses droits à l’abbaye de St-Florent en 1069 et obtint de l’évêque Eusèbe qu’il cédât les siens. Les moines furent du même coup autorisés à y établir, sur les deux rives du ruisseau central, un bourg avec des habitants privilégiés et des moulins sur les étangs de Gonnord et de la Galonnière. En 1105 l’évêque Raynaud, partant pour la croisade, s’arrêta à Gonnord et confirma ces donations. — A partir de 1122, il n’est plus fait mention de l’église St-Jean.

Le prieur de St-Florent avait son « hôtel » dans la basse cour du château. Il devait au seigneur, aux fêtes de Noël, Pâques, Pentecôte et Toussaint, « une fouillée de pain de quatre deniers, qui est une fouasse, et trois choppines de vin, rendues au château même. »

Prieurs : Martin, 1020 circa. — Mainard, 1087-1068. — Guill. de Jallais, 1125-1144. — Pierre Achard, 1466. — Jean Froger, 1486. — Guill. Bélin, 1513. — Yves de Tessé, chanoine de St-Laud, puis de St-Maurice, protonotaire du St-Siège, 1522, 1539. — René Simon, 1569, 1579. — Madelon Chabot, curé du Voide, 1597, 1615. — Pierre Léger, docteur de Sorbonne, qui résigne en 1688. — Philippe Jehan, 14 juillet 1682, 1736. — Gabriel Lutin, 1750. — Franç. Hubert, 1767.

Le cellerier de St-Florent levait la dime dans la paroisse, à charge de présenter à chaque nouveau seigneur « une paire de gants blancs brodés et le poncier cousu de fil d’or. »

Curés : James Mesnard, 1302. — Jean Boulays, 1419. — Jean Michel, futur évêque d’Angers, 1428, qui permute le 14 avril 1432 contre une chapellenie de Douces. — Jean Garnier, 1437. — Guillaume Hector, 1505. — Jean Chauvin, 1516. — Hugues Lemosnier, 1527. — Jean Besnard, 1534, 1537. — Jean Martineau, 1554. — Guill. Poictevin, 1556, 1559. — Pierre Martineau, 1578, 1587. — Chartes Maraollier, 1614. — Zorobabel Nicolas, conseiller et aumônier ordinaire du roi, 1627. Il avait résigné depuis quelque temps et vivait en 1661 retiré en sa maison des Gourbillonnes, d’où son testament est daté le 9 juillet. — Franc. Gruget, 1668, † le 18 septembre 1678. — Henri Audouin, sieur de Brie, juillet 1679, † le 30 avril 1703 dans la maison des Gourbillonnes, le 30 avril 1703, âgé de 54 ans. — René Compère, juin 1703, janvier 1710. — René Cerisier, docteur en théologie d’Angers, décembre 1710, résigne en 1735, † le 4 octobre 1736, âgé de 60 ans. — Franç. Gaulme, juillet 1735, † le 29 août 1758, âgé de 59 ans. — Barthélémy - Séverin Prisset, natif de Doué, septembre 1758, 1791, refuse le serment. — S. Pelou, 1791, 5 novembre 1792.

La terre au XIe s. formait un fief de Vihiers, dans la mouvance de Passavant. La première famille seigneuriale, se rattache à celle de Chemillé et se continue jusqu’au milieu du XIIIe s. — Le château-fort fut pris et rasé par les Anglais en 1230. — En est seigneur Barth. de l’Isle 1272, Jean de l’Isle Bouchard 1396, Jean de Beaumanoir 1425, mari de Marie Riboulle, veuve de Jean de l’Isle, dont la fille avait épousé en 1413 Hardouin de Montjean, Perceval Chabot 1434, 1437, Louis Jousseaume 1440, 1444, Jean Chabot 1466, Louis de Beaumont 1458, 1474, mari de Jeanne Jousseaume, Thib. de Beaumont 1483, 1491, oncle maternel de Jean Dubellay, seigneur de Lire, qui en avait hérité avant 1517. — Le 26 juin 1532 René Dubellay, tant en son nom qu’en celui de Joachim de la Roche, sieur de la Ménantière, vend le fief, titré de châtellenie, à René de Cossé-Brissac. Le roi Charles IX lui fit visite les 6 et 7 octobre 1565 et y coucha. Artus de Cossé, V. ce nom, commence en 1575 la transformation du château, dont un des quatre pavillons resta inachevé. Le duc d’Anjou y séjourne les 15 et 16 février 1580. — La terre advient à Renée de Cossé, femme de Charles de Montmorency, colonel général des Suisses, 158S, 1612, qui les 15 et 17 avril 1589 y reçoit Henri de Navarre, — puis aux Gouffier, par le mariage de Gilbert G. avec Jeanne de Cossé, 1625, 1650 — Cl. Boylesve de la Guériniére en est seigneur en 1662 et sa fille Gabrielle l’apporte à Pierre de la Forêt d’Armaillé 1695. — De nouveau un mariage la ramène aux Cossé quelques années avant la Révolution par l’alliance de Marie-Camille-Adélaïde de la Forêt d’Armaillé avec Artus-Hyacinthe-Timoléon de Cossé-Brissac.

Dès les premiers jours de la guerre, le bourg devint le centre des opérations républicaines ; — et le 30 mars 1793, un corps de 1,200 à 1,500 hommes de la réserve de Doué, avec artillerie, occupa le château, qui placé entre tous les feux, était dans l’année même totalement incendié, sauf le corps de logis sur la cour d’entrée. Il fut vendu tel quel natt, le 4 thermidor an IV, pour la somme de 8,255 fr., avec les moulins, l’étang, alors de 10 boisselées, réduit depuis de plus de moitié, et la prairie, double de l’étang.

Le château enclavait à demi l’église. — Deux tours rondes flanquent encore le portail d’entrée, suivi d’un couloir et d’un pont-levis, défendu par un corps-de-garde carré et de très-profondes douves que bordaient d’aplomb de hautes murailles. Les deux tiers au moins de l’œuvre sont rasés. La face, vers l’orient, seule debout, sauf partie du dernier étage, se termine aux angles par deux tours carrées, de quatre étages aujourd’hui effondrés, sauf le premier, voûté en pierre, à arrêtes vives, avec petit logis à cheminée dit Chambre du Trésor. Le reste de la courtine présentait de plain-pied un ou plusieurs grands appartements, transformés vers la fin du XVIIe s. en vastes réserves, ouvrant sur la cour par sept arceaux plein cintre, sur piliers carrés en briques, espacés par de longs cartouches où s’étalaient sans doute des devises, des armoiries, des légendes absolument disparues. Sur la face Sud s’élevait, l’habitation, en briques ronges et noires, avec revêtement de tuffeaux aux angles. Il n’en reste que les caves et les parties souterraines ; dans la tour vers S.-E., un puits rond. — Sur la gauche de l’église les anciennes servitudes ont été transformées en un élégant logis moderne à triple lucarne décorative.

La paroisse, à la présentation de l’abbé de St-Florent, dépendait du Doyenné de Chemillé, de l’Election d’Angers, du District en 1788 de Brissac, en 1790 de Vihiers. Elle réunit quelque temps, après 1791, les paroisses d’Etiau et de Joué. — On y comptait en 1788, 400 pauvres mendiants ! A cette époque il y existait pourtant une certaine activité pour la fabrication des grosses toiles et coutils.

Maires : Lambert, 1792. — Boisard, 30 nivôse an IX. — Victor-Joseph-René Rompillom, 2 janvier 1808. — Et.-Barnabé Mesnard, 25 juin 1816. — Dominique Girault, 31 août 1830. — Victor Prieur, 2 mai 1834. — Rouillard, 1837. — V. Prieur, 13 août 1848, en fonctions, 1875.

Arch. de M.-et-L. G 192 ; G Joué, t. 1 ; H Saint-Florent. — Arch. comm. Et-C. — Arch. de l’Hospice. — Note Mss. Raimbault. — Répert. arch., 1809, p. 278-280. — Topogr. Grille. — Bodin, Saumur, p. 280. — D. Huynes, Mss., f. 79 v°. — Pour les localités, voir à leor article, Colette, Sourdigné, le Corail, le Plessis-Lambert, etc.  »

Notes

Bibliographie

• Philippe Baudry, François Jeanneteau et de Marcel Humeau, Gonnord (Gonnort) à Valanjou : les pages de son histoire, la Botellerie éditions (Brissac-Loire-Aubance), 2020, 422 p. (ISBN 979-10-91469-62-3)

Article connexe

Chemillé-en-Anjou

Sources et annotations

  1. Arrêté préfectoral du 22 octobre 1973 portant modifications aux circonscriptions administratives territoriales (fusion de communes), Journal officiel de la République française,‎ 105e année, n° 0266 du 15 novembre 1973, Imprimerie des Journaux officiels (Paris), p. 12125
  2. Célestin Port (révisé par André Sarazin et Pascal Tellier), Dictionnaire historique, géographique et biographique de Maine-et-Loire et de l'ancienne province d'Anjou, t. IV (S-Z), H. Siraudeau & Cie (Angers), 1996, 2e éd. (1re éd. 1878), p. 642 (Valanjou)
  3. Le Courrier de l'Ouest, Chemillé-en-Anjou. Un voyage dans l'histoire agitée de la commune, 23 juin 2022
  4. a et b École des hautes études en sciences sociales (EHESS), Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui - Notice communale de Valanjou, 2007
  5. a b c et d Célestin Port (révisé par Jacques Levron, Pierre d'Herbécourt, Robert Favreau et Cécile Souchon), Dictionnaire historique, géographique et biographique de Maine-et-Loire et de l'ancienne province d'Anjou, t. II (D-M), H. Siraudeau & Cie (Angers), 1978, 2e éd. (1re éd. 1876), p. 247-248 (Gonnord)
  6. Jean François Bodin, Notice sur les Hommes Célèbres de la maison du Bellay, dans Recherches historiques sur la ville de Saumur : ses monumens et ceux de son arrondissement, tome second, chez Degouy aîné impr.-libr. (Saumur), 1814, p. 41-42 (lire)
  7. Célestin Port, Dictionnaire historique géographique et biographique de Maine-et-Loire, t. 2 (D-M), P. Lachèse, Belleuvre & Dolbeau (Angers), 1876, pages 277, 278 et 279