Montfaucon-sur-Moine
Montfaucon-sur-Moine (ancienne commune) | |
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Département | Maine-et-Loire |
Territoire | Mauges |
Commune | Montfaucon-Montigné |
Note(s) | Fusion simple du 29 février 2000 |
Anciennes communes |
Montfaucon-sur-Moine est une ancienne commune de Maine-et-Loire (49) située au sud-ouest de Beaupréau et au nord de Montigné-sur-Moine. Elle est intégrée depuis 2000 à Montfaucon-Montigné.
Situation administrative
La commune est née à la Révolution. En février 2000, elle fusionne avec Montigné pour former Montfaucon-Montigné[1].
Jusqu'alors, la commune de Montfaucon-sur-Moine se trouve dans le canton de Montfaucon (Montfaucon en 1793 et 1801) et l'arrondissement de Cholet (de Beaupréau av. 1857)[2]. Le canton de Montfaucon, créé en 1790, comprend Montfaucon, Gesté, Saint-Germain, Tillières, Saint-Crépin, Montigné et Villedieu, auquel est ajouté en l'an VIII, La Renaudière, La Romagne, Roussay, Saint-André, Saint-Macaire et Torfou[3].
Ses habitants se nomment les Montois et Montoises. Sa population est de 518 habitants en 1999[4].
Histoire et patrimoine
Au Moyen Âge, la châtellenie de Montfaucon est jointe à Champtoceaux. Elle est marche commune d'Anjou et de Bretagne. Dans le même temps, la seigneurie de Montigné relève de Montfaucon. L'intégration des Mauges à l'Anjou au XIe siècle est complétée par l'édification de plusieurs forteresses par Foulques Nerra, dont celle de Montfaucon. Au XVIIIe, les trois paroisses de Montfaucon, que sont Saint-Jacques, Notre-Dame et Saint-Jean, sont du diocèse de Nantes et du doyenné de Clisson. Elles dépendent de la généralité de Tours, du baillage, élection et subdélégation d'Angers. À la réorganisation administrative qui suit la Révolution, Montfaucon devient chef-lieu du canton composé de Montfaucon, Montigné et Saint-Germain. La fin du XVIIIe est marquée, comme dans toute la région, par la guerre civile dite guerre de Vendée. C'est sur la commune qu'est signée en 1800 la pacification avec les chefs vendéens (traité de paix de Montfaucon), qui met fin à la rébellion des Chouans de la rive gauche de la Loire, et en 1815 celle avec l'état-major du marquis d'Autichamp[5],[6],[7],[8],[9].
Montfaucon fusionne le 29 février 2000 avec Montigné (fusion simple), qui devient Montfaucon-Montigné. Le nouveau chef lieu est fixé à celui de Montfaucon[1].
Éléments du patrimoine[10],[5],[11] :
- La chapelle Saint-Jean (classée MH), des XIIe, XIVe et XVIIe siècles ;
- L'église Saint-Jacques de Montfaucon, des XIIIe et XVIIIe siècles ;
- La motte féodale à Montfaucon.
L'église Notre-Dame, dominant le pont de la Moine, a disparue au début du XIXe siècle après avoir été incendiée à les guerres de Vendée. De même, la chapelle Saint-Maurice a disparue avant cette période.
Espace et territoire
Montfaucon-sur-Moine se trouve au sud-ouest du département de Maine-et-Loire. Son territoire s'étend sur 0,29 km2 (29 hectares), son altitude varie de 30 à 65 mètres[2] et se trouve sur le plateau des Mauges[12]. Le village se situe sur une hauteur qui domine la rivière la Moine[3].
Célestin Port (1876)
Montfaucon-sur-Moine dans le dictionnaire Célestin Port de 1876[13] :
« Montfaucon, petite ville, chef-lieu de canton, arrt de Cholet (20 kil.) ; — à 60 kil. d’Angers. — Chiminus Monfalconensis 1048 circa (Chantoc., ch. or.). — Curtis Chassiaci, infra quanm... castrum castri Montis Falconis 1070 circa (Hauréau, Pr., p. 173). — Mont Falcon 1134-1150 (2e Cartul. St-Serge, p 56). — Fevum de Montefalcun 1114-1134 (2e Cartul. St-Serge. p. 16). — Mons Falconi 1150 circa (Chemillé, ch. or.). — Ecclesia Sti Jacobi de Monte Falconis 1179 (Cart. St-Jouin, p. 40). — Montfaulcon XVI-XVIIIe s. (Et.-C.). — Montfaucon-sur-Moine 1876 (Postes). — Sur un mamelon dominant la rive droite de la Moine, — entre St-Germain (2 kil. 1/2) au N., à l’E. et à l’O. et Montigné (2 kil.) au S.
La route départementale de Beaupréau à Clisson, détache, tout au sortir du pont de la Moine, le chemin de grande communication du Pallet et s’incline pour longer vers l’E. la ville et le faubourg de St-Jean, empruntée pendant son parcours par le chemin de grande communication du Fuilet à Tiffauges, qui forme angle à l’entrée vers N.
Superficie : 29 hect., presque entièrement occupés par la ville, — sauf 3 ou 4 hect. de jardins, et autant de prés dans les vallées de la Moine ou de son affluent le ruiss. d’Aiguefoux.
Population : 105 feux en 1699. — 86 feux, 472 hab. en 1720-1726. — 110 feux en 1789. — 632 hab. en 1821. — 653 hab. en 1831. — 675 h. en 1841. — 800 hab. en 1851. — 723 hab. en 1861. — 731 hab. en 1866. — 662 hab. en 1872, formant une agglomération unique (183 mais., 193 mén.), dont l’ensemble, enveloppé à demi de verdure et de hauts peupliers, se découvre tout entier des hauteurs de la route de Cholet.
Foires : le 1er mardi de janvier, le 29 juin (Saint-Pierre), le 30 novembre (Saint-André) et le 22 septembre (Saint-Maurice). Cette dernière considérable et renommée, se tient au vill. de Pont-de-Moine en Montigné, mais qui n’est séparé de la ville que par la Moine. Outre les bestiaux exposés en grand nombre, comme aux autres foires, elle attire une affluence rare de marchands forains de tout genre, autrefois surtout de chapelets, de médailles, de reliques, — plus tard de gâteaux, de viandes et particulièrement de peaux de moutons avec leur laine, d’où son nom populaire de la foire aux pelisses. — Marchés tous les mardis de menues denrées et tous les quinze jours, de bestiaux.
La mesure locale comptait 16 boisseaux pour 12 des Ponts-de-Cé.
Recette de poste, — Chef-lieu de perception pour les cnes de Montfaucon, Montigné, la Renaudière, St-Crépin, St-Germain et Tilliers.
Mairie avec Ecole publique laïque de garçons, bâtie en 1864. — Ecole publique de filles annexée à l’hôpital en 1823 (Sœurs de St-Charles).
L’Eglise, sous le vocable de St Jacques (Cure, 19 brumaire an XI), forme une croix latine (20 mèt. sur 8 mèt. 30, — et le chœur, 11 mèt. sur 7), dont l’œuvre entière a été refaite ou modernisée, sauf la travée qui porte le clocher, reconstruit en 1799 par l’architecte Devon, de Beaupréau, et son portail ogival, tout en granit à triple voussure, sur des colonnes à chapiteaux (XIIIe s.). Un autel de la nef, dédié aux Agonisants, est orné d’une copie d’un tableau de Greuze, où quelque badigeonneur du pays s’est avisé de remplacer à sa façon la dame de charité en visite par le portrait d’un jeune prêtre ; — à côté, on lit : M. Macé a fait rétablir cette église an 1800, Huet sculp. ; — plus près de la porte, l’épitaphe en vers du même, mort le 17 janvier 1807. — Le 8 novembre 1837, pendant le sermon d’une mission, le jubé s’écroula sons le poids de 300 paroissiens, dont 9 morts et 3 au moins grièvement blessés.
Une charte, qu’on n’a pas encore signalée, de l’époque de Nantes Quiriac (vers 1070) donne l’ancien nom absolument disparu et oublié du pays. On voit qu’il formait un vaste domaine appelé Chassiac, curtis Chassiaci, comprenant l’église de St-Germain, le château de Montfaucon avec ses églises et plusieurs autres en dehors, cum ecclesiis in se positis aliasque plures ecclesias, dont le centre était la ville même de Chassiac, sise sur la Moine, quarum vicus omnium ecclesiarum est ipse Chassiacus super Meduanam positus. C’est là l’agglomération antique où aboutissaient les voies de Chantoceaux, de Clisson, de Tiffauges, et qui fut transformée par la construction au XIe s., comme partout ailleurs, du château-fort. Les chroniques de St-Florent l’attribuent à Foulques-Nerra, qui aurait voulu placer là une sentinelle de garde au sommet de ce mont ou nid de faucons, ex monte et nido falconum nomen inditum, après la prise de Saumur (1025), contre toute attaque des seigneurs de Thouars. Le nom du château fit disparaître celui du pays. L’œuvre, construite sous la direction des moines de St-Macaire, s’en élevait vers N., sur une motte factice, dite des fiefs anciens, encore debout (12 à 13 mèt. sur 220 de circonférence), entre l’hôpital et l’école des garçons, avec une enceinte circulaire dont le tracé se reconnaît, sans autre vestige, par la Bonhommellerie, le Carrefour-Joyeux, Ste-Catherine et le Puits-St-Jacques. Autour du château, castellum, une seconde enceinte enveloppa la ville, castrum, avec de vastes douves vives du S.-O. au N.-E., par Bohardy, où reste encore debout un pont ogival, jusque au-dessus du carrefour des Portaux, alimentées en partie vers l’O. par le ruisseau d’Aiguefoux. Là, une haute terrasse, dite Motte rétive, domine la route jusqu’aux abords de l’église Notre-Dame, couverte vers S. par une seconde motte, emplacement actuel d’un petit mail. Dans le sol, à toute fouille, se sont rencontrés de nombreux souterrains, — comme aussi des monnaies, parmi lesquelles un Marc-Aurèle et une pièce à la légende : Doleno Novo Vico.
Il y existait au moins deux églises dès le XIe s. et d’origine inconnue. St-Jacques, dont l’église sert encore au culte, fut sans doute la paroisse du donjon, dont elle abordait l’enceinte. Elle dépendait de l’abbaye St-Jouin-de-Marnes, ainsi que le prieuré, qui en portait le titre tombé en commande de bonne heure et dont le siège, au XVIIIe s, était dans le clocher. — Elle compte 120 communiants en 1683.
Curés : René Lebourg, 1602, 1623. — Julien Jamin, 1630, précédemment curé de Montigné, puis de St-Jean de Montf. — Thomas Pellerin, 1633. — Jacq. Coullaud, 1639. — René Coullaud, 1641. — Jacq. Coullaud, 1649. — Julien Coullaud, 1650. — René Coullaud, 1651. — Adam, 1675. — De Santo-Domingo 1678, † le 20 avril 1690. — J.-B. Macé, 1691, † à St-Germain-lès-M. le 10 novembre 1700. — Thomas Ouvrard, 1703, † le 14 décembre 1748, âgé de 79 ans. — Pierre Foullonneau, 1743, † le 31 mai 1758, âgé 43 ans. — Jean Chauveau, 1758. Resté dans le pays, il fut assassiné la nuit, au Pont-de-Moine, en février 1794, et son corps jeté à l’eau.
Prieurs : Nolet, 1698, prieur aussi de St-Crépin. — Thomas Ouvrard, en même temps curé, 1703-1748. — Maupillier, 1713. — Jean-Jacques Ouvrard, † le 23 mai 1751, âgé de 45 ans — et après eux les curés Foullonneau et Chauveau.
L’église Notre-Dame, qui dut être la paroisse de l’agglomération primitive, s’élevait sur l’escarpement qui domine le pont de la Moine. Incendiée pendant la guerre, elle a été détruite pierre à pierre de 1810 à 1815 par le curé Breton, qui, les matériaux vendus, en retira, dit-on, de bénéfice net six francs. Elle mesurait 56 mèt. sur 14. A l’entrée du chœur s’ouvrait une magnifique chapelle souterraine de Ste Madeleine ou, suivant d’autres dires, de Ste Anne ; — 50 communiants en 1683 ; — la cure à la présentation de l’abbé de St-Jouin.
Curés : Jean Macé, 1601, 1638. — René Macé, 1643. — Franç. Commeau, 1687, † le 10 janvier 1720. — Thomas-Franç. Thibault, 1720, † le 20 octobre 1755. — Jos. Thibault, son frère, 1755, † subitement le 26 juillet 1758, âgé de 73 ans. — Julien Sorin, 1758, † le 9 novembre 1765, âgé de 63 ans. — Connain, 1765, octobre 1791, ancien militaire, qui bottait d’une blessure reçue au service. Il suivit l’armée vendéenne et périt au Mans. — Le vicaire Ferré se signala tristement pendant la guerre. C’est lui qui tenait le cheval de Renée Bordereau, quand elle descendait pour combattre à pied.
L’église St-Jean, qui dépendait également de l’abbaye de St-Jouin-de-Mame, s’élevait seule en dehors de la seconde enceinte à l’E. Son chœur roman du XIIe s, entièrement en granit, avec abside à cinq fenêtres romanes, a été trans- formé en chapelle ; derrière l’autel du XVIIe s., apparaissent des traces de fresques antiques. Sur une dalle, marquée d’un double écusson circulaire, avec un lion armé et couronné et à droite une croix de patriarche, le tout sommé d’une couronne de 8 fleurons, se lit gravée en relief l’épitaphe de « dame A. M. Joubert, vivante dame de ce lieu et épouse de messire F. Lirot, chevalier, seigneur de la Patouillère, décédée le 25 septembre 1768 ». — La nef, sans voûte, sert de grange et a conservé son pignon vers l’O. et son portail ogival à triple voussure, retombant sur des colonnes à chapiteaux de feuillage (XIIIe s.).
Curés : René de Bourges, 1593. — J.... Cotolleau, 1610, 1628. — Julien Jamin, septembre 1628. — Julien Cotolleau, 1635, 1641. — Jacques Cotolleau, 1647, 1673. — Julien Cotolleau, 1679, 1701. — René Guillet, † le 20 septembre 1710. — Jos. Guérin, 1711, 1734, † le 29 novembre 1736. — Pierre Lecomte, 1734, † le 10 mars 1783, âgé de 83 ans. — Grégoire Jullien, de Pithiviers, installé le 27 mars 1783, qui résigne le 14 novembre suivant, † le 31 juillet 1807. — Yves Briant, de Vertou, installé le 21 janvier 1784, † en Espagne, croit-on.
Tout auprès s’élevait la chapelle de St-Maurice, fondée en 1345 pour le service de la confrérie des Sept Frères et qui était déjà détruite avant la Révolution. Dans l’ancien cimetière, qui avoisine l’église vers S.-E. et qui est devenu communal, on montre encore, formée de plusieurs dalles, avec une inscription illisible, une vaste tombe dite des Sept Frères, sans doute des fondateurs de la « frairie », dont au N. de l’église se trouve la maison de réunion, logis du XVIe s, aux immenses cheminées, devant lesquelles, après les offices, se préparaient l’Aumône générale du mardi de la Toussaint — et aussi les autres fêtes de ces sociétés demi-religieuses, demi-laïques, alors et partout si nombreuses, mais nulle part autant que dans les Mauges.
Au N. de la ville s’élevait une maladrerie, convertie en aumônerie dans la maison de la Pocheterie, avec une école de filles, qui se trouve encore annexée à l’hôpital, héritier des précédentes fondations, et légataire de Guill.-René Macé (18 fructidor an XIII) et du curé Breton (30 janvier 1816), à la charge de recevoir les malades du Pont-de-Moine en Montigné, de St-Gilles et Bourg-Hardi en St-Germain.
Une école de garçons était, dès la fin du XVIe s., tenue par le chapelain de Ste-Catherine en la paroisse St-Jacques, là même où sont aujourd’hui installées la mairie et l’école.
La terre se qualifiait de baronnie, malgré le témoignage des aveux, qui l’intitulent simple châtellenie. Elle faisait partie jusqu’au XVIIIe s. de la baronnie de Chantoceaux et en suivit la fortune. Après la guerre de la succession de Bretagne, elle échut en partage à Catherine de Vendôme, qui épousa le 28 septembre 1364 Jean de Bourbon. Olivier de Clisson l’acquit d’eux le 17 octobre 1380 moyennant 22,000 liv. d’or, pour on doter le Chapitre de Clisson qu’il fonda par son testament du 15 février 1406. Un traité du 12 octobre 1437, entre les chanoines et René d’Anjou, céda à ce dernier la haute justice, avec les fois, hommages, aveux et rachats dus par les nobles, droits que des ventes nouvelles et divers arrêts du Parlement firent successivement passer des ducs de Bretagne, qui les tenaient de René, aux comtes d’Avaugour et de Vertus, et à leur descendance jusqu’à la fin du XVIIe s., — aux seigneurs de Cholet vers 1694, — puis au roi ou au duc-apanagiste. La moyenne et basse justice et tous les droits utiles restaient aux mains du Chapitre de Clisson, qualifié de seigneur jusqu’en 1790, avec la juridiction contentieuse comprenant, outre les trois paroisses de la ville, la Renaudière, Tilliers, St-Germain et St-Crépin, et de plus, par prévention avec la juridiction de Tiffauges, Montigné, Torfou, le Longeron, la Romagne et Roussay.
La ville était pour le tiers en main-morte. — Résidence d’un contrôleur des actes et d’une lieutenance des fermes, elle dépendait jusqu’au IXe s. de l’Evêché de Poitiers, — plus tard de l’Evêché de Nantes, — et non de la Rochelle, comme le dit Miromesnil, — du Doyenné de Clisson, de l’Election et de la Sénéchaussée d’Angers, — du District de Beaupréau en 1788, de Cholet en 1790. — Elle se trouva en pleine guerre et fut canonnée et saccagée de nuit en janvier 1794, par le général Cordelier. Le 28 janvier 1800 y fut signée la pacification avec les chefs vendéens, comme aussi le 10 juin 1815 avec l’état-major de d’Autichamp.
Maires : Hervé, an VIII-an X. — Pohu, an X, † en 1807. — Charles Houdet, 2 janvier 1808. — Pierre-Anne Thenaisie, 25 septembre 1815. — Louis-Henri Gautret de la Moricière, 17 juillet 1817. — Houdet fils, 15 septembre 1830. — Dupont, 11 septembre 1834. — Durand, 1837. — Joseph-Nazaire Brunet, 1840. — Dupont, 1846. — Jules Pithon, 2 décembre 1846. — Baptiste Ragueneau, 24 août 1848. — Louis Gautret de la Moricière, 1848. — Servière, 1865. — Jules Pithon, 1870. — Fillaudeau, 1870. — Servière, 1871, en fonctions, 1876.
Arch. de M.-et-L. C 191 ; E 800. — Notice Mss. de M. Spal. - Notes Mss. de MM. Boutillier de Saint-André et Maitre, du docteur Ragueneau et de l’abbé Braud. — Hauréau, Gall. Christ., Pr., p. 173. — Arch. d’Anjou, I, 63. — Rev. de l’Ouest, 1865, II, 277. — Canuel, Mémoire, p. 207. — Mss. 923. — Ogée, Dict. de Bret. — — La Révellière, Notice sur les mon. celt., p. 15. — Chron. d’Anjou, II, 216 et 281. — Bordereau, Mémoires, p. 11. »
Notes
Articles connexes
Sources et annotations
- ↑ a et b Préfecture de Maine-et-Loire, Arrêté préfectoral du 28 février 2000 promulguant la création de la nouvelle commune de Montfaucon-Montigné, à effet au 29 février 2000 — Voir création de la nouvelle commune de Montfaucon-Montigné (2000).
- ↑ a et b École des hautes études en sciences sociales (EHESS), Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui - Notices communales de Montfaucon-Montigné (Montfaucon-sur-Moine), 2007
- ↑ a et b Édition originale du dictionnaire Célestin Port, t. 2, Lachèse, Belleuvre & Dolbeau (Angers), 1876, p. 701-703
- ↑ Population de Maine-et-Loire (1999)
- ↑ a et b Célestin Port (révisé par Jacques Levron, Pierre d'Herbécourt, Robert Favreau et Cécile Souchon), Dictionnaire historique, géographique et biographique de Maine-et-Loire et de l'ancienne province d'Anjou, t. II (D-M), H. Siraudeau & Cie (Angers), 1978, 2e éd. (1re éd. 1876), p. 457-458 (Montfaucon) et p. 460-461 (Montigné-sur-Moine)
- ↑ Teddy Verron, L'intégration des Mauges à l'Anjou au XIe siècle, Pulim (Limoges), 2007, p. 168
- ↑ Yves Gras, La guerre de Vendée : 1793-1796, coll. Campagnes et stratégies, Economica (Paris), 1994, p. 173
- ↑ Sud Ouest (Jean-Clément Martin), Février 1795 : Le traité de paix entre Républicains et Vendéens, 28 mai 2018
- ↑ Le Courrier de l'Ouest, Sèvremoine. La paix de Montfaucon fait débat, 10 octobre 2020
- ↑ Ministère de la Culture, Architecture et patrimoine (base Mérimée, Montfaucon et Montigné-sur-Moine), mai 2012
- ↑ Mairie de Montfaucon-Montigné, Patrimoine, 2007-2015
- ↑ Atlas des paysages de Maine et Loire, voir unités paysagères (Montfaucon-Montigné).
- ↑ Célestin Port, Dictionnaire historique géographique et biographique de Maine-et-Loire, t. 2 (D-M), P. Lachèse, Belleuvre & Dolbeau (Angers), 1876, pages 701-702
- Les formes anciennes du nom.