91 638
modifications
 (Confirmé par un témoignage oral d'une personne de Briollay.)  | 
				m (relecture)  | 
				||
| Ligne 9 : | Ligne 9 : | ||
=== Témoignage ===  | === Témoignage ===  | ||
À Avrillé lorsque j'étais enfant (1933/1950) nous appelions « chocotte », un dépotoir, une décharge publique. Les tombereaux hippomobiles des ramasseurs d'ordures (les bougonniers) y déversaient leur contenu (les balayures).  | À Avrillé lorsque j'étais enfant (1933/1950) nous appelions « chocotte », un dépotoir, une décharge publique.  | ||
Les tombereaux hippomobiles des ramasseurs d'ordures (les bougonniers) y déversaient leur contenu (les balayures).  | |||
{{-DicoNotes-}}  | {{-DicoNotes-}}  | ||
* Mot issu   | * Mot issu du témoignage d'Henri Vincent, habitant Avrillé (voir [[chocotte]]).<br />Confirmé par un témoignage oral d'une personne de Briollay.  | ||
* Nulle mention dans le ''Glossaire étymologique et historique des parlers et patois de l'Anjou'' d'A.-J. Verrier et R. Onillon (1908), ni dans le ''Dictionnaire de la langue française'' (1872-77) d'Émile Littré.  | * Nulle mention dans le ''Glossaire étymologique et historique des parlers et patois de l'Anjou'' d'A.-J. Verrier et R. Onillon (1908), ni dans le ''Dictionnaire de la langue française'' (1872-77) d'Émile Littré.  | ||