« Mines de charbon des Malécots » : différence entre les versions

De Wiki-Anjou
Aucun résumé des modifications
Aucun résumé des modifications
Ligne 1 : Ligne 1 :
{{Infobox monument
| titre = Mines des Malécots
| image =
| période = {{Époque contemporaine}}
| classement =
| commune = [[Chaudefonds-sur-Layon]]
| notes = Site minier
}}
Le '''site des Malécots''' a vu la plus grosse exploitation de charbon du [[Maine-et-Loire]] en son temps. Ce site s'inscrit dans l'histoire minière des gueules noires de l'Anjou.
Le '''site des Malécots''' a vu la plus grosse exploitation de charbon du [[Maine-et-Loire]] en son temps. Ce site s'inscrit dans l'histoire minière des gueules noires de l'Anjou.


==Description==
En se promenant sur la [[Corniche Angevine]], au sud-ouest d'[[Angers]], une structure en bois pourrait retenir l'attention. Il s'agit d'un chevalement en bois, réplique assez fidèle du chevalement du puits n°2 de la mine de Charbon de Malécot. Cette mine de charbon, la dernière du sillon houiller de la basse Loire, a fermé en 1964. Elle était exploitée par les usines Bessoneau et servait à alimenter les machineries de la fameuse fabrique.


== Présentation ==
En se promenant sur la [[Corniche Angevine]], au sud-ouest d'[[Angers]], une structure en bois pourrait retenir l'attention. Il s'agit d'un chevalement en bois, réplique assez fidèle du chevalement du puits n° 2 de la mine de Charbon de Malécot. Cette mine de charbon, la dernière du sillon houiller de la basse Loire, a fermé en 1964. Elle était exploitée par les usines Bessoneau et servait à alimenter les machineries de la fameuse fabrique.
== Histoire ==
{{Section à compléter}}
== Aujourd’hui ==
Aujourd'hui, de cette mine, il ne reste d'origine que le bâtiment du transformateur et le terril. Ont été reconstruits en 2009, le chevalement et le bureau du comptable qui est aujourd'hui un abri pour les randonneurs.
La mise en valeur du site a été réalisée en collaboration avec la [[Communauté de communes Loire-Layon]], la municipalité de [[Chaudefonds-sur-Layon]] et l'association Sainte Barbe.


Aujourd'hui, de cette mine, il ne reste d'origine que le bâtiment du transformateur et le terril. Ont été reconstruits en 2009, le chevalement et le bureau du comptable qui est aujourd'hui un abri pour les randonneurs.
== Notes ==
La mise en valeur du site a été réalisée en collaboration avec la [[Communauté de communes Loire-Layon]], la municipalité de [[Chaudefonds-sur-Layon]] et l'association Sainte Barbe des mines et Corniche Angevine.
Sur le même sujet
* [[Chapelle Sainte-Barbe des Mines]]


Sources, dont
* Association Sainte-Barbe des mines, avril 2010


* [http://www.stebarbe.com Plus d'infos sur le site de l'association Ste Barbe]


{{Modèle:BasPage Architecture}}


[[Catégorie:Patrimoine minier et industriel]]
[[Catégorie:Patrimoine minier et industriel]]

Version du 24 mai 2014 à 08:12

Mines des Malécots
(monument)
Époque Époque contemporaine
Localité {{{localité }}}
Notes Site minier
Monuments de Maine-et-Loire.
Châteaux angevins
Moulins angevins
Églises angevines
Aide à la rédaction.

Le site des Malécots a vu la plus grosse exploitation de charbon du Maine-et-Loire en son temps. Ce site s'inscrit dans l'histoire minière des gueules noires de l'Anjou.


Présentation

En se promenant sur la Corniche Angevine, au sud-ouest d'Angers, une structure en bois pourrait retenir l'attention. Il s'agit d'un chevalement en bois, réplique assez fidèle du chevalement du puits n° 2 de la mine de Charbon de Malécot. Cette mine de charbon, la dernière du sillon houiller de la basse Loire, a fermé en 1964. Elle était exploitée par les usines Bessoneau et servait à alimenter les machineries de la fameuse fabrique.

Histoire

Vous avez des informations ? Alors aidez-nous à compléter cette section…

Aujourd’hui

Aujourd'hui, de cette mine, il ne reste d'origine que le bâtiment du transformateur et le terril. Ont été reconstruits en 2009, le chevalement et le bureau du comptable qui est aujourd'hui un abri pour les randonneurs.

La mise en valeur du site a été réalisée en collaboration avec la Communauté de communes Loire-Layon, la municipalité de Chaudefonds-sur-Layon et l'association Sainte Barbe.

Notes

Sur le même sujet

Sources, dont

  • Association Sainte-Barbe des mines, avril 2010