« Fratrès » : différence entre les versions
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* Anatole-Joseph Verrier et René Onillon, ''Glossaire étymologique et historique des parlers et patois de l'Anjou'', Germain & Grassin, 1908, t. 1, p. 409 (frates, barbier) | * Anatole-Joseph Verrier et René Onillon, ''Glossaire étymologique et historique des parlers et patois de l'Anjou'', Germain & Grassin, 1908, t. 1, p. 409 (frates, barbier) | ||
* Yves Brochet, ''Le braco : mémoire d'un angevin'', Cheminements, 1997, p. 187 (fratrès, barbier) | * Yves Brochet, ''Le braco : mémoire d'un angevin'', Cheminements, 1997, p. 187 (fratrès, barbier) | ||
* Jean Renard, ''En Anjou, quand 4 liards valaient un sou'', Cheminements, 1997, p. 77 (fratès, chirurgiens-barbiers) | * Jean Renard, ''En Anjou, quand 4 liards valaient un sou'', Cheminements, 1997, p. 73 et 77 (fratès, chirurgiens-barbiers) | ||
Version du 23 décembre 2017 à 05:20
En patois angevin
- fratrès, fratres
Mot
Nom commun, masculin singulier et pluriel. Se prononce fratrèce.
En Anjou, fratrès (ou fratres) désigne un barbier ou par extension un coiffeur. Fratès ou firater, ancien terme angevin qui désignait les frères convers qui servaient de chirurgiens-barbiers.
Exemple : Je vais chez le fratrès.
Notes
- Voir aussi cabanier.
- Fratrès pour coiffeur dans les rimiaux d'Émile Joulain (Rimiaux du grand soulé : Chez l'fratrès, sur le site de la BnF).
- Charles Ménière, Glossaire angevin étymologique comparé avec différents dialectes, Lachèse et Dolbeau,1880, p. 369 (frates, barbier)
- Anatole-Joseph Verrier et René Onillon, Glossaire étymologique et historique des parlers et patois de l'Anjou, Germain & Grassin, 1908, t. 1, p. 409 (frates, barbier)
- Yves Brochet, Le braco : mémoire d'un angevin, Cheminements, 1997, p. 187 (fratrès, barbier)
- Jean Renard, En Anjou, quand 4 liards valaient un sou, Cheminements, 1997, p. 73 et 77 (fratès, chirurgiens-barbiers)